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comment s’y prend-on ?…

— Cherche, dit Flora,

Je m’étais replacé sur la chaise longue, ma robe de chambre toute ouverte ; Flora s’était remise à mes pieds, me caressant les bourses, tandis que, de la main gauche, je lui pelotais les seins ; j’avais passé le bras droit autour de la taille de Maud, qui saisit mon membre à pleine main. « Oh ! regarde, Flora, comme il est redevenu gros et dur… Qu’il est beau !… »

Et ayant amené sa menotte jusqu’au bout du gland, elle le lâcha brusquement ; maître Jacques, tel un ressort, revint me frapper le ventre. Elle recommença plusieurs fois le jeu. Puis elle s’amusa à faire aller régulièrement ses doigts sur le prépuce, couvrant et découvrant le gland.

— C’est ça, lui dit Flora… va un peu plus vite…

Et Maud, activant le mouvement, colla ses lèvres aux miennes…

Je commençais à avoir la respiration plus courte, Maud m’observait curieusement, portant son regard de mon priape à mon visage. Tout à coup, je lui saisis brusquement la main, en criant : « Arrête !… arrête !… ou je vais décharger… »

Elle me regarda, surprise : « Non, non, dit-elle, je veux voir comment ça sort… car on m’a dit qu’il sortait quelque chose… »

Elle avait à peine recommencé, que je la serrai fortement et que cinq à six jets superbes de bonne liqueur s’élancèrent en l’air.

— Oh ! que c’est amusant, s’écria Maud, en frappant des mains… quelle vigueur !…

Flora s’était précipitée sur l’objet pour en aspirer les dernières gouttes…

— Comment cela s’appelle-t-il, en français, demanda Maud ?…

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