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C0NSTAN1 INOPLE I ! CONCILE DE

i deui |

que la personne humait in ion

liomm i’ine

I oui - de’"H idi i r la pi i onne

humaine du < ent divinisée ? Elle

de la’li i tail

iquelle d lilleui ni

mdrail il admi td tence, dan

cte de tétraditet’Cf. Diekamp, li, origenistichen Streiligkeiten, p. 59-61. Il se peut que noua ayons affaire à une seule et mi me se< te. l n loul i 5’anathématisme rejette expressément

toute rêverie d i ml évidemment du

passage suivant de la Confession, Mansi, t. i. col. -Vil ;

ov/’te’OU 7tpoff0r, >

iptàd’/.a : ffapX(a>6évT0C roî Evo{ ~r :  ; i-y.7. : -’,

yov. Il est certain par ailleurs que cette condamnation n’atleinl pas Théodore qui avait lui-même par avance formellement repoussé pareille conclusion, i ragm. d< gm., col. 1012 : Quonwdo itaque possibile est quarlam personam super ha qua

mpta est servi formant.

n’Eï n ; y.aTaxpT|OTixôç, à XX’oùx àXr)6ù ; Beotôxov

I. if El - :, -’- : Y ’-’’" -’-'

àeiTtapOévov Mapîav 1, Kaxit âvaipopâv, o> ; âvOpcÔTtou 4/tXo’J yevvïjOévtOCi à)./.’oùx’~°-’' - °’a P"

-/mOévto ; (/.ai TÎjç) ï a’-T/, ; àva<pepo(xÉvY)ç 6è (xcct’exe ! vo-j ) tt, ; toC àv8pco710u ysvwqaEtdc Èiti rbv 8eôv Xôyov a> ; a’Jvôvra tû av9p(Ô71(0 yevou.£va>' -/.*’: irvxofavTEÏ r » )V à-’c’av êv XaXxinSâvi o--j-VoSov, toc zarà Ta15r » )V rr)V àacoï) È7civor)6sïo’av Trapa QeoScopou evvofav Beotcîxov tt)v itapBivov EÎnoûffav’r, eî -iç av8p(onoTÔxov ixûtt)v

XS(Xe( r, YJNffTOTÔXOV, U)Ç TO’J XptdTOÙ p.7] OVTOÇ BeOVJ à/./ à |iY) x’jptco ; xat’/ara àXr, âîiav Beoto’xov auTïjv ôp.o-Xoyeî, oià t’o tbv Ttpô tû>v alojviov èx roû Ttarpoç yevvinBévTa Bebv Xdyov etc’â<r/âxcov tiov ïj(x.spiôv è ; aÛTrjç aapxwSrjvai, ovirto te e-jceëû (xatTr|v iytavEv XaXxr ; -Bdvi gvvoBov Beotôxov aÛTrjv ôu.oXoy5)(Tat, â rotoÛTOç àvdc6î[jia ëcToo.

6. Si quelqu’un dit de la sainte, glorieuse et ti Marie que c’esi un sen et non au

sens propre, qu’elle est a

ansfert, en o Béni qui ci serait un pur homme qui serait né d’elle, et non le Verbe de Dieu qui se serait incarné en elle ; et que la naissance de cet home est son lait, aurait été selon eux attribuée par transfert au Dieu Verbe, en tant qu’étant uni à l’homme une fois né- : et s’il calomnie le saint concile de Chalcédoine en disant que c’est dans cette acception impie, ée va ; Thïcdore qu il déclare la vierge.Mère de Dieu : ou si quelqu’un appelle celle-ci Mère de l’homme ou Mère du Christ, dans ce sens que le Christ ne serait pas Dieu ; au lieu de la proclamer Mère de Dieu au sens propre et en toute vérité, pour ce que le Dieu Verbe engendré avant les siècles a pris chair d’elle aux derniers jours ; et de reconnaître que c’est dans un tel sentiment de vénération que le saint concile de Chalcédoine l’a proclamée Mère de Dieu, qu’il soit anathème.

