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Comment on peut voir jusques à six soleils dans ce cercle blanc : le premier directement, les deux suivants par réfraction, et les trois autres par réflexion. | 298 |
Pourquoi ceux qu’on voit par réfraction ont d’un côté leurs bords peints de rouge, et de l’autre de bleu. | ibid. |
Pourquoi les trois autres ne sont que blancs et ont peu d’éclat. | 299 |
D’où vient qu’on n’en voit quelquefois que cinq, et quelquefois que quatre, et quelquefois que trois. | ibid. |
Pourquoi, lorsqu’on n’en voit que trois, il ne paroît quelquefois, au lieu du cercle blanc, qu’une barre blanche qui les traverse. | ibid. |
Que le soleil, étant plus haut ou plus bas que ce cercle blanc, ne laisse pas de paroître à même hauteur. | 300 |
Que cela le peut faire voir après l’heure qu’il est couché, et avancer ou reculer de beaucoup l’ombre des horloges. | ibid. |
Comment on peut voir un septième soleil au-dessus ou au-dessous des six précédents. | 301 |
Comment on peut aussi en voir trois l’un sur l’autre, et pourquoi alors on n’a point coutume d’en voir d’autres à côté. | ibid. |
Explication de quelques exemples de ces apparitions, et entre autres de l’observation des cinq soleils qui ont paru à Rome le 20 mars 1629. | 302 |
Pourquoi le sixième soleil n’a point paru en cette observation. | 304 |
Pourquoi la partie du cercle blanc la plus éloignée du soleil y est représentée plus grande qu’elle n’a pu être. | 305 |
D’où vient que l’un de ces soleils avoit une grosse queue de feu qui changeoit souvent de figure. | ibid. |
D’où vient qu’il paroissoit deux couronnes autour du principal de ces soleils, et d’où vient qu’il n’en paroît pas toujours de telles. | 306 |