Page:Adam (Lamber) – Païenne, 1883.djvu/101

Cette page a été validée par deux contributeurs.



À TIBURCE

Bonjour, ami tendre. Éveillez-vous et souriez à qui vous appelle aux joies matinales, à qui vient, par un court billet, vous remercier du gai bonheur que vous lui avez rendu, des joies que vous répandez sur chacun de ses jours.

Je ne vous visite que par lettre, et cependant vous tressaillez de plaisir. Vous m’aimez donc autant que je vous aime ? J’avais cru la chose impossible.



À MÉLISSANDRE

Quel délicieux réveil ! Je déroule cette bandelette sacrée. J’y respire le parfum