Page:Œuvres complètes de Maximilien de Robespierre, tome 1.djvu/82

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Mais comment sentir le talent, sans désirer tous ses progrès ? Ce serait un bien triste travail, que celui d’avoir à étudier les beautés et les défauts d’un ouvrage, si on n’avait l’espérance de plaire quelquefois à l’auteur par une louange vraie, et peut-être de le servir par une critique, dont il reste le juge ? On s’attache particulièrement aux ouvrages qui font bien penser de l’écrivain. Celui de M. de Robespierre me répond presque qu’il chérira les motifs qui me dictent ces observations ; et que, si elles ont quelque justesse, elles ne lui seront pas inutiles.