Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/218

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Ça lui rappell’rait l’temps passé (bis),
Du temps qu’elle était fill’, voyez-vous,
Du temps qu’elle était fille.
J’aim’ lonla, lanla, derita,
J’aime le mot à rire.

Quand les amants venaient lui dire (bis)
Qu’elle était bien gentill’, voyez-vous,
Qu’elle était bien gentille.
J’aim’ lonla, lanla, derita,
J’aime le mot à rire.

(Redon.)
Le Nigaud de Mari

Mon pèr’ m’a donné un mari,
Jamais vous n’avez tant ri !
La premier’ nuit j’couchis d’oli,
Ma qui voulais rire !

La premièr’ nuit j’couchis d’oli,
Jamais vous n’avez tant ri !
Le grand nigaud y s’endormit.
Ma qui voulais rire !