Musique des chansons de Béranger/Table des chansons

Musique des chansons de Béranger, Texte établi par Frédéric Bérat, Perrotin (p. 317-336).


TABLE
DES CHANSONS DE BÉRANGER
ET DE LEURS AIRS


LE ROI D’YVETOT — Quand un tendron vint en ces lieux (air du vaudeville de Bastien et Bastienne, employé par Moreau dans une ronde). — Air No 1.
LA BACCHANTE. — Fournissez un canal au ruisseau (air tiré de Rose et Colas, de Monsigny) ; le ton primitif est en mi. — 2.
LE SÉNATEUR. — J’ons un curé patriote (air tiré du vaudeville : Encore un Curé). — 3.
L’ACADÉMIE ET LE CAVEAU. — Tout le long de la rivière (air de Philidor). — 4.
LA GAUDRIOLE. — La bonne aventure (air de Chardini). — 5.
ROGER BONTEMPS. — Air de la ronde de Grandpré (fait par Gossec, en 1792) ; c’est le timbre de Béranger. Il a été arrangé par Wilhem. — 6.
——— Air nouveau d’Amédée de Beauplan. — 6 bis.
PARNY N’EST PLUS. — Musique de Wilhem (Béranger a fait cette chanson sans timbre). — 7.
MA GRAND’MÈRE. — En revenant de Bâle en Suisse (chanson ancienne ; le ton est en mi ♭). — 8.
LE MORT VIVANT. — Air des Bossus (vieil air populaire]. — 9.
LE PRINTEMPS ET L’AUTOMNE. — Air de Lanlara (de Doche) ; le ton est en fa. (Béranger n’avait pas choisi de timbre.) — 10.
LA MÈRE AVEUGLE. — Une fille est un oiseau (air de Monsigny dans : On ne s’avise jamais de tout). — 11.
LE PETIT HOMME GRIS. — Toto carabo (ancien air placé dans Cendrillon). — 12.
LA BONNE FILLE OU LES MŒURS DU TEMPS. — Il est toujours le même (air d’Albanèse sur une chanson de Beaumarchais). — 13.
AINSI SOIT-IL. — Alleluia. — 14.
L’ÉDUCATION DES DEMOISELLES. — Tra la la, l’Amour est là. — 15.
DEO GRATIAS D’UN ÉPICURIEN. — Tout le long de la rivière (de Philidor). — 16.
MADAME GRÉGOIRE. — C’est le gros Thomas (air de Propiac dans la ronde de Cadichon). — 17.
CHARLES VII. — Musique de Wilhem ; Béranger a composé cette chanson exprès pour être mise en musique de romance. — 18.
MES CHEVEUX. — Air du vaudeville de Décence. — 19.
LES GUEUX. — Air de la première ronde du Départ pour Saint-Malo (air de Désaugiers, arrangé par Béranger). — 20.
LA DESCENTE AUX ENFERS. — Boira qui voudra, larirette (air du vaudeville de Thibaut, comte de Champagne). — 21.
LE COIN DE L’AMITIÉ. — Air du vaudeville de la Partie carrée (de Doche ; le ton est en majeur). — 22.
L’ÂGE FUTUR. — Allez-vous-en, gens de la noce (air de Rameau, sur une ancienne chanson). — 23.
LE VIEUX CÉLIBATAIRE. — Contentons-nous d’une simple bouteille (Mouret, ancienne chanson de table). — 24.
L’AMI ROBIN. — Air de la Monaco (contredanse). — 25.
LES GAULOIS ET LES FRANCS. — Gai, gai, marions-nous (air des Amours de Bastien et de Bastienne). — 26.
FRÉTILLON. — Ma commère, quand je danse (très-vieil air populaire). — 27.
UN TOUR DE MAROTTE. — La marmotte a mal au pied (chanson savoyarde). — 28.
LA DOUBLE IVRESSE. — Que ne suis-je la fougère ? (chanson de Ribouté, mise en musique par Jean-Jacques Rousseau ; le ton est en si ♭.) — 29.
VOYAGE AU PAYS DE COCAGNE. — Air de la contredanse de la Rosière ou l’Ombre s’évapore, de Désaugiers (vieil air de contredanse ; le ton est en si ♭). — 30.
LE COMMENCEMENT DU VOYAGE. — Air du vaudeville des Chevilles de maître Adam (chanson de Laborde). — 31.
LA MUSIQUE. — La farira, dondaine, gai (ancien air populaire). — 32.
LES GOURMANDS. — Tout le long de la rivière (Philidor). — 33.
MA DERNIÈRE CHANSON PEUT-ÊTRE. — Eh ! quoi, vous sommeillez encore (air de Fanchon la Vielleuse, de Joseph Pain). — 34.
ÉLOGE DES CHAPONS. — Ah ! le bel oiseau, maman (air ancien ; le ton est en fa). — 35.
LE BON FRANÇAIS. — J’ons un curé patriote (air du vaudeville : Encore un Curé). — 36.
LA GRANDE ORGIE. — Vive le vin de Ramponneau (air d’une ancienne contredanse). — 37.
LE JOUR DES MORTS. — Mirliton (très-ancien air). — 38.
REQUÊTE PRÉSENTÉE PAR LES CHIENS DE QUALITÉ. — Faut d’la vertu, pas trop n’en faut (air de Dezède dans l’Erreur d’un moment). — 39.
LA CENSURE. — Eh ! qu’est-ce que ça m’fait à moi ? (air d’Albanèse, sur une chanson de l’abbé Rive.) — 40.
BEAUCOUP D’AMOUR. — Musique de Wilhem. Béranger a écrit cette chanson sans timbre, pour être mise en musique de romance. — 41.
LES BOXEURS OU L’ANGLOMANE. — À coups d’pied, à coups d’poing (Blaise, chanson de Vadé ; le ton est en ut naturel). — 42.
LE TROISIÈME MARI. — Ah ! ah ! qu’elle est bien (ancien air). — 43.
VIEUX HABITS, VIEUX GALONS. — Air du vaudeville des Deux Edmond (de Doche). — 44.
LE NOUVEAU DIOGÈNE. — Bon voyage, cher Dumolet (air de Désaugiers). — 45.
LE MAÎTRE D’ÉCOLE. — Pan, pan, pan (ancien air). — 46.
LE CÉLIBATAIRE. — Eh ! le cœur à la danse (air de Grétry). — 47.
TRINQUONS. — La Catacoua (air d’une chanson populaire en 1788). — 48.
