Page:Alfred Vacant - Dictionnaire de théologie catholique, 1908, Tome 3.djvu/637

Cette page n’a pas encore été corrigée

12.", 1

CONSTANTINOPLE II CONCILE DE

d’hon’"'", a,

plutôt pation par l’homme iu’i be. / ragm -’[(XM, 1004, 1012, I017 : nv

on bit remarquer qupai li r d un ii n n’implique point la disparition (IIla chair, ivatpetric tï ; aapxbc, ni la confusion

ruygucnc, ni de quelque fai on qu’on l’enb l’uuité ilf nature, ii, ia fj » t< ?, yoviv v, - ;. : » .

i’. Ef t ;  ; où/ â(J i tôv terraup î>p svov aapxl , / /, ; j’..<’Ir, ooûv X’.'.ctov ilvai Œbv àXïjOtvbv xai xvptov t7, ; 86Çr, { xal Êv «  Tr, ; ây’a ; T£ : â20 ; ’6 t. à. : ’.

10. Si quelqu’un ne coi pu que celui qui i dans est vrai Dieu el Seigneur de gloire, ’( Pu « de l.i sainte Trinité, qu’il s> ît ana Le I 1 anathématisme considère une des conséquences de l’union hypostatique, la communication des idiomes. Mais au lieu d’en formuler et d’en poser le principe directement, il en relève seulement une application particulière. Jésus-Christ qui a été crucilié dans sa chair, étant vrai Dieu et un de la Trinité, Iv « -r, ; 5tyta{ rptâSoc, nous pouvons dire en toute vérité que Dieu a été cmcil’n'. Il n’en est plus de même dans le sysiéme nestorien où il y a deux êtres distincts et, par conséquent deux sujets, distincts d’attribution. C’est ce qu’expriment très nettement les i uivants de

Théodore, Fragm. dogm., col. 994, 995, ( J’J9. Ce ÎO anathématisme est la reproduction du fi’anathématisme de la Confession. Mansi, t. ix, col. 560 ; cf. col. 510.

H. Si quelqu’un n’anatliématisepasvrius. Kunumius donius, Apollit.aire, Nestorius, Eut ?’li s et Oiigi ne. ainsi que leurs écrits impies ; et tous les autres hérétiques condamnés et anatbématisés par la sainte, catholique et apostolique Église, et par les quatre saints c nciles susdits ; et tous ceux qui mpathisé ou sympathisent avec les hérétiques j réci ont persévéré jusqu’au bout dans leur impiété, qu’il soit anathème.

.%’. Et - :  ; ij.t, àvaŒ[xa--i ^, i : "ÂpglOV, Y.’.i’ji : ’, i, MaxEâéviov, ’Aito).) ivâptov, NsoTiSpiov, E-JTU/sa y.ai’ûp’.yévT)V, |AET « T’.iv à lgojv av’ûv ouyypapijxaTwv, xai tov ; ôcXXou ; ~tj-x ; atpeTtxou ;, to-j : xaTaxpib’. i-x : xal àva8eu.xricr6 : vzu ; ir.’j xrfi cr/i’a ; xaSoXi-y. r : xal a— ooxoXtxij ; È /./."//, cria ; , xa’t tôjv itpoeipY)u, év(ov it.-y.wi -i--xpu>v avivôSuiv, xai to-j ; ra’j’i.’j'.x’Ci-i itpoElpïjuivtov alpET(x£>v çpovrcavTa ; ï| ypovoOvTa ?, y.ai ui/_v. rsXov ; ri] v.y.v.x a7 : ëêiï èau.£ ; vavTa ; " 6 -. à. t.

Nous rencontrons dans le 1 l f anathématisme les principaux noms de l’histoire des hérésies trinitaires. et surtout christologiques. Celui d’Origène s’y trouve mentionné en dernier lieu. Et à ce propos on a parlé d’interpolation. Les partisans de cette dernière hypothèse font observer que : 1 Askidas, l’un des membres influents de l’assemblée, n’eûl pas toléré l’insertion du nom d’Origène dans la liste des hérétiques ; 2° qu’on ne cite dans cette liste que ilrs hérétiques déjà condamnés par les conciles antérieurs ; 3° que ce 1 Ie anathématisme reproduit le 10* de la Confession : or le nom d’Origène est absent de ce dernier ; î" que les erreurs d’Ori n’ont aucun rapport avec les théories des hérétiques ici condamnés, qui sonl des théories christologiques. Cf. Hefele, Concil., t. ii, p. 874. Mais aucune de ces rai n’est irréfutable. Askidas, qui avait si^né les analhé i ilen

d’uni Ihémi

lui par Justinii n lui m< m<. avi c 1 ajq i bonne partie di quelques i

régulières. On s explique > ; r là que ! ih.ih. : ut de l’a nathématismi

du concile dans notre 11* analhémalisine qui !

pond. Enlln, on peut en toute vérité parl< r ii

christologiques d’Origène. M’on trouverait plus d’une anal r

nienne du Christ et la théorie nestorienne ; et ce, mal gré la différence du point de départ. On peut donc tenir

pour authentique la mention du nom il

les hérétiques condamnés par le V’concil’pluqu’elle est appuyée de i autorité de manuscrit !

anciens et cadre mieux avec les teii, t les

faits. Cf. Hefele, loc. ut.

