Livre:Sand - Histoire de ma vie tomes 10a13 1855 Gerhard.djvu

TitreHistoire de ma vie Voir l'entité sur Wikidata
Volume10 à 13
AuteurGeorge Sand Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionWolfgang Gerhard
Lieu d’éditionLeipzig
Année d’édition1855
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Sérietomes 1-4, tomes 5-9, tomes 10-13

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TABLE DES MATIÈRES

(ne fait pas partie de l’ouvrage original)



TOME DIXIÈME.

CHAPITRE VINGT-DEUXIÈME.

Retraite à Nohant. — Travaux d’aiguille moralement utiles aux femmes. — Équilibre désirable entre la fatigue et le loisir. — Mon rouge-gorge. — Deschartres quitte Nohant. — Naissance de mon fils. — Deschartres à Paris. — Hiver de 1824 à Nohant. — Changemens et améliorations qui me donnent le spleen. — Été au Plessis. — Les enfans. — L’idéal dans leur société. — Aversion pour la vie positive. — Ormesson. — Nous revenons à Paris. — L’abbé de Prémord. — Retraite au couvent. — Aspirations à la vie monastique. — Maurice au couvent. — Sœur Hélène nous chasse.

CHAPITRE VINGT-TROISIÈME.

Mort mystérieuse de Deschartres, peut-être un suicide.

CHAPITRE VINGT-QUATRIÈME.

Guillery, le château de mon beau-père. — Les chasses au renard. — Peyrounine et Tant belle. — Les Gascons, gens excellens et bien calomniés. — Les paysans, les bourgeois et les gentilshommes grands mangeurs, paresseux splendides, bons voisins et bons amis. — Voyage à la Brède. — Digressions sur les pressentimens. — Retour par Castel-Jaloux, la nuit, à cheval, au milieu des bois, avec escorte de loups. — Pigon mangé par les loups. — Ils viennent sous nos fenêtres. — Un loup mange la porte de ma chambre. — Mon beau-père attaqué par quatorze loups. — Les Espagnols pasteurs nomades et bandits dans les Landes. — La culture et la récolte du liége. — Beauté des hivers dans ce pays. — Mort de mon beau-père. — Portrait et caractère de sa veuve, la baronne Dudevant. — Malheur de sa situation. — Retour à Nohant. — Parallèle entre la Gascogne et le Berri. — Blois. — Le Mont-d’Or. — Ursule. — M. Duris-Dufresne, député de l’Indre. — Une chanson. — Grand scandale à la Châtre. — Rapide résumé de divers petits voyages et circonstances jusqu’en 1831.

CHAPITRE VINGT-CINQUIÈME.

Coup d’œil rétrospectif sur quelques années esquissées dans le précédent chapitre. — Intérieur troublé. — Rêves évanouis. — Ma religion. — Question de la liberté de s’abstenir de culte extérieur. — Mort douce d’une idée fixe. — Mort d’un cricri. — Projets d’un avenir à ma guise, vagues, mais persistans. — Pourquoi ces projets. — La gestion d’une année de revenu. — Ma démission. — Sorte d’interdiction de fait. — Mon frère et sa passion fâcheuse. — Les vents salés, les figures salées. — Essai d’un petit métier. — Le musée de peinture. — Révélation de l’art, sans certitude d’aucune spécialité. — Inaptitude pour les sciences naturelles, malgré l’amour de la nature. — On m’accorde une pension et la liberté. — Je quitte Nohant pour trois mois.

CHAPITRE VINGT-SIXIÈME.

Manière de préface à une nouvelle phase de mon récit. — Pourquoi je ne parle pas de toutes les personnes qui ont eu de l’influence sur ma vie, soit par la persuasion, soit par la persécution. — Quelques lignes de J.-J. Rousseau sur le même sujet. — Mon sentiment est tout l’opposé du sien. — Je ne sais pas attenter à la vie des autres, et, pour cause de christianisme invétéré, je n’ai pu me jeter dans la politique de personnalités. — Je reprends mon histoire. — La mansarde du quai Saint-Michel et la vie excentrique que j’ai menée pendant quelques mois avant de m’installer. — Déguisement qui réussit extraordinairement. — Méprises singulières. — M. Pinson. — Le bouquet de Mlle Leverd. — M. Rollinat père. — Sa famille. — François Rollinat. — Digression assez longue. — Mon chapitre de l’amitié, moins beau, mais aussi senti que celui de Montaigne.

CHAPITRE VINGT-SEPTIÈME.

