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NICEE (I « CONCILE DE’412
ÈxGsaGai t^îjipov. AL SE élevé, nous puissions pré aùvoSoi yivsaGcoaav, lai a senter a Dieu une offrande
Hèv -p6 ttjç Tsaaapaxo- **" « . et le second dans
^ _ r „’, ’lautomne.
(TTTQÇ, îva Ttacnjç LiixpoCL Hefele-Leclercq, t., ,
<|iu/iaç avaipouLi£vi, ç to p --> !.
Scôpov xaGapôv Ttpoaçépy, xat tco Geco, Seurépa 8s
rcepl tov toû lætotewpou
xaipôv.
ç’Ta àpxaïa è’8r) xpaxeî- 6. Que l’ancienne cou tw Ta èv AîyÛTVTto xal Aitl’mee n " s age en Egypte,
6ùïi xal IIsvTOOTéXei, é ; aT£ dans, a. Lyb. ie Pt la l’"* 3 "
s’n y * < i’P°le soit maintenue, c est-a tov AXEçavopsiaç ETtiaxo- *, . …. 5,.,
, ^ ", , / dire que leveque d Alexan 7TOV ttxvtcov toutcov Hy ? » dHe conserve juridiction sur
tt, v ÈÇouaîav, ètoiSï] xal tu toutes (ces provinces), car il
èv 'Po>(i.Tf) ÈTriaxôicco toûto y a le même rapport que
aûvYjOsç ÈaTiv - ôjAOÎcoç Ss pour l’évêque de Home. On
xal xaTà’AvTiô’/eiav xal doit de même conserver aux
èv TOÙç SXXociç ETOipYiaiç Églises d’Antioclie et des
e -. > y « - autres eparclnes (provinces)
ra Trpsaosta acoCsatlai Taiç, .. 2.T. T, _i
, .’, n/r » ? leurs anciens droits. Il est
exxvr.aïaiç- _xa06Xou Se bien évident que> si quel.
7tpô « 7]Xov exetvo, ÔTt et tiç qu’un est devenu évêque
ycoclç yvcojrrçç toû [i.r]Tposans l’approbation du métro ttoXÎtou ysvoiTO È7Ûaxopolitain, le concile lui or 7roç, tov toioûtov Y) LAEyàXïJ donne de renoncer à son
aùvoSoç copias la* Ssîv épiscopat. Mais l’élection
î > / i i avant été faite par tous avec
slvai sTuaxoTcov sav lasvtoi. : _ * K., „
, V’discernement et d une ma tv) xoivr) roxvTOV d/Tjçcj), nière con forme aux règles
suXoyco OU07) xal xaTa de l’Église, si deux ou trois
xavôva ÈxxX7)aiaaTix6v, 8ùo font opposition par pur es r) Tpsïç Si’oîxsïav cpiXovsiprit de contradiction, ce sera
xîav àvTlXsycoai, xpaTsbco Ia majorité qui l’emportera, rj twv tcXsiôvcov ij/îjipoç.
Ce canon consacre la situation exceptionnelle de
l’évêque d’Alexandrie sur l’Egypte, la Lybie et la Pentapole. Ces provinces civiles ne constitueront pas des provinces ecclésiastiques. Le concile fait remarquer qu’il y a là une situation qui est analogue à celle de l’évêque de Rome, lequel avait juridiction immédiate sur toute l’Italie (centrale et méridionale). Hefele-Leclercq, p. 553.
Pour la discussion de ce canon, voir l’article Patriarches.
Y)’'EtciS’À) auvrjGsia xe- 7. Comme la coutume et
xpaT7 ; xs xal 7tapâ80aiç àpl’ancienne tradition portent
yaïa coots tÔv Èv ADaa tme v ^ è <™ d’^ lia doit
>" - ~ o >’' être honore, au il obtienne
etuoxo-ttov TiuaaGai, eyetco, … !,
, , , n r > A ~ la préséance d honneur sans
ty)v axoXouGiav tï)ç tilatjç, préjudlce cependant de la
tji jif]Tponosi acoÇofvsvou dignité qui revient à la mé toû oîxeîou àÇtcÔLAaToç. tropole.
