Page:Œuvres de Descartes, éd. Cousin, tome V.djvu/510

Cette page n’a pas encore été corrigée
Ni par l’agitation des vents. 10
Ni par la dureté du verre ou autres tels corps transparents. ibid.
Comment cela n’empêche pas même qu’ils ne soient exactement droits. 11
Et ce que c’est proprement que ces rayons. ibid.
Et comment il en vient une infinité de chacun des points des corps lumineux. 13
Ce que c’est qu’un corps noir. 14
Ce que c’est qu’un miroir. ibid.
Comment les miroirs, tant plats que convexes et concaves, font réfléchir les rayons. 15
Ce que c`est qu’un corps blanc. ibid.
En quoi consiste la nature des couleurs moyennes. ibid.
Comment les corps colorés font réfléchir les rayons. ibid.
Ce que c’est que la réfraction. 16


DISCOURS SECOND.
DE LA RÉFRACTION.


Que les corps qui se muvent ne doivent point s’arrêter aucun moment contre ceux qui les font réfléchir. 17
Pourquoi l’angle de la réüexion est égal à celui de l’incidence. 20
De combien le mouvement d’une balle est détourné lorsqu’elle passe au travers d’une toile. 21
Et de combien lorsqu’elle entre dans l’eau. 22
Pourquoi la réfraction est autunt plus grande que l’incidence est plus oblique. 23
Et nulle quand l’incidence est perpendiculaire. ibid.
Pourquoi quelquefois les balles des canons tirés vers l’eau n’y peuvent entrer et se réfléchissent vers l’air. 24