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de chifons, mais ce n’était pas non plus pour ſa poupée.
Emilie.
Pourquoi donc, Maman ?
La Mere.
Parce qu’elle était pareſſeuſe.
Emilie.
Je ne comprends pas cela, par exemple.
La Mere.
C’eſt que pour penſer à ces fadaiſes, ſon eſprit, ſa mémoire n’avaient aucun éfort à faire, & par conſéquent ſa pareſſe eſpérait y trouver ſon compte. Mais ſa pareſſe la trompait ; car ſon eſprit, quoique pareſſeux, déſirait une nouriture plus ſolide & plus active. Ainſi, quand elle avait donné beaucoup de temps à ces niaiſeries, elle était toute étonée de n’y pas trouver la ſatisfaction qu’elle s’en était promiſe ; elle ſentait du vuide, de