PRIÈRE D’UN ÉPICURIEN. — Ce magistrat irréprochable (air de Wicht, dans Monsieur Guillaume ; le ton est en si ♭). — 49.
LES INFIDÉLITÉS DE LISETTE. — Ermite, bon ermite (air de Ducray-Duminil). — 50.
LA CHATTE. — Air de la Petite Cendrillon (de Nicolo). — 51.
ADIEUX DE MARIE STUART, musique de Wilhem. Béranger a écrit cette chanson sans timbre, pour être mise en musique de romance. — 52.
LES PARQUES. — Elle aime à rire, elle aime à boire (chanson ancienne). — 53.
MON CURÉ. — Un chanoine de l’Auxerrois (chanson de Collé). — 54.
LA BOUTEILLE VOLÉE. — La fête des bonnes gens (de Guichard) ; le ton est en si ♭. — 55.
LE BOUQUET. — La Catacoua (1788). — 56.
L’HOMME RANGÉ. — Eh ! lon, lon, la, landerirette (air de Gillier, sur une chanson de Piron). — 57.
BON VIN ET FILLETTE. — Ma tante Urlurette (ancienne chanson). — 58.
LE VOISIN. — Eh ! qu’est-ce que ça m’fait à moi (air d’Albanése, sur une chanson de l’abbé Rive). — 59.
LE CARILLONNEUR. — Mon système est d’aimer le bon vin, ou air de la contredanse du Diable à quatre (air de Duni). — 60.
LA VIEILLESSE. — Air de la Pipe de tabac (de Gaveaux ; le ton est en fa mineur). — 61.
LES BILLETS D’ENTERREMENT. — C’est un lan la, landerirette (air de Gillier, sur une chanson de Piron). — 62.
LA DOUBLE CHASSE. — Ton ton, tontaine, ton ton (air de chasse ; le ton est en si ♭). — 63.
LES PETITS COUPS. — Tout ça passe en même temps (ronde de Porro). — 64.
ÉLOGE DE LA RICHESSE. — Air du vaudeville d’Arlequin Cruello (air ancien, employé dans le vaudeville d’Annette et Lubin). — 65.
LA PRISONNIÈRE ET LE CHEVALIER. — Musique de Karr (Béranger a mis sur sa chanson : Air à faire, et lui-même en a fait un. — 66.
LES MARIONNETTES. — La marmotte a mal au pied (chanson savoyarde). — 67.
LE SCANDALE. — La farira, dondaine, gai (ancien air populaire). — 63.
LE DOCTEUR ET SES MALADES. — Ainsi jadis un grand prophète (air de Chardini dans les Deux Panthéons). — 69.
À ANTOINE ARNAULT. — Air du ballet des Pierrots (vieil air usité chez les chansonniers). — 70.
LE BEDEAU. — Sens devant derrière, sens dessus dessous (chanson ancienne). — 71.
ON S’EN FICHE. — Le fleuve d’oubli (air de Dauvergne ; le ton est en si ♭). — 72.
JEANNETTE. — Musique de Karr (Béranger a fait sa chanson sans timbre, et lui-même ensuite l’a mise en musique.) — 73.
LES ROMANS. — J’ai vu partout dans mes voyages (air de Louis Jadin, dans Jaloux malgré lui). — 74.
TRAITÉ DE POLITIQUE. — Ce magistrat irréprochable (air de Wicht). — 75.
L’OPINION DE CES DEMOISELLES. — Nom d’un chien, j’veux être épicurien (air de chasse qui fait partie de l’ouverture du Jeune Henri, et est employé dans les Amazones). — 76.
L’HABIT DE COUR. — Allez-vous-en gens de la noce (Rameau). — 77.
PLUS DE POLITIQUE. — Ce jour-là sous l’ombrage, ou air du vaudeville de Madame Scarron. — 78.
MARGOT. — C’est une bouteille. — 79.
À MON AMI DÉSAUGIERS. — La Catacoua, air populaire en 1788. — 80.
MA VOCATION. — Attendez-moi sous l’orme (air de Lulli, sur une chanson ancienne). — 81.
LE VILAIN. — Air de Ninon chez madame de Sévigné (de Berton). — 82.
LE VIEUX MÉNÉTRIER. — C’est un lan la, landerirette (air de Gillier, sur une chanson de Piron). — 83.
LES OISEAUX. — Air de l’Entrevue (de Doche) ; le ton est en fa. Béranger n’avait pas choisi de timbre. — 84.
——— Air de Charles Maurice. — 84 bis.
LES DEUX SŒURS DE CHARITÉ. — Air de la Treille de Sincérité (de Désaugiers). — 85.
COMPLAINTE D’UNE DE CES DEMOISELLES. — Faut d’la vertu, pas trop n’en faut (air de Dezède dans l’Erreur d’un moment). — 86.
CE N’EST PLUS LISETTE. — Eh ! non, non, non, vous n’êtes pas Ninette (chanson ancienne, air de Lambert). — 87.
L’HIVER. — Une fille est un oiseau (Monsigny, dans On ne s’avise jamais de tout). — 88.
LE MARQUIS DE CARABAS. — Air du Roi Dagobert (air ancien ; le ton est en fa). — 89.
MA RÉPUBLIQUE. — Air du vaudeville de la Petite Gouvernante (de Doche) ; le ton est en mi ♭. — 90.
L’IVROGNE ET SA FEMME. — Quand les bœufs vont deux à deux (Grétry, dans Richard Cœur-de-Lion). — 91.
PAILLASSE. — Amis, dépouillons nos pommiers (de Doche, dans le Val de Vire). — 92.
——— Mon père était pot (de Blaise) ; cet air n’est pas indiqué dans les chansons de Béranger. — 92 bis.
MON ÂME. — Air du vaudeville des Scythes et des Amazones (de Doche). — 93.
LE JUGE DE CHARENTON. — Air de la Codaqui (chanson populaire). — 94.
LES CHAMPS. — Mon amour était pour Marie. — 95.
LA COCARDE BLANCHE. — Air des Trois Cousines (de Dufrény ; le ton est en fa). — 96.
MON HABIT. — Air du vaudeville de Décence. — 97.
——— Air de M. Gaubert. — 97 bis.
LE VIN ET LA COQUETTE. — Je vais bientôt quitter l’empire (air de Tourterelle dans les Filles à marier), le ton est en majeur. — 98.
LA SAINTE ALLIANCE BARBABESQUE. — Air de Calpigi ( Salieri, dans Tarare, opéra de Beaumarchais) ; le ton est en la majeur. — 99.
L’ERMITE ET SES SAINTS. — Ce jour-là sous l’ombrage. — 100.
