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CLÉMENT D’ALEXANDRIE


condamnés, d'à » * : "' ' '. '.,

p g t viii, col 360 I

Hais lest des n « t immortel I., i J degj , „ supplice du feu, Strom., IV, c. vii, col. a »

Sarfcï « SS

du feu éternel, *<i

' „„„ / G., t. ix. col. 640, préparé ;.monda

Prot c. vi, P. G., t. viii, col. 173.

-./.."../.-I. ; / ;  : --' ' ; ^ ;

capital, Sh-oni., VII, c. x. P. G., ' « . coi. i/ îoC indiqués : a) tel t de départ, * ta,

i '„ intérieur a l'âme, ir£ « i « IvBtaŒtév t : ê<mv B1f «  « ov, , "ù Ile il bat grandir en recevant autaat que

Sblï la gnose, col. 177 ; b) la cont ^/erascen fo ? est donnée la gnose, a La gnose la char, te, a la c nari.M’l.n, a, , ; cr.c.x 1, col.W, i, .agrac.da : lo, ; Uon

gage immédial du progrès suprême, xop^a «  « ^ ^ovotit et de la vision face a face ; c) /" terme. U

ï, „s.'no » s conduit a la fin sans limite et parfaite, nous

SSnant par avance cette vie que nous mènerons Plus tard, vie divine avec les dieux, lorsque nous aurons été délivrés de toute peine et de tout châtiment enduré pour la purification de nos pèches Apres cette rédemption, récompense et honneurs sont donnes aux consommés en perfection. „Wi « r. armes au terme de toute purification et de toute XtiToupia, même la plus sainte : alors aux purs de cœur, réunis au Seigneur, échoit le rétablissement, *™* » ™™^, dans la contemplation éternelle. „,

Suivant la remarque d’At/.herger, op. « t., p. 356, ta perfection du gnostique est souvent demie en te termes qui conviennent à l’autre vie aussi bien qu a celle-ci ; de sorte qu’on peut se demander a que moment la béatitude est accordée. De l’examen de quelques texteS) Quis dives, c. xlii, P. G., t. « , col. 649, 652 Strom IV, c. iv, P. G., t. viii, col. 1228, c. mi, cri & V c. « v P. G., t. ix, col. 181, il ressort que cette béatitude est obtenue immédiatement après a mort par les âmes complètement purifiées. - Cette conclusion est confirmée : a) par l’enseignement de Clément, à la suite d’Hermas, relatif à Yemugrhsation par les apôtres, des âmes justes retemœs dans l Hades. La prédication du Christ dans l’Hades, pour les Juifs seuls, est expliquée dans Strom., VI, c. VI, P. G., . t. x col 265 sq. ; tandis que dans Strom., II. c. ix, P. (x., t mu, roi' 980 il est dit que les gentils eux-mêmes sont sauvés s’ils ont vécu selon la lii, naturelle. D’ailleurs, sans la foi au Christ, aucune purification pour personne - b) L’attitude de Clément vis-à-vis du chihasme est une autre confirmation. Toute sa tournure d esprit, toute son allure théologique l’en éloigne, et A.zberger on cit P. 358, voit un indice de cette opposition dans ta façon dont il entend l’Hebdomade et l’Ogdoade, decrés de perfection morale, et symbolique acheminement vers la béatitude. Cf. Strom., IV, c. xvi. P (, ., t Mil, col. 1317 ; c. xxv, col. 1368 ; V, c. iii, P. G., t..x,

COl. 61. „, . TT v

2. Résurrection. - Annonce d un livre Iïep, ava « a « » - Pted., 1. III, c x, P. G., t. Mil, col. 521. L arbre dont les feuilles ne meurent, , as, Ps i, 1-3, est un symbole de la résurrection. Pmd., 1. I, c. X, P. < i VIII col. 360. Aux hérétiques qui prétendaient que la résurrection avait déjà eu lieu, Clément montre que nous l’attendons encore. Sm>m., III, c.vi, I. » -t*-™Ji col 1152. Cf. Strom., V, c. xiv, P. G., t. ix, col. 157. Dans la résurrection l'âme reprendra son corps ; ils se réuniront suivant la loi de leur être, suivant la naturelle harmonie de leur composition, in résurrection, animant in corpus reverli. ConjungunlM" siUimcl in ne » , aptanUê.

