Page:Adolphe Orain - De la vie à la mort - Tome premier.djvu/152

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Qu’un gros bâton de vert pommier,
J’entends la perdrix dans les blés,
Pour servir à me régenter.
— Entends-tu, Michaud ? Ho !
— J’entends la caille,
Parmi la paille,
J’entends la perdrix dans les blés.

Pour servir à me régenter,
J’entends la perdrix dans les blés ;
Vieillard, si tu m’y bats mésé[1],
— Entends-tu, Michaud ? Ho !
— J’entends la caille,
Parmi la paille,
J’entends la perdrix dans les blés,

Vieillard, si tu m’y bats mésé,
J’entends la perdrix dans les blés,
J’te plant’rai là, je m’en irai.
— Entends-tu, Michaud ? Ho !
— J’entends la caille,
Parmi la paille,
J’entends la perdrix dans les blés.

  1. Désormais.