MON PETIT COIN. — Air du vaudeville de la Petite Gouvernante (Doche). — 101.
LE SOIR DES NOCES. — Zon ma Lisette, zon ! ma Lison. — 102.
L’INDÉPENDANT. — Je vais bientôt quitter l’empire (Tourterelle, dans les Filles à marier). — 103.
LES CAPUCINS. — Faut d’la vertu, pas trop n’en faut (Dezède, dans l’Erreur d’un moment). — 104.
LA BONNE VIEILLE. — Musique de Wilhem. — 105.
——— Muse des bois et des accords champêtres (romance de Doche ; c’est sur ce timbre que Béranger a fait sa chanson). — 105 bis.
——— Musique de E. Bruguière. — 105 ter.
LA VIVANDIÈRE. — Musique de Wilhem, ou Demain matin, au point du jour, on bat la générale (voir l’Appendice pour la part prise par Béranger dans la mise en musique de cette chanson). — 106.
COUPLETS À MA FILLEULE. — J’étais bon chasseur autrefois (air de Doche dans Florian). — 107.
L’EXILÉ. — Ermite, bon ermite (air de Ducray-Duminil). — 108.
——— Musique de M. A. Romagnési. — 108 bis.
LA BOUQUETIÈRE ET LE CROQUE-MORT. — Eh ! le cœur à la danse (Grétry). — 109.
LA PETITE FÉE. — C’est le meilleur homme du monde (Philidor). — 110.
MA NACELLE. — Eh ! vogue la galère (chanson ancienne). — 111.
——— Musique de Panseron. — 111 bis.
MONSIEUR JUDAS. — J’ons un curé patriote (air du vaudeville : Encore un Curé). — 112.
LE DIEU DES BONNES GENS. — Air du vaudeville de la Partie carrée (Doche). — 113.
ADIEU À DES AMIS. — C’est un lanla, landerirette (air de Gillier, sur une chanson de Piron). — 114.
LA RÊVERIE. — Air de la Signora malade (opéra comique de Chardini). — 115.
BRENNUS. — Musique de Wilhem. — 116.
——— Air de Pierre le Grand (Jadis un célèbre empereur), de Grétry ; c’est là le timbre de Béranger. — 116 bis.
LES CLEFS DU PARADIS. — À coups d’pied, à coups d’poing (Blaise, sur une chanson de Vadé). — 117.
SI J’ÉTAIS PETIT OISEAU. — Musique de Wilhem. — 118.
——— Il faut que l’on file doux (air ancien) ; c’est le timbre de la chanson de Béranger. — 118 bis.
LE BON VIEILLARD. — Contentons-nous d’une simple bouteille (air de Mouret ; ancienne chanson de table). — 119.
——— Musique de E. Bruguière. — 119 bis.
QU’ELLE EST JOLIE. — Air de Lantara (Doche) ; Béranger n’a pas indiqué de timbre pour cette chanson. — 120.
——— Musique de Guichard Printemps. — 120 bis.
LES CHANTRES DE PAROISSE. — Air du Bastringue (air populaire en 1794). — 121.
L’AVEUGLE DE BAGNOLET. — Air de la ronde de la Ferme et du Château, ou Babababalancez-vous donc (air de Tourterelle). — 122.
——— Musique d’Auguste Andrade. — 122 bis.
LE PRINCE DE NAVARRE. — Air du ballet des Pierrots (vieil air usité dans les chansonniers). — 123.
LA MORT SUBITE. — Air du ballet des Pierrots. — 124.
LES CINQUANTE ÉCUS. — Martin est un fort bon garçon. — 125.
——— Musique d’Amédée de Beauplan. — 125 bis.
LE CARNAVAL DE 1818. — À ma Margot du bas en haut (air de Champein dans le Poëte supposé, opéra comique) ; le ton est en si ♭. — 126.
LE RETOUR DANS LA PATRIE. — Suzon sortant de son village (air de Dalayrac). — 127.
——— Musique de Laflèche. — 127 bis.
LE VENTRU. — J’ons un curé patriote (air du vaudeville : Encore un Curé). — 128.
LA COURONNE. — J’étois bon chasseur autrefois (Doche) ; Béranger a fait cette chanson sans timbre. C’est un fragment d’un des vaudevilles qu’il ébauchait dans sa jeunesse. — 129.
LES MISSIONNAIRES. — Eh ! le cœur à la danse (Grétry). — 130.
LE BON MÉNAGE. — Air de la Légère (contredanse), ou Moi je flâne. — 131.
LE CHAMP D’ASILE. — Air de la romance de Bélisaire (de Garat). — 132.
——— Musique de Gatayes. — 132 bis.
LA MORT DE CHARLEMAGNE. — Le bruit des roulettes gâte tout. — 133.
LE VENTRU. — Faut d’la vertu, pas trop n’en faut (air de Dezède dans l’Erreur d’un moment). — 134.
LA NATURE. — Ah ! que de chagrins dans la vie (air de Doche dans Lantara). — 135.
LES CARTES OU L’HOROSCOPE. — Air du vaudeville de la Petite Gouvernante (de Doche). — 136.
LA SAINTE ALLIANCE DES PEUPLES. — Air du vaudeville de la Partie carrée (Doche). — 137.
ROSETTE. — Musique de M. A. de Beauplan. — 138.
——— Musique de Guichard Printemps. — 138 bis.
——— Musique de M. Charles Maurice (Béranger a fait cette chanson sans timbre). — 138 ter.
LES RÉVÉRENDS PÈRES. — Air de la Codaqui, ou Bonjour mon ami Vincent (chanson populaire). — 139.
LES ENFANTS DE LA FRANCE. — Air du vaudeville de Turenne (de Doche) ; le ton est en si ♭. — 140.
——— Musique de M. A. de Beauplan. — 140 bis.
LES MIRMIDONS. — Air du vaudeville de la Garde nationale. — 141.
LES ROSSIGNOLS. — C’est à mon maître en l’art de plaire (air de Boïeldieu dans l’Entrevue). — 142.
——— Musique de M. A. de Beauplan. — 142 bis.
HALTE-LÀ. — Halte-là, la garde royale est là (air de Tourterelle dans les Habitants des Landes). — 143.
L’ENFANT DE BONNE MAISON. — Air de la Treille de sincérité (de Désaugiers). — 144.
LES ÉTOILES QUI FILENT. — Air du ballet des Pierrots (air usité dans tous les chansonniers). — 145.
L’ENRHUMÉ. — Le petit mot pour rire (air ancien, employé par Lattaignant ; le ton est en fa). — 146.
