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coupant, elles les doivent bien agiter d’une autre sorte qu’elles ne faisoient auparavant, et par conséquent causer un autre goût, à savoir celui qu’on nomme le goût aigre. On pourroit ainsi rendre raison de toutes les autres propriétés de cette eau, mais la chose iroit à l’infini, et il sera mieux que, retournant à la considération des vapeurs, nous commencions à examiner Comment elles se meuvent dans l’air, et comment elles y causent les vents.