(TEXTE EN ARABE) Les Mouallafa-Couloubhoum étaient des personnages influents dont le prophète cherchait à se concilier l’amitié pour agir ensuite sur leurs tribus par leur intermédiaire. » Sirat, fol. 233 vª
(141) Les vers cités dans le texte sont du mètre
(142) Les mots (TEXTE EN ARABE) ne se trouvent di dans le texte du manuscrit 101, ni dans celui du manuscrit 615 A, mais bien dans le Sirat-er-reçoul (fol. 235), et ils complètent le sens d’une ma- nière trop naturelle pour ne pas croire qu’ils font partie du texte véritable.
(143)Les Kharidji sont ceux qui refusent de reconnaître l’imani véritable : cette dénomination fut appliquée, pour la première fois, aux Musolnians qui abandonnèrent Ali après la bataille de Seffin. Voyez ce qu’a dit Pococke sur cette secte el les autres sectes HIDsulmanes, Spec. Hist. Arab. p. 264.
(144) Tabouk, d’après la Géographie d’Abou’lléda, est situé entre la
Syrie et le Hedjr : on y trouve les sources abondantes et des palmiers.
Édrizi dit qu’entre cette place et la Syrie il y a quatre journées de
marche. Ebn el-Ouardi ajoute que cette ville est défendue par un cháteau
construit en pierre. (Rommel, p. 97-) D’après Djentabi, Tabouk
est à moitié route entre Médine el Damas. (Gaguier, p. 123.) On lit dans
le Meracid el-Ittila, p. 124 : phalal
d
Tabook est un bourg situé entre Quadillora ot la Syric ;
on y trouve une source et des palmiers,
(145) Trois Ansariens sincères. Le mot ce est écrit dans le man. 10 de la Bibliothèque royale, qu’on croit auto- graphe, de manière qu’on pourrait lire, ce qui voudrait dire non Ansariens ; mais on voit dans le Sirat que Caab appartenait à la famille des Benou-Selimè, et Helal à celle des Benou-Ouakif : or ces deux familles, d’après le , étaient ansariennes : par conséquent la leçon doit être la bonne.
(146) Hedje suivaut Ebn-laukal, ainsi que le dit Abou’lféda,