LE TEMPS. — Ce magistrat irréprochable (air de Wicht). — 147.
LA FARIDONDAINE. — À la façon de Barbari (ancien air populaire). — 148.
MA LAMPE. — Air d’Aristippe (opéra de Kreutzer) ; le ton est en fa. Béranger a fait cette chanson sans timbre. — 149.
——— Musique de Guichard Printemps. — 149 bis.
LE BON DIEU. — Tout le long de la rivière (Philidor). — 150.
LE VIEUX DRAPEAU. — Elle aime à rire, elle aime à boire (chanson ancienne). — 151.
LA MARQUISE DE PRETINTAILLE. — À Coups d’pied, à coups d’poing, de Blaise (chanson de Vadé), ou J’veux être un chien. — 152.
LE TREMBLEUR. — Je vais bientôt quitter l’empire (Tourterelle, dans les Filles à marier). — 153.
MA CONTEMPORAINE. — Ma belle est la belle des belles (air de A. Piccini ; le ton est en la majeur). — 154.
LA MORT DU ROI CHRISTOPHE. — Air de la Catacoua (1788). — 155.
LA FORTUNE. — Air de la Sabotière (contredanse). — 156.
LOUIS XI. — Sans un petit brin d’amour (air de Dezède, dans les Trois Fermiers). — 157.
——— Musique de M. A. de Beauplan. — 157 bis.
LES ADIEUX À LA GLOIRE. — Je commence à m’apercevoir (d’Alexis) ; air de Dalayrac. — 158.
LES DEUX COUSINS. — Ah ! daignez m’épargner le reste, ou Dans cette maison à quinze ans (Devienne, dans les Visitandines). — 159.
LES VENDANGES. — Pierrot sur les bords d’un ruisseau (air de Laujon). — 160.
——— Musique de M***. — 160 bis.
L’ORAGE. — C’est l’amour, l’amour, l’amour (contredanse de la Pie voleuse, par Constantin]. — 161.
LE CINQ MAI. — Muse des bois et des accords champêtres (romance de Doche). — 162.
COMPLAINTE SUR LA MORT DE TRESTAILLON. — Air de toutes les Complaintes (air ancien). — 163.
NABUCHODONOSOR. — Air de Calpigi (Salieri, dans Tarare). — 164.
LA MESSE DU SAINT-ESPRIT. — Air de la Codaqui (chanson populaire). — 165.
LA GARDE NATIONALE. — Halte-là ! la garde royale est là (Tourterelle, dans les Habitants des Landes). — 166.
NOUVEL ORDRE DU JOUR. — C’est l’amour, l’amour, l’amour (Constantin, contredanse de la Pie voleuse). — 167.
DE PROFUNDIS. — Eh ! gai, gai, mon officier (air ancien). — 168.
PRÉFACE. — Air du vaudeville de Préville et Taconnet (de Darondeau). — 169.
LA MUSE EN FUITE. — Halte-là (Tourterelle, dans les Habitants des Landes. — 170.
DÉNONCIATION EN FORME D’IMPROMPTU. — Air du ballet des Pierrots (vieil air usité chez les chansonniers). — 171.
ADIEUX À LA CAMPAGNE. — Muse des bois et des accords champêtres (romance de Doche). — 172.
LA LIBERTÉ. — Chantons Lœtamini (chanson de Lattaignant ; le ton est en mi ♭). — 173.
LA CHASSE. — Tonton, tontaine, tonton (air de chasse ancien). — 174.
MA GUÉRISON. — Air de la Treille de sincérité (de Désaugiers). — 175.
L’AGENT PROVOCATEUR. — Je vais bientôt quitter l’empire (air de Tourterelle, dans les Filles à marier). — 176.
MON CARNAVAL. — Air de J. Meissonnier. — 177.
——— Air des Chevilles de maître Adam (chanson de Laborde). C’est sur cet air de Laborde que Béranger a composé son Carnaval ; mais la musique de Meissonnier était d’une inspiration si heureuse que lui-même l’adopta, et qu’il composa depuis différents airs sur son timbre. — 177 bis.
L’OMBRE D’ANACRÉON. — Air de la Sentinelle (de Choron) ; le ton est en si ♭. — 178.
L’ÉPITAPHE DE MA MUSE. — Air de Ninon chez madame de Sévigné (de Berton). — 179.
LA SYLPHIDE. — Je ne sais plus ce que je veux (romance de Romagnési). — 180.
LES CONSEILS DE LISE. — Air de la Treille de sincérité (de Désaugiers). — 181.
LE PIGEON MESSAGER. — Air du vaudeville de Préville et Taconnet (de Darondeau). — 182.
L’EAU BÉNITE. — Faut d’la vertu, pas trop n’en faut (air de Dezède, dans l’Erreur d’un moment). — 183.
L’AMITIÉ. — Quand des ans la fleur printanière (air du ballet de la Dansomanie) ; le ton est en si ♭. — 184.
LE CENSEUR. — Air du vaudeville de la Petite Gouvernante (de Doche), ou de la Robe et les Bottes. — 185.
LE MAUVAIS VIN. — On dit partout que je suis bête. — 186.
LA CANTHARIDE. — Air des Comédiens, ou un Tour de jardin (valse dite des Comédiens, de Miller). — 187.
LE TOURNEBROCHE. — Le bruit des roulettes gâte tout. — 188.
LES SCIENCES. — Air des Mauvaises têtes (Béranger n’a pas indiqué de timbre pour cette chanson) ; le ton de l’air des Mauvaises têtes est en si ♭. — 189.
LE TAILLEUR ET LA FÉE. — Air d’Angéline, de Wilhem. — 190.
LA DÉESSE. — Air du vaudeville de la Petite Gouvernante (de Doche) — 191.
LE MALADE. — Muse des bois et des accords champêtres (romance de Doche). — 192.
LA COURONNE DE BLUETS. — J’ai vu partout dans mes voyages (Louis Jadin ; dans Jaloux malgré lui). — 193.
——— Air portant le même timbre, par Plantade. — 193 bis.
L’ÉPÉE DE DAMOCLÈS. — À soixante ans il ne faut pas remettre (air de Tourterelle, dans le Dîner de Madelon). — 194.
LA MAISON DE SANTÉ. — Air du Ménage de garçon, ou Je loge au quatrième étage (air de Bouffet sur une chanson de Joseph Pain). — 195.
LA BONNE MAMAN. — J’étais bon chasseur autrefois (air de Doche, dans Florian). — 196.
LE VIOLON BRISÉ. — Je regardais Madelinette (air de Doche, dans le Poëte satirique). — 197.