Dernière visite au couvent. — Vie excentrique. — Debureau. — Jane et Aimée. — La baronne Dudevant me défend de compromettre son nom dans les arts. — Mon pseudonyme. — Jules Sand et George Sand. — Karl Sand. — Le choléra. — Le cloître Saint-Merry. — Je change de mansarde.

CHAPITRE VINGT-HUITIÈME.

Quatre Berrichons dans les lettres. — MM. Delatouche et Duris-Dufresne. — Ma visite à M. de Kératry. — Rêve de quinze cents francs de rente.



TOME ONZIÈME.

CHAPITRE VINGT-HUITIÈME. (SUITE.)

Rêve de quinze cents francs de rente. — Le Figaro. — Une promenade dans le quartier Latin. — Balzac. — Emmanuel Arago. — Premier luxe de Balzac. — Ses contrastes. — Aversion que lui portait Delatouche. — Dîner et soirée fantastiques chez Balzac. — Jules Janin. — Delatouche m’encourage et me paralyse. — Indiana. — C’est à tort qu’on a dit que c’était ma personne et mon histoire. — La théorie du beau. — La théorie du vrai. — Ce qu’en pensait Balzac. — Ce qu’en pensent la critique et le public.

CHAPITRE VINGT-NEUVIÈME.

Delatouche passe brusquement de la raillerie à l’enthousiasme. — Valentine paraît. — Impossibilité de la collaboration projetée. — La Revue des Deux-Mondes. Buloz. — Gustave Planche. — Delatouche me boude et rompt avec moi. — Résumé de nos rapports par la suite. — Maurice entre au collége. — Son chagrin et le mien. — Tristesse et dureté du régime des lycées. — Une exécution à Henri IV. — La tendresse ne raisonne pas. — Maurice fait sa première communion.

CHAPITRE TRENTIÈME.

Ce que je gagnai à devenir artiste. — La mendicité organisée. — Les filous de Paris. — La mendicité des emplois, celle de la gloire. — Les lettres anonymes et celles qui devraient l’être. — Les visites. Les Anglais, les curieux, les flâneurs, les donneurs de conseils. — Le boulet. — Réflexions sur l’aumône, sur l’emploi des biens. — Le devoir religieux et le devoir social en opposition flagrante. — Les problèmes de l’avenir et la loi du temps. — L’héritage matériel et intellectuel. — Les devoirs de la famille, de la justice, de la probité s’opposant à l’immolation évangélique dans la société actuelle. — Contradiction inévitable avec soi-même. — Ce que j’ai cru devoir conclure pour ma gouverne particulière. — Doute et douleur. Réflexions sur la destinée humaine et sur l’action de la Providence. — Lélia. — La critique. — Les chagrins qui passent ; celui qui reste. — Le mal général. — Balzac. — Départ pour l’Italie.

CHAPITRE TRENTE-UNIÈME.

M. Bayle (Stendhal). — La cathédrale d’Avignon. — Passage à Gênes, Pise et Florence. — Arrivée à Venise par l’Apennin, Bologne et Ferrare. — Alfred de Musset, Géraldy, Léopold Robert à Venise. — Travail et solitude à Venise. — Détresse financière. — Rencontre singulière. — Départ pour la France. — Arrivée à Paris. — Retour à Nohant. — Julie. — Mes amis du Berry. — Ceux de la mansarde. — Prosper Bressant. — Le Prince.

CHAPITRE TRENTE-DEUXIÈME.

Madame Dorval.

CHAPITRE TRENTE-TROISIÈME.

Eugène Delacroix.



TOME DOUZIÈME.

CHAPITRE TRENTE-TROISIÈME. (SUITE.)

Delacroix. — David Richard et Gaubert. — La phrénologie et la médecine. — Les saints et les anges.

CHAPITRE TRENTE-QUATRIÈME.

Sainte-Beuve. — Luigi Calamatta. — Gustave Planche. — Charles Didier. — Pourquoi je ne parle pas de certains autres.

CHAPITRE TRENTE-CINQUIÈME.

Je reprends mon récit. — J’arrive à dire des choses fort délicates, et je les dis exprès sans délicatesse, les trouvant ainsi plus chastement dites. — Opinion de mon ami Dutheil sur le mariage. — Mon opinion sur l’amour. — Marion de Lorme. — Deux femmes de Balzac. — L’orgueil de la femme. — L’orgueil humain en général. — Les Lettres d’un voyageur : mon plan au début. — Comme quoi le voyageur était moi. — Maladies physiques et morales agissant les unes sur les autres.



QUATRIÈME PARTIE.


CHAPITRE PREMIER.

