Livre:Sextus Empiricus - Les Hipotiposes pirroniennes.djvu

TitreLes Hipotiposes pirroniennes Voir l'entité sur Wikidata
AuteurSextus Empiricus Voir l'entité sur Wikidata
TraducteurClaude Huart
Lieu d’éditionAmsterdam
Année d’édition1725
BibliothèqueGoogle Livres, via Internet Archive.
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DES
CHAPITRES


Chap. I. 
De la division des philosophes en Dogmatiques et Sceptiques.
Chap. II. 
Division générale des Sceptiques.
Chap. III. 
Des différents noms que l’on donne à la Sceptique.
Chap. IV. 
Ce que c’est que la Sceptique.
Chap. V. 
Du philosophe Sceptique.
Chap. VI. 
Des principes de la Sceptique.
Ibid.
Chap. VII. 
Si les Sceptiques établissent quelques Dogmes.
Chap. VIII. 
Si le Sceptique est de quelque Secte.
Chap. IX. 
Si le Filosofe Sceptique traite de la conaissance des choses naturelles.
Chap. X. 
Si les Sceptiques détruisent les aparences des Sens.
Chap. XI. 
De la régle que la Sceptique suit dans ses Jugemens.
Chap. XII. 
Quelle est la fin de la Sceptique.
Chap. XIII. 
Des moyens généraux, dont les Sceptiques se servent dans leur examen, pour parvenir à l’Époque.
Chap. XIV. 
Des dix moyens de l’Époque.
Chap. XV. 
Des cinq autres moyens de l’Époque.
Chap. XVI. 
Des deux autres moyens de l’Époque.
Chap. XVII. 
Quels sont les moyens dont les Sceptiques se servent pour réfuter les Filosofes qui font profession de rendre raison des choses.
Chap. XVIII. 
Des expressions des Sceptiques.
Chap. XIX. 
De cette expression, Pas plus.
Chap. XX. 
De l’Afasie.
Chap. XXI. 
Ce que nous entendons par ces termes, peut-être ; cela est permis ; cela se peut faire ; etc.
Chap. XXII. 
Du terme Ἐπέχω. Je m’abstiens de juger, ou de dire mon sentiment.
Chap. XXIII. 
De cette expression, Je ne détermine rien (nihil definio.)
Chap. XXIV. 
De cette expression, Toutes choses sont indéterminables, c’est-à-dire, on ne peut juger déterminément de rien.
Chap, XXV. 
De ce que les Sceptiques disent que, toutes choses sont incompréhensibles.
Chap. XXVI. 
De ces termes, Je ne conçois pas ; Je ne comprens pas.
Chap, XXVII. 
De ce que les Sceptiques disent, qu’à toute raison on peut oposer une raison d’égale force.
Chap. XXVIII. 
Addition à ce qui a été dit des expressions des Sceptiques.
Chap. XXIX. 
Que la Filosofie Sceptique est diférente de celle d’Héraclite.
Chap. XXX. 
En quoi la doctrine des Sceptiques est diférente de la Filosofie de Démocrite.
Chap. XXXI. 
En quoi la Sceptique difére de la doctrine des Cirénaïques.
Chap. XXXII. 
En quoi la Filosofie Sceptique est diférente de celle de Protagoras.
Chap. XXXIII. 
En quoi la Sceptique est diférente de la Filosofie des Académiciens.
Chap. XXXIV. 
Si la Secte des Médecins, que l’on nomme Empiriques, est la même chose que la Filosofie Sceptique.


Chap. I. 
Si un Filosofe peut examiner quelques unes des choses que les Dogmatiques enseignent.
Chap. II. 
Par où doit commencer l’examen de la Filosofie contre les Dogmatiques.
Chap. III. 
Du Criterium, c’est-à-dire, de la régle du vrai & du faux.
Chap. IV. 
S’il y a quelque régle de vérité.
Chap. V. 
Du Criterium a quo, c’est-à-dire, de celui qui doit juger de la vérité.
Chap. VI. 
Du Criterium per quod, c’est-à-dire, de l’instrument par lequel on prétend juger de la vérité.
Chap. VII. 
Du Criterium secundum quod, c’est-à-dire, de l’exemplaire suivant lequel on doit juger des choses.
Chap. VIII. 
Du Vrai & de la Vérité.
Chap. IX. 
S’il y a quelque chose qui soit naturellement vraye.
Chap. X. 
Du Sîgne.
Chap. XI. 
S’il y a quelque Signe démonstratif, ou d’indication.
Chap. XII. 
De la Démonstration.
Chap. XIII. 
S’il y a quelque Démonstration.
Chap. XIV. 
Des Sillogismes.
Chap. XV. 
De l’Induction.
Chap. XVI. 
Des Définitions.
Chap. XVII. 
De la Division.
Chap. XVIII. 
De la Division du nom en ses diférentes significations.
Chap. XIX. 
Du Tout & de la Partie.
Chap. XX. 
Des Genres & des Espéces.
Chap. XXI. 
Des Accidens communs.
Chap. XXII. 
Des Sofismes.
Chap. XXIII. 
Des Amfibologies.


Chap. I. 
De Dieu.
Chap. II. 
De la Cause.
Chap. III. 
S’il y a quelque Cause de quelque chose.
Chap. IV. 
Des Principes Matériels.
Chap. V. 
Si l’on peut concevoir ce que c’est que les Corps.
Chap. VI. 
Du mélange des Choses.
Chap. VII. 
Du Mouvement.
Chap. VIII. 
Du Mouvement d’un lieu à un autre.
Chap. IX. 
De l’Augmentation & de la Diminution.
Chap. X. 
Du Retranchement & de l’Addition.
Chap. XI. 
De la Transposition.
Chap. XII. 
Du Tout & de la Partie.
Chap. XIII. 
Du Changement naturel.
Chap. XIV. 
De la Génération & de la Corruption.
Chap. XV. 
De l’état permanent des Êtres.
Chap. XVI. 
Du Lieu.
Chap. XVII. 
Du Temps.
Chap. XVIII. 
Du Nombre.
Chap. XIX. 
De la partie morale de la Filosofie.
Chap. XX. 
De la définition du Bien en général suivant les Stoïciens.
Chap. XXI. 
Des Biens & des Maux, & des choses indiférentes.
Chap. XXII. 
S’il y a quelque chose qui soit de sa nature bone, ou mauvaise, ou indiférente.
Chap. XIII. 
Suite du même sujet. S’il y a des choses qui soyent de leur nature bones, ou mauvaises, ou indiférentes.
Chap. XXIV. 
S’il peut y avoir quelqu’Art pour la conduite de la vie.
Chap. XXV. 
S’il y a dans les hommes quelqu’Art qui serve à la conduite de la vie.
Chap. XXVI. 
S’il y a quelque chose qui puisse être enseignée.
Chap. XXVII. 
S’il y a quelc’un qui puisse enseigner & quelcun qui puisse être enseigné.
Chap. XXVIII. 
S’il y a quelque moyen d’instruction.
Chap. XXIX. 
Si l’Art de bien vivre est utile à celui qui le posséde.
Chap. XXX. 
Pourquoi le Filosofe Sceptique se sert quelquefois exprès de raisons faibles & peu probables.