LE CONTRAT DE MARIAGE. — Daignez m’épargner le reste (air de Devienne, dans les Visitandines). — 198.
LE CHANT DU COSAQUE. — Dis-moi, soldat, dis-moi, t’en souviens-tu (air employé par Debraux, et tiré des Deux Edmond, de Doche). — 199.
LE BON PAPE. — Air du Sorcier (de Philidor) ; le timbre est en fa mineur. — 200.
LES HIRONDELLES. — Air de la romance de Joseph (Méhul). — 201.
——— Musique de M. A. de Beauplan. — 201 bis.
——— Chœur à quatre voix, par Laurent de Rillé. — 201 ter.
LES FILLES. — Verdrillon, verdrillette, verdrille (le ton est en fa). — 202.
LE CACHET OU LA LETTRE À SOPHIE. — Air de la Bonne Vieille (de Béranger) ; musique de Wilhem. — 203.
LA JEUNE MUSE. — Où s’en vont ces jeunes bergers ? (air de Dalayrac, dans le Corsaire). — 204.
LA FUITE DE L’AMOUR. — Dis-moi, soldat, dis-moi, t’en souviens-tu ? (air employé par Debraux ; et tiré des Deux Edmond, de Doche) ; Béranger n’a pas indiqué de timbre pour cette chanson. — 205.
L’ANNIVERSAIRE. — Air du Partage de la richesse (de Doche, dans Fanchon la Vielleuse) ; le ton est en fa mineur. — 206.
LE VIEUX SERGENT. — Dis-moi, soldat, dis-moi, t’en souviens-tu ? (air des Deux Edmond, de Doche). — 207.
LE PRISONNIER. — Air de la Balançoire (de M. A. de Beauplan). — 208.
L’ANGE EXILÉ. — À soixante ans il ne faut pas remettre (air de Tourterelle, dans le Dîner de Madelon). — 209.
LA VERTU DE LISETTE. — Air : Je loge au quatrième étage (du Ménage de garçon ; paroles de J. Pain, musique de Bouffet). — 210.
LE VOYAGEUR. — Plus on est de fous, plus on rit (air de Fasquel, sur une chanson d’Armand Goutté). — 211.
OCTAVIE. — Air de la valse des Comédiens, de Miller. — 212.
LE FILS DU PAPE. — Lison dormait dans la prairie (air de Dezède, dans l’opéra-comique de Julie). — 213.
MON ENTERREMENT. — Quand on ne dort pas la nuit (air de Grétry, dans Lisbeth) ; le ton est en ré majeur. — 214.
LE POËTE DE COUR. — Air de la Treille de sincérité (de Désaugiers). — 215.
COUPLET ÉCRIT SUR UN RECUEIL DE CHANSONS. — Air du vaudeville de la Petite Gouvernante (de Doche). — 216.
LES TROUBADOURS. — Je commence à m’apercevoir (air de Dalayrac, dans Alexis). — 217.
LES ESCLAVES GAULOIS. — Un soldat, par un coup funeste (air de Martini, dans la bataille d’Ivry) ; le ton est en fa mineur. — 218.
TREIZE À TABLE. — Air du vaudeville de Préville et Taconnet (de Darondeau) ; le ton est en la majeur. — 219.
LAFAYETTE EN AMÉRIQUE. — À soixante ans il ne faut pas remettre (air de Tourterelle, dans le Dîner de Madelon). — 220
MAUDIT PRINTEMPS. — C’est à mon maître en l’art de plaire (air de Boïeldieu, dans l’Entrevue). — 221.
——— Musique de Darondeau, — 221 bis.
PSARA. — À soixante ans il ne faut pas remettre (air de Tourterelle, dans le Dîner de Madelon). — 222.
LE VOYAGE IMAGINAIRE. — Muse des bois et des accords champêtres (romance de Doche). — 223.
L’IN-OCTAVO ET L’IN-TRENTE-DEUX. — Air du Carnaval (de Béranger) ; musique de J. Meissonnier. — 224.
COUPLETS SUR UN PRÉTENDU PORTRAIT DE MOI. — Je loge au quatrième étage (le Ménage de garçon, chanson de J. Pain, mise en musique par Bouffet). — 225.
LE GRENIER. — Air du Carnaval (de Béranger), par J. Meissonnier. — 226.
L’ÉCHELLE DE JACOB. — Ah ! si madame me voyait (romance de Romagnési). — 227.
LE CHAPEAU DE LA MARIÉE. — Air du Pêcheur (Béranger n’a pas indiqué de timbre pour cette chanson). — 228.
LA MÉTEMPSYCOSE. — Air de la Robe et les Bottes, ou du vaudeville de la Petite Gouvernante (de Doche). — 229.
LES PAUVRES AMOURS. — Jupiter, un jour en fureur (chanson de Dauvergne, sur des paroles de Séguier père) ; le ton est en fa. — 230.
À M. GOHIER. — Air des Chevilles de maître Adam (chanson de Laborde) — 231.
LE SACRE DE CHARLES LE SIMPLE. — Air du Beau Tristan (de M. A. de Beauplan). — 232.
LE CONVOI DE DAVID. — Air de Roland (Méhul), le ton est en si ♭. — 233.
——— Musique de Choron sur le même timbre. — 233 bis.
LES INFINIMENT PETITS. — Ainsi jadis un grand prophète (air de Chardini, dans les Deux Panthéons). — 234.
LE CHASSEUR ET LA LAITIÈRE. — Je ne vous vois jamais rêveuse (air de Boïeldieu, dans Ma tante Aurore). — 235.
BONSOIR. — Air de la Petite Gouvernante (de Doche). — 236.
LES MISSIONNAIRES DE MONTROUGE. — Allez-vous-en, gens de la noce (chanson ancienne, air de Rameau). — 237.
COUPLETS SUR LA JOURNÉE DE WATERLOO. — Muse des bois et des accords champêtres (romance de Doche). — 238.
COUPLET ÉCRIT SUR L’ALBUM DE MADAME DE V… — Air du Carnaval (de Béranger}, par J. Meissonnier ; Béranger n’a pas marqué d’air pour ce couplet. — 239.
ORAISON FUNÈBRE DE TURLUPIN. — Air : C’est à boire, à boire, à boire. — 240.
——— Air du Comte Ory (de Doche) ; le ton est en si ♭. — 240 bis.
À MADEMOISELLE ***. — Muse des bois et des accorda champêtres (romance de Doche). — 241.
