Page:Œuvres de M. de Crébillon, tome second, 1750.djvu/406

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dis-je, preſque mourant, ſe frayer tout-à-coup un chemin des bords de l’Achéron au faîte de la gloire ? Ce dernier trait paraîtra ſans doute trop poétique dans un diſcours en Proſe ; mais, Monſieur, en vous adreſſant la parole, il étoit bien juſte de vous parler un moment votre langue maternelle.