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LES CHASSEURS D’ABEILLES
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caution, pouce à pouce, l’oreille au guet, prêts à faire feu au moindre mouvement suspect de leurs ennemis.


Don Fernando lui tordit le poignet si rudement que le misérable laissa échapper son arme avec un cri de douleur.

Mais rien ne bougea ; les Apaches dormaient, pour la plupart plongés, ainsi qu’il était facile de le deviner, dans l’ivresse brutale causée par l’abus des liqueurs fortes.

Seulement trois ou quatre guerriers que la plume de vautour, plantée dans