LES DEUX GRENADIERS. — Guide mes pas, Ô Providence (air de Cherubini, dans les Deux Journées) ; le ton est en fa. — 242.
LE PÈLERINAGE DE LISETTE. — Babababalancez-vous donc (air de Tourterelle, dans le vaudeville de la Ferme et du Château). — 243.
——— Musique de Doche. — 243 bis.
ENCORE DES AMOURS. — Air de Léonide (Béranger n’a pas indiqué de timbre pour cette chanson). — 244.
LA MORT DU DIABLE. — Air de Ninon chez madame de Sévigné (de Berton). — 245.
LE PRISONNIER DE GUERRE. — Chante, chante, troubadour, chante (air de Romagnési) ; le ton est en majeur. — 246.
LE PAPE MUSULMAN. — Eh ! ma mère, est-ce que j’sais ça (air de Beffron de Reigny, le cousin Jacques, dans l’opéra du Club des Bonnes Gens). — 247.
LE DAUPHIN. — Air du Carnaval (de Béranger), par Meissonnier. — 248.
LE PETIT HOMME ROUGE. — C’est le gros Thomas (air de la ronde de Cadichon, par Propiac). — 249.
LE MARIAGE DU PAPE. — Air du Méléagre champenois (la Chasse, ancienne contredanse). — 250.
LES BOHÉMIENS. — Mon père m’a donné un mari [ancienne chanson) ; le ton est en mi ♭. — 251.
LES SOUVENIRS DU PEUPLE. — Passez votre chemin, beau sire (ancienne chanson) ; le ton est en si ♭. — 252.
——— Air connu. — 252 bis.
LES NÈGRES ET LES MARIONNETTES. — Pégase est un cheval qui porte (air d’A. Piccini, dans Arlequin musard) ; le ton est en si ♭. — 253.
L’ANGE GARDIEN. — Jadis un célèbre empereur (Grétry, opéra comique de Pierre le Grand). — 254.
LA MOUCHE. — Je loge au quatrième étage (musique de Bouffet, sur le Ménage de garçon, de J. Pain). — 255.
LES LUTINS DE MONTLHÉRY. — Ce soir-là sous l’ombrage. — 256.
LA COMÈTE DE 1832. — À soixante ans, il ne faut pas remettre (air de Tourterelle, dans le Dîner de Madelon). — 257.
LE TOMBEAU DE MANUEL. — Te souviens-tu, disait un capitaine (air tiré des Deux Edmond, de Doche). — 258.
LE FEU DU PRISONNIER. — Air du vaudeville de Préville et Taconnet (de Darondeau). — 259.
MES JOURS GRAS. — Dis-moi donc, mon p’tit Hippolyte (chanson de Debraux). — 260.
LE 14 JUILLET. — À soixante ans, il ne faut pas remettre (air de Tourterelle, dans le Dîner de Madelon). — 261.
PASSEZ, JEUNES FILLES. — Air de M. Robiquet (Béranger n’a pas indiqué de timbre pour cette chanson. — 262.
LE CARDINAL ET LE CHANSONNIER. — Je vais bientôt quitter l’empire (air de Tourterelle, dans les Filles à marier. — 263.
COUPLET. — C’est le meilleur homme du monde (air de Philidor). — 264.
MON TOMBEAU. — Air d’Aristippe (opéra de Kreutzer). — 265.
LES DIX MILLE FRANCS. — Te souviens-tu, disait un capitaine (air arrangé par Debraux, et tiré du vaudeville des Deux Edmond, de Doche.) — 266.
——— Air du vaudeville de Préville et Taconnet (de Darondeau). — 266 bis.
LE JUIF ERRANT. — Air du Chasseur rouge (de M. A. de Beauplan). — 267.
——— Musique de M. Gounod. — 267 bis.
COUPLET. — Trouverez-vous un parlement ? (air de Doche, dans Molière à Lyon). — 268.
LA FILLE DU PEUPLE. — Air d’Aristippe (opéra de Kreutzer). — 269.
LE CORDON, S’IL VOUS PLAÎT. — Air du vaudeville des Scythes et des Amazones (de Doche). — 270.
DENYS, MAÎTRE D’ÉCOLE. — Je vais bientôt quitter l’empire (air de Tourterelle, dans les Filles à marier). — 271.
LAIDEUR ET BEAUTÉ. — C’est à mon maître en l’art de plaire (air de Boïeldieu, dans l’Entrevue), — 272.
LE VIEUX CAPORAL. — Air de Ninon chez madame de Sévigné (de Berton). — 273.
COUPLET AUX JEUNES GENS. — Un soir après mainte folie (Béranger n’a pas indiqué d’air.) — 274.
LE BONHEUR. — Musique de M. B*** (M. B*** c’est Béranger lui-même, voir l’Appendice). — 275.
COUPLET. — J’ai vu le Parnasse des dames (air de Doche, dans le vaudeville Rien de trop ; Béranger n’a pas indiqué d’air). — 276.
LES CINQ ÉTAGES. — Dans cette maison à quinze ans, ou Daignez m’épargner le reste (air de Devienne, dans les Visitandines). — 277.
——— J’étais bon chasseur autrefois (air de Doche, dans Florian.) — 277 bis.
L’ALCHIMISTE. — Air de la Bonne Vieille (de Béranger), musique de Wilhem. — 278.
——— Air d’Aristippe (opéra de Kreutzer). — 278 bis.
CHANT FUNÉRAIRE. — Tendres échos, errants dans ces vallons (air de Gilles, employé dans le vaudeville de la Somnambule). — 279.
JEANNE LA ROUSSE. — Soir et matin sur la fougère (Villeneuve, chanson ancienne). — 280.
LES RELIQUES. — Donnez-vous la peine d’attendre. — 281.
LA NOSTALGIE. — Air du vaudeville de la Petite Gouvernante (de Doche). — 282.
MA NOURRICE. — Dodo, l’enfant do (air ancien, employé dans Annette et Lubin). — 283.
LES CONTREBANDIERS. — Cette chaumière-là vaut un palais. — 284.
À MES AMIS DEVENUS MINISTRES. — Air du vaudeville de la Petite Gouvernante (de Doche). — 285.
——— Musique de M. B*** (c’est peut-être encore Béranger). — 285 bis.
GOTTON. — Air des Cancans (dans un vaudeville de Blanchard). — 286.
COLIBRI. — Garde à vous (air de la Fiancée, d’Auber). — 287.
ÉMILE DEBRAUX. — Te souviens-tu, disait un capitaine (air arrangé par Debraux, et tiré du vaudeville des Deux Edmond (de Doche). — 288.
