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hommes de chez nous, ce rêve mystérieux et sublime par lequel tous les Celtes de l’avenir se reconnaîtront…

Chantons le pays des genêts et des ajoncs d’or, la terre des menhirs et des coiffes blanches, de la vie pleine d’espérance, le sol du passé et de la légende. Chantons Breiz-Izel douce au cœur du barde ! Humons dans le vent de Gwalarn qui souffle de l’Arré des senteurs marines, en disant avec Proux et Rolland que la vie est toujours belle au pays de la pauvreté où régnent encore la paix et la vérité.