Page:Adam (Lamber) – Païenne, 1883.djvu/134

Cette page a été validée par deux contributeurs.



À MÉLISSANDRE

Je t’aime et t’aimerai sans cesse, toujours, à tout jamais !



À TIBURCE

C’est Vénus tout entière à sa proie attachée. Tu sais maintenant quelle est ma passion et combien je suis envahie. Loin de toi, dans l’odieuse absence, si j’essayais de me reprendre, songe à ce jour d’hier, à ces défis jetés par moi à moi-même. Je t’appartiens comme Juliette à Roméo, dans la vie et dans la mort !