Page:Œuvres de Walter Scott, Ménard, traduction Montémont, tome 5, 1838.djvu/27

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sont efforcés de répondre à la faveur honorable que le public accorde aux artistes anglais.

Comme ami et comme auteur, je remercie sincèrement mon illustre compatriote David Wilkie, Edwin-Lundseer, qui a si souvent exercé son talent sur les sujets et paysages écossais ; je remercie également MM. Leslie et Newton. Je n’ai pas de moins grandes obligations à MM. Cooper, Kidd et autres artistes, dont je suis connu moins personnellement, pour le zèle avec lequel ils ont consacré leurs talents au même objet.

Il n’appartient pas à l’auteur, mais aux éditeurs, de donner sur cette édition des explications plus étendues ; l’auteur a accompli sa tâche dans l’introduction qu’il vient de présenter. Si, comme un enfant gâté, il a quelquefois abusé de l’indulgence du public, il le supplie de croire qu’il n’a jamais été insensible à sa bienveillance.

Abbotsford, 1er janvier 1829.