LE PROVERBE. — Air du Ménage de garçon (chanson de J. Pain, mise en musique par Bouffet). — 289.
LES FEUX FOLLETS. — Faut l’oublier, disait Colette (romance de Romagnési). — 290.
HÂTONS-NOUS. — Ah ! si madame me voyait (romance de Romagnési). — 291.
PONIATOWSKI. — Air des Trois Couleurs (de Vogel). — 292.
L’ÉCRIVAIN PUBLIC. — Air du vaudeville de la Petite Gouvernante (de Doche). 293.
À M. DE CHATEAUBRIAND. — Air de la valse des Comédiens (de Miller). — 294.
CONSEIL AUX BELGES. — Air du vaudeville de la Petite Gouvernante (de Doche). — 295.
LE REFUS. — Le premier du mois de janvier (chanson de Laujon). — 296.
LA RESTAURATION DE LA CHANSON. — J’arrive à pied de ma province (air de Vimeux). — 297.
SOUVENIRS D’ENFANCE. — Air de la valse des Comédiens (de Miller). — 298.
LE VIEUX VAGABOND. — Guide mes pas, ô Providence (air de Cherubini, dans les Deux Journées). — 299.
COUPLETS AUX HABITANTS DE L’ÎLE DE FRANCE. — Tendres échos errants dans ces vallons (air de Gilles, employé dans le vaudeville de la Somnambule). — 300.
CINQUANTE ANS. — Air du Partage de la richesse (de Doche, dans Fanchon la Vielleuse) ; Béranger n’avait pas indiqué de timbre pour cette chanson. — 301.
JACQUES. — Air de Jeannot et Colin. — 302.
LES ORANGS-OUTANGS. — Air de Calpigi. Salieri (dans Tarare). — 303.
LES FOUS. — Ce magistrat irréprochable (air de Wicht). — 304.
LE SUICIDE. — Air d’Agéline (de Wilhem). — 305.
LE MÉNÉTRIER DE MEUDON. — Air de la contredanse des Petits Pâtés (air employé dans le vaudeville de Piron à Beaune). — 306.
JEAN DE PARIS. — Cette chaumière-là vaut un palais. — 307.
PRÉDICTION DE NOSTRADAMUS. — Air des Trois Couleurs (de Vogel). — 308.
PASSY. — Dis-moi, soldat, dis-moi, t’en souviens-tu (air tiré du vaudeville des Deux Edmond, de Doche). — 309.
LE VIN DE CHYPRE. — Air du vaudeville de Préville et Taconnet (de Darondeau). — 310.
LES QUATRE ÂGES HISTORIQUES. — À soixante ans il ne faut pas remettre (air de Tourterelle, dans le Dîner de Madelon). — 311.
LA PAUVRE FEMME. — Air du vaudeville de Décence. — 312.
——— Air d’Aristippe (opéra de Kreutzer). — 312 bis.
——— Air de M. Gaubert. — 312 ter.
LES TOMBEAUX DE JUILLET. — Air de la valse des Comédiens (de Miller). — 313.
ADIEU, CHANSONS. — Air d’Agéline (de Wilhem). — 314.


CHANSONS PUBLIÉES EN 1847.


NOTRE COQ. — Air : Madelon s’en fut à Rome. — 315.
LE GRILLON. — Air de Jeannot et Colin. — 316.
——— Air nouveau (de Frédéric Bérat). — 316 bis.
LES ÉCHOS. — Air du vaudeville de la Servante justifiée (d’A. Piccini). — 317.
L’ORPHÉON. — Air nouveau (de Laurent de Rillé). — 318.
LES PIGEONS DE LA BOURSE. — Air de l’Entrevue. — 319.
LE BAPTÊME DE VOLTAIRE. — Les cloches du monastère (air de Gatayes ; carillon employé pour une chanson de Gentil). — 320.
CLAIRE. — Air de Lantara. — 321.
LE DÉLUGE. — Air des Trois Couleurs. — 322.
LES ESCARGOTS. — Air : G’nia que Paris (de Darondeau, dans les Poëtes sans souci). — 323.
MA GAIETÉ. — Air nouveau (de Frédéric Bérat). — 324.


CHANSONS POSTHUMES.


PLUS DE VERS. — Muse des bois et des accords champêtres (romance de Doche). — 325.
UN ANGE. — Air de l’Entrevue (de Doche). — 326.
LE PHÉNIX. — Air à faire. — 327.
LES CHANSONNETTES. — Ainsi jadis un grand prophète (air de Chardini, dans les Deux Panthéons). — 328.
LES FOURMIS. — Air de la Petite Cendrillon (de Nicolo). — 329.
LE BAPTÊME. — Air à faire. — 330.
L’ÉGYPTIENNE. — Air à faire. — 331.
DE PROFUNDIS. — Air des Amazones (de Doche). — 332.
LA PRISONNIÈRE. — Elle aime à rire, elle aime à boire (chanson ancienne). — 333.
ADIEU, PARIS. — Air de Ninon chez madame de Sévigné (de Berton). — 334.
MON JARDIN. — Je l’ai planté, je l’ai vu naître (de J.-J. Rousseau). — 335.
LE CHEVAL ARABE. — Air d’Abadie. — 336.
LA ROSE ET LE TONNERRE. — Air à faire. — 337.
AU GALOP. — Air de la Légère (contredanse). — 338.
ASCENSION. — C’est à mon maître en l’art de plaire (air de Boïeldieu, dans l’Entrevue). — 339.
L’AIGLE ET L’ÉTOILE. — Jeunes beautés, vous à qui la nature (air de Doche dans la Petite Coquette). — 340.
SAINTE-HÉLÈNE. — Air de la Petite Gouvernante (de Doche). — 341.
LA LEÇON D’HISTOIRE. — Air du ballet des Pierrots (vieil air usité chez les chansonniers). — 342.
IL N’EST PAS MORT. — Air des Trois Couleurs (de Vogel). — 343.
MADAME MÈRE. — Air à faire. — 344.
DIX-NEUF AOUT. — J’ai vu partout dans mes voyages (de Louis Jadin, dans le Jaloux malgré lui). — 345.
LES OISEAUX DE LA GRENADIÈRE. — Air à faire. — 346.
LE MATELOT BRETON. — Air du ballet des Pierrots (ancien air usité chez les chansonniers). — 347.
DAME MÉTAPHYSIQUE. — Passez, jeunes filles, passez (de Robiquet). — 348.
PETIT BONHOMME. — Dis-moi donc, mon petit Hippolyte (d’Émile Debraux). — 349.
