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Le marié en riant :
— Partez quand vous voudrez ;
Mais pour moi je demeure,
Ah ! si jamais j’en pleure,
Sera quand vous reviendrez.
La mariée, paraissant en colère au milieu des siens :
— Sans dout’ je partirai,
Sans verser une larme ;
Croyez-vous que vos charmes
M’engag’raient à rester ?
Le marié :
— Partez quand vous voudrez.
Mais il court après elle et la ramène à la maison.
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À Bruz, autrefois, lorsqu’une noce durait plusieurs jours, la mariée était emmenée chaque soir coucher chez des parents ou des voisins, et elle n’appartenait réellement à son mari que lorsque la fête était complètement terminée.
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