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Œillades et Soupirs




C’est qu’un fol amour me consume.
J’écris ton nom sur le vélin.
Six lettres qu’a faites ma plume,
Six rayons tombés de ma main.


Comprends-tu maintenant la chose ?
Ma vie est au bout de ton nom.

Biffe-le !
Biffe-leJe reste morose,
Et je me meurs dans l’abandon.