LE TAMBOUR-MAJOR. — Air du Partage de la richesse (de Doche, dans Fanchon la Vielleuse). — 350.
L’OFFICIER. — Air de la Pipe de tabac (de Gaveaux). — 351.
UNE IDÉE. — Avec les jeux dans le village (Mme *** de Bordeaux ; air employé dans les Amours d’été). — 352.
LA COURONNE RETROUVÉE. — Air à faire. — 353.
JE SUIS MÉNÉTRIER. — Ah ! ma mère, est-c’que j’sais ça ? (du cousin Jacques, dans le Club des Bonnes Gens). — 354.
LES AILES. — Air du ballet des Pierrots (ancien air usité chez les chansonniers). — 355.
LE CHASSEUR. — La jeune Iris dans un bocage (Gillier, chanson de Gallais). — 356.
LA RIVIÈRE. — C’est à mon maître en l’art de plaire (air de Boïeldieu, dans l’Entrevue). — 357.
LA SIRÈNE. — Air à faire. — 358.
LES BOIS. — Air de Lantara (de Doche). — 359.
LE MERLE. — Air à faire. — 360.
LA JEUNE FILLE. — Nos plaisirs sont légers, mais ils sont sans alarmes (de Julie Candeille). — 361.
LES GAGES. — Ainsi jadis un grand prophète (air de Chardini, dans les Deux Panthéons). — 362.
LA TOURTERELLE ET LE PAPILLON. — Air à faire. — 363.
LA GUERRE. — Avec les jeux dans le village. — 364.
GUTENBERG. — Air du vaudeville de la Petite Gouvernante (de Doche). — 365.
LES VENDANGES. — Dois-je encor chanter tes charmes (romance de Bianchi). — 366.
L’ARGENT. — Attendez-moi sous l’orme (de Lulli). — 367.
PANTHÉISME. — Air de la Pipe de tabac (de Gaveaux). — 368.
AVIS. — Ce magistrat irréprochable (de Wicht, dans Monsieur Guillaume). — 369.
LA PLUIE. — Que ne suis-je la fougère (de J.-J. Rousseau). — 370.
RETOUR À PARIS. — Air de la République. — 371.
LES GRANDS PROJETS. — Ô Fontenay, qu’embellissent les roses (romance de Doche). — 372.
LA FILLE DU DIABLE. — Air du ballet des Pierrots (vieil air des chansonniers). — 373.
LES VOYAGES. — Ce magistrat irréprochable (de Wicht, dans Monsieur Guillaume). — 374.
LE SAINT. — Un petit capucin. — 375.
LES VIOLETTES. — Mes chers enfants, point de louange (de Rameau). — 376.
LA PÂQUERETTE ET L’ÉTOILE. — Je l’ai planté, je l’ai vu naître (de J.-J. Rousseau. — 377.
L’APÔTRE. — Air à faire. — 378.
MES CRAINTES. — Ainsi jadis un grand prophète (de Chardini, dans les Deux Panthéons). — 379.
LA FÉE AUX RIMES. — Air à faire. — 380.
LE POSTILLON. — Air des Amazones (de Doche). — 381.
LES DÉFAUTS. — Faut d’la vertu, pas trop n’en faut, (de Dezède, dans l’Erreur d’un moment). — 382.
LE ROSIER. — Air à faire. — 383.
L’OISEAU-FANTÔME. — Air à faire. — 384.
MON CARNAVAL. — Ainsi jadis un grand prophète (de Chardini, dans les Deux Panthéons). — 385.
LEÇON DE LECTURE. — Air à faire. — 386.
NOTRE GLOBE. — Air du vaudeville de la Partie carrée (de Doche). — 387.
LE DIEU JEAN. — Toto Carabo (air ancien). — 388.
SAINT NAPOLÉON. — Déjà la nuit, de ses voiles épias. — 389. — (Voir Tendres échos.)
LE JONGLEUR. — Soir et matin sur la fougère (de J.-J. Rousseau). — 390.
LE PACTOLE. — Air à faire. — 391.
CHACUN SON GOÛT. — Il est certain qu’un jour de l’autre mois (Blaise, chanson de Sauvigny). — 392.
L’OLYMPE RESSUSCITÉ. — Je regardais Madelinette (de Doche, dans le Poëte satirique). — 393.
LES PAPILLONS. — Air à faire. — 394.
LA DERNIÈRE FÉE. — Air d’Agéline (de Wilhem). — 395.
LE SAVANT. — Air à faire. — 396.
PLUS D’OISEAUX. — Ainsi jadis un grand prophète (de Chardini, dans les Deux Panthéons). — 397.
MON OMBRE. — J’étais bon chasseur autrefois (de Doche, dans Florian). — 398.
LA COLOMBE. — Air du vaudeville des Visitandines. — 399.
MA CANNE. — Air à faire. — 400.
LES TAMBOURS. — Faut d’la vertu, pas trop n’en faut (de Dezède, dans l’Erreur d’un moment. — 401.
HISTOIRE D’UNE IDÉE. — Air de la Rosière de Salency (de Pezay). — 402.
LES BÉNÉDICTIONS. — Tendres échos errants dans ces vallons. — 403.
ENFER ET DIABLE. — Ce magistrat irréprochable (de Wicht, dans Monsieur Guillaume). — 404.
RÊVE DE NOS JEUNES FILLES. — Douce amitié, sagesse aimable (du cousin Jacques). — 405.
LE CORPS ET L’ÂME. — Air à faire. — 406.
LA NOURRICE. — Dans les prisons de Nantes. — 407.
LE SEPTUAGÉNAIRE. — Lison dormait dans un bocage (de Dezède, dans l’opéra-comique de Julie). — 408.
MES FLEURS. — Charmant ruisseau, le gazon de tes rives (romance de Domnich. — 409.
L’AVENIR DES BEAUX ESPRITS. — C’est à mon maître en l’art de plaire (air de Boïeldieu, dans l’Entrevue). — 410.
LA PRÉDICTION. — Air à faire. — 411.
L’OR. — Dodo, l’enfant do (ancien air employé dans Annette et Lubin). — 412.
LA MAÎTRESSE DU ROI. — Lison dormait dans un bocage (de Dezède, dans l’opéra-comique de Julie). — 413.
LE CHAPELET DU BONHOMME. — On dit partout que je suis bête. — 414.
LE PREMIER PAPILLON. — Air à faire. — 415.
ADIEU. — Te souviens-tu, disait un capitaine (air tiré du vaudeville des Deux Edmond, de Doche). — 416
——— Air nouveau (d’Abadie). — 416 bis.