Le C° anathématisme détermine le sens du tonne Œoroxoç appliqué à.Marie et en précise la portée. Il correspond au 5e anathématisme de la Confession, Mansi, t. IX, col. 560, dont il n’est qu’une rédaction plus développée. La partie concernant le concile de Chalcédoine et ce qui suit est ajouté de toutes pièces. Le débul de cet anathématisme expose la théorie nestorienne de la maternité divine. Marie n’est plus, comme l’avait affirmé le concile d’Éphèse, la mère de Mien au sens vrai du mot, àXvjBûcL’appellation de Beoto’xo ; ne

peut lui être appliquée que d une manière abusive,

i tant que I homme

que la mère d un hornn terme qui

di’/, --, /

int noinl orie que le concile condamne i< i. Ije rn., I. XV, Fragm. dogm, col.’.o. Tliéodoi la question : Marie’Il répond : L’un et l’auti unent :

i pliquant, il ajouti homme, puisque c’était un homme, celui qui se forma dans son sein ; elle était unie de h

que I lit n était dans 1 bon, i dré par el.

vertu d’une union touti uy_eViv t> ; vvoJ|xr ;. - Ailleurs il Apol., ibid., col. 993 : non ta

I Deum de VU gine Deus ex Deo… natus est ex Virgine, eo >j<""i est m tempi ed non per se natin eut Deus Verbu

Cf. ibid., col.’..17 ; Mansi, t. ix, col. 203, 219.

marquons, pour terminer, qui thématisme est évidemment inspirée, presque li crite d’un passage de la Confession, ibid., col. 543, qui débute ainsi : xoù <„y 6eô ; ».r, 8/, ;, ïvùpwzo ; - ;  ; ità TOÛTQ XUptûJÎ…

^’. Ki’T’.ç EV &U0 ÇÛo’EO’tV / : /(. iv, ; j.r, (î>( EV 8e6t>]ti xai àv’jpo)-ÔT/, T’. rbv : va xuptov qpiûv’IijvoOv Xpiorbv yitùp ((e(r8ai iu.o).oy£Ï, îva ô ; a

toOto-j crij.avi, tt, v BiaçOpàv Tiuv pÛ0"EIDV, . : l’y/ àffuy^Otiu ; t, i’çsxTTO ; SMUXfH

YÉyovev’o-J-i toC X6yo*j e’; tt|v tîJc irapxb ; (i£Toitoi » i Bévtoc piiaiv, oîfte t> : tj ; I. o ; r. : i, ; tt, v t a û À 6 y a’J z ô c : / u.E-ra-/topT)cr(iffr)i ; quvei yàp ÉxâTEpov, ô~Ep è’-jt : ri rji <. -/.aï yevou.é’vf) ; rijî Ivc67£’.i ; y.a’j' ÛTCÔarao’iv), à/’/.’ETtl ôia’.pi^Ei tt ; àvà nipOÇ. ri)v T’.'.a.Tï, ’; Xau, 6âvEi çtovï )v êiti toC zxTa Xptarbv |xuoT71p : ou’r, TÔv àpiOu.bv tojv ç.’J<7ô(ov o ; a.o/.oyàiv i-’: roû kÙtoû Évb ; xuptou f|U.(ôv’Irjo-oO toC ŒoO X6you -rap XajflEVTOÇ, [IT| 7/ ((Erop’.a

u.6v7) tt, v Biaipopav to-.tojv /aj.’: iv. -. : IV zae TÉOr, , oux àvatpoviuivTjV oia tt, ’/ IvioaiM (ei ; yip |Ç à’j.-ÇOÎV y.a’: Sl’évbe à ; i ; 6 : zpa. a/.)’ètt’: TOUTbl y.É/_pr, Ta : Té) àpt6u.b>, (o ; y.E/(op : ’7 ; j.Éva ; y.a’i iîio’jTioc-râro’j : Ëj(ElVTà{ yûatiç, i to : oOto ; avaOîjia

E<77CO.

rantla

formuli

reo nnu être en la dh

en l"hu

parla la différence des t.

dont s’i

fusii n l’unii n ineflabli que ni le Verbe ne se soit

transformé en la nature de la

chair ni la chair ne là la natur da Verbe (car chacun demeure ce qu’il est par nature. même une I. union

selon fbypostase), mais prend une semblable Connue ce qui concerne le Christ, dans le sens d’une di en parties : en e sant le nombre (la dual.i natures, en ce même unique Notre-Seigneur Verbe incarné, ne prv d’une manière théorique la différence, différence que l’uni n ne supprime pas. de ces principes dent il est constitué (car un est de dei ;

i un) ; mais se sert du n pour arriver a avoir U acune de sa propre bvpostase, qu’il soit an..’le me.

Le 7’anathématisme est une amplification de l’anathématisme correspondant de la col. 560. Il détermine le sens de la formule i fûo-Ecri adoptée par le concile de Chalcédoine. Voir Chalcédoine, t. n. col. 2207. Cette formule peut interprétée de deux façons : l’une qui maintient sii ment la distinction réelle des deux natures, r