Page:Adam (Lamber) – Païenne, 1883.djvu/203

Cette page a été validée par deux contributeurs.

sions d’art, toutes mes puissances doublées par les tiennes.

Tu es bien, dans le sens élevé et sublime, je le répète, la maîtresse de ma vie, le guide de mes efforts, la récompense de mes travaux, et je ne veux des couronnes que pour les mettre à tes pieds.



À TIBURCE

Comme je te remercie de me faire assister au spectacle extraordinaire de tes observations sur toi-même ! J’ai parfois dans mes recherches, à tes côtés, des vues soudaines, des divinations heureuses ; mais combien tu excelles avec ton abondance, ta générosité d’esprit, à m’initier d’un mot à toutes les ressources de ton génie !

Crois-moi, n’envie rien à cet être idéal