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tique ; mais je n’entends pas qu’on débourse un penny pour ma liberté.

— Moi, repris-je sans tant de colère, je te prie de dire à mes amis dans quelles mains tu m’as laissé. S’il faut quelques centaines de drachmes pour racheter un pauvre diable de naturaliste, ils les trouveront sans peine. Ces messieurs de grand chemin ne sauraient me coter bien cher. J’ai envie, tandis que tu es encore là, de leur demander ce que je vaux, au plus juste prix.

— Inutile, mon cher monsieur Hermann ; ce n’est pas eux qui fixeront le chiffre de votre rançon.

— Et qui donc ?

— Leur chef, Hadgi-Stavros. »