Ce canon concerne la situation exceptionnelle de l’évêque de Jérusalem, lequel, suffira gant de Césarée de Palestine, a droit cependant à certains honneurs. Cf. Hefele-Leclercq, t. i, p. 569.
Tj’rispiTcôvôvofjiaÇovTCOV 8. Au sujet de ceux qui
|iiv ÉauTOÙç xaGapoûç tcote s’appellent eux-mêmes les
TTpoaEpyofAEveov 8è tt) xaGcathares (les purs), le grand
ûXixvj xal à7roCTToXixyî’Exconcile décide que, s’ils
xXr, aîa è’So^e xf) jjiEyàX/) veulent entrer dans l’Église
xal àyîa auvoSco, coctte catholique et apostolique,
X£ipo0£TOU[jl£vouç aÛTOÙç on doit leur imposer les
jjlÉvsiv O’jtcoç èv tcT> xX/)pep, mains, et ilsresteront ensuite
Tipô TîàvTCov Se toûto ôjjiodans le clergé ; mais avant
Xoyrjaai aÛTOÙç Èyypàcpcoç tout ils promettront par
TtpOCTïjXEi, Ôti auvO/jaovTai écrit de se conformer aux
xal àxoXouOrj nouai toïç enseignements de l’Église
|i.rj< ; xaOoXlXY] ! ; xal à.nocatholique et apostolique,
ttoXixtjç’ExxXr, alaç 86yc’est-ù-dire qu’ils devront
aaai tout’ectti xal Siyâ- communiquer avec ceux qui
aoiç xoivojveÏv xal toïç se sont mariés en deuxièmes
sa tco Sicoyjjico Trapa7T£TrTCOnoces et avec ceux qui ont
xoaiv, èç’cov xal /povoç faibli dans la persécution
TÉTaxTai xal xaipôç copiamais qui font pénitence de
TOtr coots aÙTOÙç àxoXouleurs fautes. Ils seront donc
Geîv Èv Tîôcaiv toTç o"ôyu, aai tenus de suivre en tout l’en TÎjç xa00Xix"7 ; ç’ExxXrjaîaç. seignement de l’Église ca svGa u.£v oùv TrâvTEÇ, e’Îte tholique. Par conséquent,
Èv xcôfxaiç, site èv TVÔXsaiv lorsque, dans les villages ou
aÙTol (xôvoi sûpîaxoiVTO dans les villes, ils ne se
ysipoTOvyjGsvTsç, ol eûpl<Ttrouve que des clercs de leur
xôfxsv&i Èv tco xXrjpep parti, ils doivent rester dans
eaovTai Èv tco aùxco a/7)- le clergé et dans leur charge ;
u.aTl* El Se toû ttjç xaOoXimais si un prêtre ou un
xrjç’ExxXrjaiaç ÈTiiaxoTcou évêque catholique se trou T} 7rp£a6uTÉpou ovtoç TTpovait parmi eux, il est évident
aÉp-/ovTaï tivsç, TrpoSvjXov, que l’évêque de l’Église ca ôç ô [xsv ÈTÛaxoiroç t^ç tholique devra conserver la’ExxXyjaîaç eÇei TÔ à^îcojjia dignité épiscopale, tandis
toû È7uax67rao, ô Se ôvoque celui qui a été décoré du
|JLa^ô[X£voç Tcapà toïç Xeyotitre d’évêque par les ca |j.Évoiç xaGapoïç ê7siax07roç thares n’aura droit qu’aux
TY]V toû 7Tpsa6uTÉpou Tl[i."r)v honneurs réservés aux
sÇsi, tcXy]v si ji.7) àpa Soxoî’/) prêtres, à moins que l’évêque
tco E7riax67TCo tt ; ç tijjITJç ne trouve bon de le laisser
toû ôvôfxaTOÇ aÛTOV (j.etÉ- jouir de l’honneur du litre
XEtveî Se toûto aÙTÔ) [ir (épiscopal). S’il ne le veut
àpsaxoi, £7Tivor)a£i T07tov pas, qu’il lui donne une
7) }( w P STrt’ax07T0U ^ TrpsoP’ace de chorévêque ou de
6uTÉpou, ûrcèp toû èv tco prêtre, afin qu’il paraisse
xXrjpep oXcoç Soxsïv sivai, faire réellement partie du
ïva u.7) Èv ifi tcÔXei Sûo Ètïiclergé, et qu’il n’y ait pas
axoTîoi coaiv. deux évêques dans une ville.