', ’. Ef T’. ; ivTlItOtÊÎtai

0eti>Sûpou to^ a<jeêoG< ~’j* Mot^oveorfac, toû emivrot xXXov sîvat tov Beôv Xoyov v.x : ôéXXov rbv XpiOTÔv, uirô

T.x’i'.ri’Vv/ ?, ; v.x’: -.(’>’r » )Ç <7xç, /.’j ; ÈniôupLi&v evoxXouu. evov xal tô>v ^eipivtdv y.x-x y ;  :::’/* ::v’V h " : > xa o3to>î h. itpoxo7crn ïpyu)V’fii/-AoM-/-x y.x : i/. noXitefac ap.to ; xov v.x-xii : x’<-x, i.’jç i| » i).bv « v6pc*itov paimirrTjvai s’. ; avoua rratçibt vx’: utoû y.x : iytou -iiW-x-.’r. y.x : c.à W)0 r fixr. - : iyx-.’j : ~r ; i X*P lv r0 " àyiou 7 : v : vu.aTo ; Xaêetv y.x ulo8ecrtaç à|i » 8ïjv « r y.a ; -/.ar’icr<5nf]Ta paa e£x6v0Ç £ ::1tpÔffCi)1tOV TOÀJ

Beoû Xdyou icpoentuveî « 16ai" xed u-STa tr, v àvâoracnv arpEirrov -at ; iVj ; x ;  ; xal àva|MÉpTY)TOV TiavTEXcô ; > : v ^oOat. Ka xâXiv EiprjxÔTO ? toy a’LToC ào*e60Cc <-’£oo(ôpo’j tr, v Evucriv toy ôîo’j Xôyou Tcp’r. ; t’jv Xpiertôv rotaÛTTjv yeyev^oOat, otav o ànécrToXoc £~i àvSpb ; y.a’: yuvatxôç" k’crovTa ; ol r. crâpxo ; j.iav. Kx’: wpb{ rai ; aXXat( Kvap16|j.T)Toc( kutoO [s’/aTî’c.u.ia’. ; roXu, ^aavTO( î’.zeîv, or ; p.£7a r » |V ivicrTacriv Èuç-jc^Cfa ; o xûptoç roî{ u.aOr.Ta 1. ; y.ai slrrcov’XâêêTE nveûua otyiov, o-j SéScoxsv x’j-’j'. ; ~ivl[ix âytov, à’/Àà G/r’ix-. : jiovov ivE^VlOIJOS* o - jto ; £s y.ai Tr, v SpioXoyîav . ri)V i-i’.'r, l-r)x~.-r, ii -mi /Etpi’.iv y.a’i t/, ; ItXEVlpfiî

oC XUplO’J [lîti ri|V àvi(7Ta<jiv, to, 6 x-jptcî ; u.o*j

y.ai -j 0 ; o ; u.ou, s’tte p.T) EÎpf, <j8at rcîpi Toi. X ;. : 7 : o0

12. Si quelqu’un | rend la dé : rc de M | sueste, lequel

.’erbe et

autre le (.lirist. ce Christ qui a rtuniti

ûr, et qui [.eu a peu s’est du mal ; que, devenu meilleur par le pr prés de son activité et irréprochable dans sa vie, il a été, encore pur homme, baptisé au nom du )’pet du 1 i ! s et du Esprit, et i ar ce baptême & reçu la çrJue du Saint-’et a él

d’une image royale, il es : en la personne du Oieu Verbe ; qu’ai’rectlon il est

devenu immuable en se^ et absolument im] de plus, ce même impie d.re affirme que l’union du Dieu Verbe avec le telle que celle dont parle l’apôtre entre le mari et la femme : n une seule chair : » et eut : autres inn ! mes, il a osé dire qu’a ; résurn gneur lit sui insufflation, avec ces paroles :

ez le Saint-Esprit, > il ne leu

niais li ; sur eux une insufflatii n de pure forme : et aussi. faite i

lui-ci palpa les ma du Se -urrec ti.n. s

i il a affirmé que cette parole de Thomas ne se rapi’. mai »

qu’elle était dans la bouche do