Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 2, Lemerre, 1890.djvu/296

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N’ont pas dans la prunelle un éclair plus haineux ;
Et cependant, avec d’irrécusables teintes,
Sur ses beaux traits l’horreur et la pitié sont peintes ;
Sa poitrine oppressée éclate en sourds sanglots.
Il descend au rivage, et, le pied dans les flots,
Faisant fuir de ses cris les mouettes effarées,
Agite éperdument ses mains désespérées !
[…]