Personnalité de la jeunesse. — Détachement de l’âge mûr. — L’orgueil religieux. — Mon ignorance me désole encore. — Si je pouvais me reposer et m’instruire ! — J’aime, donc je crois. — L’orgueil catholique, l’humilité chrétienne. — Encore Leibnitz. — Pourquoi mes livres ont des endroits ennuyeux. — Horizon nouveau. — Allées et venues. — Solange et Maurice. — Planet. — Projets de départ et de dispositions testamentaires. — M. de Persigny. — Michel (de Bourges).

CHAPITRE DEUXIÈME

Éverard. — Sa tête, sa figure, ses manières, ses habitudes. — Patriotes ennemis de la propreté. — Conversation nocturne et ambulatoire. — Sublimités et contradictions. — Fleury et moi faisons le même rêve, à la même heure. — De Bourges à Nohant. — Les lettres d’Éverard. — Procès d’avril. — Lyon et Paris. — Les avocats. — Pléiade philosophique et politique. — Planet pose la question sociale. — Le pont des Saints-Pères. — Fête au château. — Fantasmagorie babouviste. — Ma situation morale. — Sainte-Beuve se moque. — Un dîner excentrique. — Une page de Louis Blanc. — Éverard malade et halluciné. — Je veux partir ; conversation décisive ; Éverard sage et vrai. — Encore une page de Louis Blanc. — Deux points de vue différens dans la défense, je donne raison à M. Jules Favre.

CHAPITRE TROISIÈME.

Lettre incriminée au procès monstre. — Ma rédaction rejetée. — Défection du barreau républicain. — Trélat. — Discours d’Éverard. — Sa condamnation. — Retour à Nohant. — Projets d’établissement. — La maison déserte à Paris. — Charles d’Aragon. — Affaire Fieschi. — Les opinions politiques de Maurice. — M. Lamennais. — M. Pierre Leroux. — Le mal du pays me prend. — La maison déserte à Bourges. — Contradictions d’Éverard. — Je reviens à Paris.

CHAPITRE QUATRIÈME.

Irrésolution.



TOME TREIZIÈME ET DERNIER.

CHAPITRE QUATRIÈME. (SUITE.)

L’auberge de la Boutaille et les bohémiens. — Je ne vais pas à la Chenaie. — Lettre de mon frère. — La famille Duteil. — Je vais à Nohant. — Le Bois de Vavray. — Grande résolution. — Course à Châteauroux et à Bourges. — La prison de Bourges. — La brèche. — Un quart d’heure de cachot. — Consultation, détermination et retour. — Enlevons Hermione ! — Premier jugement. — La maison déserte à Nohant. — Second jugement. — Réflexions sur la séparation de corps. — La maison déserte à La Châtre. — Bourges. — La famille Tourangin. — Plaidoiries. — Transaction. — Retour définitif et prise de possession de Nohant.

CHAPITRE CINQUIÈME.

Voyage en Suisse. — Mme d’Agoult. — Son salon à l’hôtel de France. — Maurice tombe malade. — Luttes et chagrins. — Je l’emmène à Nohant. — Lettre de Pierret. — Je vais à Paris. — Ma mère malade. — Retour sur mes relations avec elle depuis mon mariage. — Ses derniers momens. — Pierret. — Je cours après Maurice. — Je cours après Solange. — La sous-préfecture de Nérac. — Retour à Nohant. — Nouvelles discussions. — Deux beaux enfans pour cinquante mille francs. — Travail, fatigue et vouloir. — Père et mère.

CHAPITRE SIXIÈME.

Mort d’Armand Carrel. — M. Émile de Girardin. — Résumé sur Éverard. — Départ pour Majorque. — Frédéric Chopin. — La Chartreuse de Valdemosa. — Les préludes. — Jour de pluie. — Marseille. Le docteur Cauvières. — Course en mer jusqu’à Gènes. — Retour à Nohant. — Maurice malade et guéri. — Le 12 mai 1839. — Armand Barbès. — Son erreur et sa sublimité.

CHAPITRE SEPTIÈME ET DERNIER.

J’essaye le professorat et j’y échoue. — Irrésolution. — Retour de mon frère. — Les pavillons de la rue Pigale. — Ma fille en pension. — Le square d’Orléans et mes relations. — Une grande méditation dans le petit bois de Nohant. — Caractère de Chopin développé. — Le prince Karol. — Causes de souffrance. — Mon fils me console de tout. — Mon cœur pardonne tout. — Mort de mon frère. — Quelques mots sur les absents. — Le ciel. — Les douleurs qu’on ne raconte pas. — L’avenir du siècle. — Conclusion.