Livre:Pétrarque - Lettres de Vaucluse, trad. Develay, 1899.pdf
Titre | Lettres de Vaucluse |
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Auteur | Pétrarque ![]() |
Traducteur | Victor Develay ![]() |
Maison d’édition | Ernest Flammarion |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1899 |
Bibliothèque | Bibliothèque nationale de France |
Fac-similés | |
Avancement | À corriger |
Pages
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Table des matières
Première partie
Épîtres en vers
I.
Au P. Dionigio Roberti. (Description de la fontaine de Vaucluse, qu’il l’engage à visiter.)
II.
À Philippe de Cabassole. (Il l’invite à partager sa retraite à Vaucluse.)
III.
À Jacopo Colonna. (Ses vains efforts pour combattre sa passion. Sa vie à Vaucluse. Jouissances de l’étude.)
IV.
À Lélius. (Vaucluse réveille son amour qu’il croyait éteint.)
V.
À Giovanni Colonna. (Sa guerre avec les nymphes de la Sorgues.)
VI.
Au même. (Un orage à Vaucluse.)
VII.
Au même. (Sa paix avec les nymphes de la Sorgues.)
VIII.
Au même. (Il le remercie du chien qu’il lui a donné.)
IX.
À Gulielmo di Pastrengo. (Sa rencontre à Vaucluse avec la maîtresse de cet ami.)
Deuxième partie
Lettres en prose
I.
Au P. Dionigio Roberti. (Son ascension sur le mont Ventoux.)
II.
À Giovanni Colonna di San Vito. (Remède
contre la goutte.)
III.
À Lélius. (Il le prie d’intéresser le cardinal Giovanni Colonna à un jeune homme faussement accusé de viol.)
IV.
Au même. (Même sujet.)
V.
À Giovanni Colonna. (Invité simultanément à recevoir la couronne de laurier à Paris et à Rome, il lui demande son avis.)
VI.
Au même. (Il suivra le conseil qu’il lui donne de se faire couronner à Rome.)
VII.
À Philippe de Cabassole. (Son vœu le plus
ardent est de vivre et de mourir à Vaucluse.)
VIII.
Au même. (Il lui annonce son retour à
Vaucluse.)
IX.
À Francesco Nelli. (Arrivée à Vaucluse de
l’évêque de Florence.)
X.
Au même. (Sa fausse réputation de poète
sauve Rienzi de la peine capitale.)
XI.
À Pierre de Rainzeville. (Sa passion pour
l’étude. Il est assailli par les versificateurs de tous les pays.)
XII.
À Francesco Nelli. (Sa vie à Vaucluse.)
XIII.
À Zanobi da Strada. (Il le remercie de l’intérêt qu’il porte à sa réputation.)
XIV.
À Mathieu Longus. (Éloge du chien.)
XV.
À Dom Ubertino. (Il s’excuse de ne pas lui communiquer son poème de l’Afrique, auquel il n’a pas encore mis la dernière main.)
XVI.
À Gui de Boulogne. (Tourmenté du désir de quitter Avignon pour retourner en Italie, il ne se sent pas la force de l’attendre plus longtemps.)
XVII.
À Pons Samson. (Il s’excuse d’être parti sans prendre congé de lui.)
XVIII.
À Francesco Nelli. (S’étant mis en route pour l’Italie, une pluie torrentielle l’a forcé à rebrousser chemin.)
XIX.
À Zanobi da Strada. (Sa vie à Vaucluse.)
XX.
À Andréa Dandolo. (Il se disculpe du reproche de trop aimer les voyages.)
XXI.
À Pierre de Rainzeville. (Sa polémique avec un médecin. Nouveaux délais qui suspendent l’expédition de Charles IV en Italie.)
XXII.
Au même. (Sa polémique avec un médecin.)
XXIII.
À Lélius. (Il lui demande conseil sur l’endroit où il doit se fixer et il lui témoigne
le désir qu’il éprouve de finir ses jours à Rome.)
XXIV.
À Philippe de Cabassole. (Il lui demande asile dans sa maison de campagne pour se dérober à tous les regards.)
XXV.
Au même. (Il lui envoie trois petits présents.)
XXVI.
À Elie de Talleyrand et Gui de Boulogne. (Il demande l’autorisation de retourner à
Vaucluse par suite de la mort de son métayer gardien de sa bibliothèque.)
XXVII.
À Socrate. (Content de son sort, il supplie ses amis de ne pas le pousser dans la voie de l’ambition.)
XXVIII.
Au même. (Il exprime son inquiétude sur la disparition d’un ami qui était venu le
voir.)
XXIX.
À Lélius. (En allant voir son frère au monastère de Montrieu, il rencontre des dames romaines qui lui donnent des nouvelles de Rome.)
XXX.
À Socrate. (Désagréments des domestiques.)
XXXI.
À Gérard Pétrarque. (Il le félicite de sa conduite héroïque pendant la peste.)