Livre:Ozanam - Œuvres complètes, 3e éd, tome 10.djvu

TitreLettres de Frédéric Ozanam 1831-1853
VolumeŒuvres complètes volume 10, 1873
AuteurFrédéric Ozanam Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionLecoffre
Année d’édition1873
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
Fac-similésdjvu
AvancementÀ valider
Série1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11

Pages

v vi vii viii ix x xi xii xiii xiv xv 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 261 262 263 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 313 314 315 316 317 318 319 320 321 322 323 324 325 326 327 328 329 330 331 332 333 334 335 336 337 338 339 340 341 342 343 344 345 346 347 348 349 350 351 352 353 354 355 356 357 358 359 360 361 362 363 364 365 366 367 368 369 370 371 372 373 374 375 376 377 378 379 380 381 382 383 384 385 386 387 388 389 390 391 392 393 394 395 396 397 398 399 400 401 402 403 404 405 406 407 408 409 410 411 412 413 414 415 416 417 418 419 420 421 422 423 424 425 426 427 428 429 430 431 432 433 434 435 436 437 438 439 440 441 442 443 444 445 446 447 448 449 450 451 452 453 454 455 456 457 458 tdm tdm tdm tdm tdm tdm tdm tdm
*Bénédiction apostolique

TABLE DES MATIÈRES




Vocation d’Ozanam. A dix-sept ans il écrit « Mon parti est pris, ma tâche est tracée pour la vie. — Il va publier les Réflexions sur la doctrine de Saint-Simon.
Il est beau d’assister à une époque aussi solennelle. — Mission d’un jeune homme dans la société. — Il se réjouit d’être né à une époque où il aura peut-être à faire beaucoup de bien.
Plan d’un grand ouvrage commence depuis l’âge de quinze ans, intitulé : Démonstration de la religion par l’antiquité des croyances.
V. — Frédéric Ozanam à sa mère. Paris, 7 novembre 1831 
 27
Arrivée à Paris. — Tristesse et isolement.
Amitié. – Désir de réunir des jeunes gens. Il espère parvenir à fonder la réunion dont il a déjà parlé.
VII. — À son Père. Paris, 12 novembre et 7 décembre 1831 
 36
Hospitalité de André-Marie Ampère. — Sa bonté paternelle pour Ozanam. — Bonheur de vivre dans son intimité.


Bons conseils à un ami. — Paris lui déplaît. — La science et le catholicisme, voilà ses seules consolations. — Désir de s’entourer de jeunes hommes sentant et pensant comme lui difficile est la tâche de celui qui veut réunir des défenseurs autour d’un drapeau.
Bontés de M. Ampère. — Souvenirs des fêtes de famille.
Il faut montrer à la jeunesse étudiante qu’on peut être catholique et avoir le sens commun ; qu’on peut aimer la religion et la liberté. — Conférence de M. l’abbé Gerbet.
Cours de M. Jouffroy. — Protestation des étudiants catholiques. Réponse de M. Jouffroy. — Première pétition à l’archevêque de Paris pour demander les conférences de Notre-Dame.
« Nous avons besoin de quelque chose qui nous possède et nous transporte. Nous avons besoin de poésie. » — Précieuse influence des réunions de M. de Montalembert.
Conférence d’histoire. — « Tu sais quel était avant mon départ de Lyon l’objet de tous mes vœux. » — Origine de Société de Saint-Vincent de Paul.
Procession de la Fête-Dieu à Nanterre. — Joyeuse promenade d’étudiants.
On veut faire de lui une sorte de chef de la jeunesse catholique.
XVII. – Pétition adressée à Mgr de Quélen au nom des étudiants catholiques pour demander les conférences de Notre-Dame 
 94
L’incertitude des choses humaines ne doit point briser nos courages ; elle doit au contraire nous attacher plus fort au devoir du présent.

