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TABLE ANALYTIQUE


au principe de tout. 4° L’objection anti-intellectualiste contre le principe de non-contradiction (Heraclite, Bergson, Le Roy). Solution parle concept de puissance, qui sera impliqué dans tontes les preuves de Dieu. 5° L’objection hégélienne (intellectualisme absolu) contre le principe d’identité. 6° Le principe de substance, détermination du principe d’identité, son rapport avec la démonstration de l’existence de Dieu. 7° Le principe de raison d’être, fondement plus prochain des preuves de l’existence de Dieu. Il se rattache au principe d’identité, par une réduction à l’absurde ; en ce sens, il est analytique. 8° Le principe de causalité, fondement immédiat des preuves de l’existence de Dieu. L’idée de cause, sa valeur ontologique : la causalité, se déûnissant en fonction de l’être par la « réalisation », dépasse l’ordre des phénomènes, c’est un « sensible per accidens », et per se un intelligible. 9°Tout devenir et tout composé demandent nécessairement une cause. io° Le principe de finalité dérive du principe de raison d’être. Nous reconnaissons sa valeur absolue avant d’avoir établi l’existence de Dieu. 1 1° Instance idéaliste : on ne peut partir de l’être, un au-delà de la pensée est impensable, liaisons pour lesquelles la nécessité de partir de l’être s’impose en fait et de droit, antérieurement à toute théorie de la connaissance. 12°Un au-delà de la pensée n’est rendu impensable que par une conception toute matérielle et quantitative de la représentation. C’est au contraire la négation de cet au-delà qui est absurde. 13° Le principe de causalité a-t-il une valeur non seulement ontologique, mais transcendante ? La 4e antinomie. 14° Le fondement négatif de la valeur transcendante de la notion de cause (et des autres notions appliquées à Dieu) : ces notions, au moins par leur raison formelle, ne sont pas dan*, un genre, mais sont transcendantales (à tous les genres) et par conséquent analogiques. |5" Le fondement positif de la valeur transcendante de la notion de cause : les exigences positives des réalités contingentes formulées en fonction de l’être. Rôle de l’idée d’être et de l’idée de cause dans le fondement de la valeur analogique des noms divins. iG° Le moyen terme de notre démonstration sera analogique, i-° Cette connaissance analogique va nous permettre d’atteindre l’existence de Dieu et quelque chose de l’essence, mais non pas d’atteindre quidditalivement l’essence, c’est-à-dire la Dcité dans ce qui la constitue en propre : i, cj"-ioi(). — III’Partie : Les preuves de l’rxistrncb un Diku. i° 1rs cinq preuves types. Leur universalité. Leur ordre. Ce qu’elles entenden 1 prouver. » Proust-générale qui englobe toutes les antres Son principe : o le plus ne peut pas être produit par le moins », le supérieur seul explique l’inférieur ». 3° Preuve par le mouvement. Objections des mécanistes, des dynamistes. Le prétendu postulat du morcelage. Conséquencesdecette preuve. Première réfutation du panthéisme : le premier moteur, gui ne peut avoir en lui de devenir, est essentiellement distinct du monde qui, lui. est toujours ehan géant. 4* Preuve par 1rs cames efficiente*, La iduse productrice et conservatrice de l’être. l’nuve par la contingence. L’être nécessaire n’est ni la collection des êtres contingents, ni leur loi, ni

le devenir, ou une substance qui leur serait commune. L’être nécessaire est l’être souverainement parfait. Cette preuve n’implique aucun recours dissimulé à l’argument de S. Anselme. G° Preuve par les degrés de l’être. Réalisation hiérarchisée des transcendantaux. Le premier être. Deuxième réfutation du panthéisme : le premier être est distinct du monde de par son absolue simplicité. La première intelligence. Cette preuve se précise par trois autres : a) preuve par les vérités éternelles, la suprême vérité, le suprême intelligible ; h) preuve par l’aspiration de l’âme vers le bien absolu, premier désirable ; c) preuve pnr le caractère obligatoire du bien, le premier et souverain bien. Rapport de cette preuve avec celle par la nécessité d’une sanction pour assurer l’ordre moral. 7° Preuve par l’ordre du monde. Son point de départ : toute multiplicité ordonnée. Son rapport avec la précédente. Sa rigueur absolue : 1, 1016-76. — IV* Partie. La Nature diî Dieu. 1’Quel en est le constitutif formel : l’aséité ou l’intellection ? 2 Les attributs divins se déduisent de l’aséité. 3° L’intellection divine. 4° La vie divine. 5° La volonté et la liberté divines : 1, 1076-88.

— Dieu en général. — Selon le Sjllabus : iv, 1078.

— Selon l’Ancien Testament (monothéisme juif ; espérance messianique) : II, 1 566-65 1. — Selon l’Hexateuque (Moïse et Josué, Loi mosaïque ;  : iii, 788-90, 802, 804, 81 5-33, 839-42, 844-6. — Conception de la Divinité dans la Genèse. Réponse aux objections rationalistes : 11, 295-7. — Selon les Psaumes : iv, 480-2. — Selon Job : 11, 1543.

La foi de l’Eglise (premiers siècles) et les inscriptions anciennes : 1, 144 2 - — Selon l’origénisrue : III »

[244-6,

i ?’17

47-8, 1250-i, 1255.

Selon S. Thomas :

iv. 1(181-7.

La notion d’un Etre supérieur chez les primitifs : m, 1068. — Religions diverses. Voir Religion (et renvois ) ; Religions (et renvois) (spéc. sur Dieu selon les religions de l’Inde : 11, 651-3, 670, 671-4, 678-80, 684-5, 686, 688-702). — Dieu selon les stoïciens : iii, 1646. — Selon la gnose : 11, 298-9, 301-7, 309-10. — Selon le mahomélisme : 11, 1136, 1138, 1 13g-40, 1 1^6, 1 1 /| 7. — Selon l’Eglise grecque : II, 367-8. — Selon la Confession d’Augsbourg : iv, 614- — Et le crlticisme kantien : 1, 740-1, ’J^o-i, ~/"-$. 7~>°-, "’r’757. — Nietzsche contre l’idée de Dieu : 11. 19 » 1-2. — Panthéisme moniste d’Hæckel : iii, 501-2, 503-4, 509-10. — Dieu et le monisme : iii, 878-929. Voir Monisme. — Croyance en Dieu et Franc-Maçonnerie : 11. 1 20-4. — Selon Renouvier : 1, 1919-20.

— Selon l’occultisme : 111. 1118-20. — Selon la theosophie : iv, 1661-2, 1 663-6. — Selon le pragmatisme : iv. 147-8. l4g-51, i(>4, 165-72. — Selon la méthode d’immanence : iv, 596-7,."198, 602-3. — Déterminisme théologique : 1, 739-41.

— Connaissance par l’homme. — Connaissance plus ou moins confuse qu’en ont tous les lioiumes. L’athéisme est-il excusable ? : [V, 900. Religion.

Théories sociologiques et psycbologiqucs. Statistique des religions : iv, 857-909. — Et la magie : 111. 72-3. — Pari de Pascal : m. 1582-7. — Inoompréhensibililé : iv., b-/i. — La connaissance de Dieu

par 1 bonime. Selon la méthode d’immanence : iv.