Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/220

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Derrièr’ la grang’, dans les orties,
Jamais vous n’avez tant ri !
J’l’y pris la main et je l’ramenis,
Ma qui voulais rire !

J’l’y pris la main et je l’ramenis,
Jamais vous n’avez tant ri !
Le grand nigaud y se r’couchit,
Ma qui voulais rire !

Le grand nigaud y se r’couchit,
Jamais vous n’avez tant ri !
Aussitôt j’me mis près de li
Ma qui voulais rire !

Aussitôt j’me mis près de li,
Jamais vous n’avez tant ri !
J’vous dirai point ce qu’il me fit,
Mais qu’il me fit rire !

J’vous dirai point ce qu’il me fit,
Mais qu’il me fit rire !
Non, jamais vous n’avez tant ri !
Comme il me fit rire !

(Hédé.)