Ad brationet in I Pet., P G, t. -'- « 

Bonhew - C’est !  : ternel ea

1„, „. habituellement désigné par le terme *vmc(k Cest la claire révélation du siècle futur, h face i :

lé)).OVt. S

/., , / i 1 c vi /'. G., t. vin. col. No„s J seront initiés aux saint

rons, , que l’oreille n’a point ei

, ., t su.t toute uni description entlu

poétique. Prot., c. ui, PG., t. viii, col. 240 Clément Ile a diverses repri '<* millénaires, te

tére transcendant de cette béatitudi

lement par v l’analogie. Voir spécialement, 1

I III c. xii. P. G., t. viii, col. 665, allusion

l’g ies biens de la terre, biens humaii

chesse, santé, force, car les vrais « l’oreille n’a pas entendus, qui ne sont point connus

du cœur de l’homme… i qui sont vrairnei « vta.. au regard desquels les biens pi

que participations et synonymes, xaia [UTowier. Ixefvwv -.% -?, le owv » vi » ( « r.

J. Martin, L’apologétique tradition motifs de conversion : Le Nourry, Disse, du mariage,

P G, t. ix, col. 1175-1181 ; des vertus chrétien cul. 1181-1199 ; du gnostique eu chrétien parfait, rb « f., « »-" » 123& ; Bigg, r/, e christio » ! ptatonisla, Oxford réfdeuxVies ; Atzberger, Ces,

1896, p. 341 sq, le salut ; p. 358 s, ., la pémtence daprè men ; Capitaine, Die Moral des Clemens von Ajezwui Paderborn 1903, p. 257-301, motifs des actes et de b -res de fectionp. 312-320, ba] t. me et pi nitence.

sTveïchatologie décernent, voir W. de LossIx.ve, Clemens of^t^aZLtanafter^eatHproba^istor^ litt, dans The Bibliotheca sacra, octobre 1888, P- « » « » on at, p. 111-115 ; L. Atzberger. op. cit., p. 336-38 ration sefentifique de i 'éiée, d après U.ment

d 'I lexandrie, voir nota » ^ <^'e 'e < le r ^

du cieU p. « MM, l'état des âmes justes immédiatement après fS ta doctrine de '-e duChr^ aux

enfers, sa position par rapport au miUénarisme ; p. 361-3. c l’tnents de l’aune vie ; G. Aarich, Klemens und Or, TZ, ru„dcr acr LeUre vo, n Fegfeuera, Abhandlungen. Eine Festt /" « J HoJl* » nann ; Tubtague, 1902, p. 95-120 (pubW I pari » .

rv foi bt gwose ;.4-v-rn db mei' ".^-vorn d£s HOinœs/CPLrBBJ s_w.m.v ; a/>. - l-Fw ei gnose. Û gnose est une élaboration scientifique du contenu de la foi. 0d « çuerem inteJtectum ; elle es 1 ed.lice construit sur son fondement ; mieux encore elle en H 1 développement vital. Elaboration scient, l.quee e est chose rationnelle ; construite sur le fondement, elle tient de la foi tonte sa solidité, et ne saurait trouver ad eurs de point d’appui ; développement v i.al. elle es , n n.ée du principe surnaturel, et cette vie s accroît et " i.ie encore par l’influ/nce de ta chanté, le concours des diverses vertus. Il y a donc la une évolution logique' « ne évolution vivante ; il y a de Intellectualisme, et il a de la foi vécue.

Faute de reconnaître l’un ou l’autre de ces points de vue, on déOgure cette théorie générale des rapporte de la enose et de ta foi. le point de vue le plus original de Clément celui par ou sa doctrine est restée le plus célèbre et le plus féconde, llarnæk a écrit, au sujet de f, 'uvre de Clément ;. Ce fut là - pour la forme et pour le fond - la découverte du christianisme sc.engfique, qui ne contredit point ta foi, mai* q » '- >"' «  bornant plus a des consolidations OU ecl.urc.sseme, U ' a „, els. la fait monter dans une autre sphère spirituel e

, plus hante, quittant le domaine de l’autorité et de robéissance, pour le domaine du savoir lumineuxe de

îSment intérieur spirituel, mon…, ., vers i^-u sur bs ailes de l’amour, i Vogmengeschu-hte, Fnbourg-