Ce canon concerne les conditions à remplir par les
novatiens et leur clergé, s’ils veulent rentrer dans l’Église catholique. Cf. Hefele-Leclercq. p. 578. Consulter l’article Novatianisme.
6’Eï tiveç àvsçETaaTCoç 9- Si quelques-uns ont
7Tpoay)xG"/)0°av TrpEaêÛTSpoi, été, sans enquête, élevés à la
rj àvaxpivojjiEVOi côu.oXôyr, - prêtrise, ou si, au cours de
aav Ta 7)[jiapT7)fX£va aùxoïç, l’enquête, ils ont avoué leurs
xal cb|j.oXoyyjaâvTCov aÛTCÔv crimes, l’imposition des
Trapà xavova xivoûplEvoi mains faites contrairement
àvGpcoTcoi toïç TOiouTOiç à ce que le canon ordonne,
/sïpa È7UT£6£Îxaai, TOÙ- n’est pas admise, car l’Église
tooç ô xavebv où 7rpoaÎETai, catholique veut des hommes
to yàp àv£7ÛX7)Tm>v ÈxSid’une réputation intacte. xeï’(] xaGoXixy)’ExxXvjaîa.
Cf. Hefele-Leclercq, p. 588 ; la traduction de dom Leclercq « l’imposition des mains faite contrairement à ce canon, sera déclarée invalide » nous semble dépasser de beaucoup ce texte grec. Toùtooç ô, xavebv où TrpoaîsTai signifie simplement « ceux-ci le canon ne les admet pas », sans rien dire sur la validité de pareille ordination.
i’"Oaoi 7rpos/sipîaG7)- 10. Les lapsi qui auront
aav tcov roxpam-TiTcoxÔTCOV é té ordonnés soit que ceux
xaTà ôîyvoiav, =h xal Trpo- 1 ui les ordonnaient ne con s., ~ missent pas leur chute, soit
siSoTcov tcov Typoxsipiaa-, ., s, a connussent> ne font
[isvcov, touto ou TTpoxpivsi pas excep tion aux lois de
tco xavôvt Tcp ÈxxXv)aiaal’Église ; ils seront exclus dès
TixcoyvcoaGÉvTEÇ yàp xaque l’on aura connaissance
GaipoûvTai. de cette illégalité.
Cf. Hefele-Leclercq, p. 589.
ia’LT£plTcbv7rapa6àvTcov 11. Quant à ceux qui ont
ycoplç àvâyxrjç /] /wplç faibli pendant la persécution
àçaipéascoç Û7rapy6vTcov -h] de Licinius, sans y être
Ycopiç xivSùvou "vî tivoç P ollss és par la nécessité ou
" r i « >_v par la confiscation de leurs
toioutou, o ysyovEV etci f., ,, .
/ » ’a i biens ou par un danger qucl ttjç TupavviSoç Aixiviou, conque> le conci i c décide
èSoçe t^ auvoSco, xav qu’on les traitera avec ména àvâ^ioi /jaavçiXavOpojTTÎaç. gement, quoique, ù la vérité,