Modèle:Citation bloc2

Documentation
Utilisation
Pour les longues citations.


Syntaxe
{{Citation bloc2|votre citation|paramètre=votre valeur}}

On peut modifier :

  • la taille des caractères, avec le paramètre taille
  • les marges à gauche et à droite,
    • soit avec marge (unité : em)
    • soit marge% (unité : pourcentage)
  • l’indentation, avec indent
  • l’espacement interligne, avec lh


Par défaut marge=4 et indent=2.


Exemple sans paramètre
{{Citation bloc2|« Le texte »}}
Rendu

« La force productrice, au grand éclat, tout enflammée, pleine de gloire, que les dieux honorent, par laquelle le soleil rayonne : les djoguis la perçoivent ; c’est Bhagavat qui est éternel. — De cette force procède Brahme, par elle Brahme se développe et croît ; cette force qui réside au milieu des corps célestes rend brûlant le soleil qui ne chauffait pas : les djoguis la perçoivent ; c’est Bhagavat qui est éternel. — Elle pénètre les eaux ; sortie des eaux au milieu de la mer, elle pénètre deux divinités dans l’espace ; pleine d’énergie sous la forme de l’astre lumineux, elle soutient à la fois la terre et le ciel : les djoguis la perçoivent ; c’est Bhagavat qui est éternel. — Cette forme soutient donc deux divinités, la terre, le ciel et les points de l’horizon ; c’est d’elle qu’émanent et coulent les points de l’horizon et les fleuves, par elle que se fixent les grands océans : les djoguis la perçoivent ; c’est Bhagavat qui est éternel. — Sa forme ne peut se comparer à rien de ce qui existe, qui que ce soit ne la voit par les yeux, mais par l’intelligence, l’esprit et le cœur ; ceux qui l’ont connu, ceux-là sont immortels ! Les djoguis la perçoivent ; c’est Bhagavat qui est éternel »


Exemple avec paramètres
{{Citation bloc2|Le texte|taille=85|marge=2|lh=200|indent=6}}
Rendu

La force productrice, au grand éclat, tout enflammée, pleine de gloire, que les dieux honorent, par laquelle le soleil rayonne : les djoguis la perçoivent ; c’est Bhagavat qui est éternel. — De cette force procède Brahme, par elle Brahme se développe et croît ; cette force qui réside au milieu des corps célestes rend brûlant le soleil qui ne chauffait pas : les djoguis la perçoivent ; c’est Bhagavat qui est éternel. — Elle pénètre les eaux ; sortie des eaux au milieu de la mer, elle pénètre deux divinités dans l’espace ; pleine d’énergie sous la forme de l’astre lumineux, elle soutient à la fois la terre et le ciel : les djoguis la perçoivent ; c’est Bhagavat qui est éternel. — Cette forme soutient donc deux divinités, la terre, le ciel et les points de l’horizon ; c’est d’elle qu’émanent et coulent les points de l’horizon et les fleuves, par elle que se fixent les grands océans : les djoguis la perçoivent ; c’est Bhagavat qui est éternel. — Sa forme ne peut se comparer à rien de ce qui existe, qui que ce soit ne la voit par les yeux, mais par l’intelligence, l’esprit et le cœur ; ceux qui l’ont connu, ceux-là sont immortels ! Les djoguis la perçoivent ; c’est Bhagavat qui est éternel