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talent, que comme le prix glorieux d’un acte patriotique. Ce sentiment a échauffé mon zèle, qu’un simple laurier littéraire eut laissé froid et languissant. Et si un sort flatteur attendoit cet ouvrage, j’aurois lieu, sans doute, d’être content de moi-même : car je devrois ce succès au désir de remplir les nobles vues de la Compagnie sçavante à laquelle il est offert, et à l’ambition d’obtenir l’estime de vos Concitoyens auxquels je le consacre.