Adresse des étudiants catholiques de Paris, aux étudiants de l’Université catholique de Louvain.
Épanchements avec sa mère. — Le passé et l’avenir. – Au mois d’avril il sera avocat ; « après tout, avocat n’est pas grand chose. »
Doctrines politiques. Désir de voir les jeunes gens de tête et de cœur s’unir en une vaste association pour le soulagement des classes pauvres.
Retour à Lyon. – Visite à M. de Lamartine au château de Saint-Point.
Quel est le but de la Société de Saint-Vincent de Paul.
L’abbé Lacordaire. – M. de Lamartine.
Différence de la philanthropie et de la charité. — Ne sommes-nous pas comme les chrétiens des premiers temps jetés au milieu d’une civilisation corrompue et d’une société croulante ?
Humbles sentiments de lui-même.
Examen de la licence ès lettres. — Les conférences de l’abbé Lacordaire.
Aux jours où nous sommes, il faudrait de grandes vertus et des hommes forts.
Fête de sa mère. — Voyage à pied à la Grande-Chartreuse.

La Grande Chartreuse.
Mariage d’un ami. — Il sent se faire en lui un grand vide qui le comblera ? sera-ce Dieu ? sera-ce une créature ?
Que les actions valent donc mieux que les paroles !
La famille et les amis. — Le mystère de la communion des Saints ne nous permet pas de nous croire seuls ici-bas. — Il publie les Deux Chanceliers d’Angleterre.
La puissance d’association est une puissance d’amour. — L’orthodoxie est le nerf et la force de la religion, et sans cette condition vitale toute association catholique est impuissante. — Programme d’une université catholique.
Mission de la poésie dans le temps présent.
Le silence de l’histoire est la liberté de la poésie.
Bienfait de naître dans une de ces positions entre la gêne et de l’aisance. La question qui agite le monde n’est ni une question de personnes, ni une question de formes politiques, mais une question sociale.
L’Ombrie. — Saint François. Une lutte terrible se prépare. — Entre les deux armées ennemies il faut nous précipiter, au moins pour amortir le choc. — Mission sociale des conférences de Saint-Vincent de Paul. — Formation d’un conseil général.
Souvenirs du passé.
Ce qui divise les hommes, ce ne sont plus les opinions, mais les intérêts ; ici le camp des riches, là le camp des pauvres ; entre eux deux les menaces d’une guerre qui sera une guerre d’extermination. – Un seul moyen de salut reste.


Ses débuts au barreau de Lyon.
Son père.
Mort de son père.
Tristesse.
Il le félicite de toucher au terme de ces agitations qui tourmentent un si grand nombre, inquiets de leur destinée en ce monde.
Gaudete in Domino semper.
La Société de Saint-Vincent de Paul, placée aux portes des écoles, pourrait donner une impulsion heureuse à notre pauvre société française, et par la France au monde entier.
La vie d’avocat. Il ne s’acclimate pas dans l’atmosphère de la chicane. Nous sommes des serviteurs inutiles. il ne nous est pas permis d’être des serviteurs oisifs.
Souvenirs de la vie d’étudiant. — La vie de province. — À Paris, l’esprit se polit mieux, mais c’est à la condition de s’user. — Il finit sa thèse sur Dante. — Il commence une histoire politique du protestantisme. — Règlement des conférences Saint-Vincent de Paul.
La Société de Saint-Vincent de Paul.
Le moyen-âge est un peu comme les îles enchantées dont parlent les poëtes.

Comment il faut voyager en Italie.
Il est nommé professeur de droit commercial à Lyon. – Projet d’une philosophie et d’une histoire du droit. – Il complète son livre sur Dante. – Il dissuade avec vivacité son ami de se marier.
Son arrivée à Rome. — Récit de son entrée dans l’ordre de Saint-Dominique. – Le couvent de la Quercia.
Mouvement des esprits à Paris. – Il demande des conseils. – Incertitudes de sa vocation.
Encouragements et explications des règles de l’ordre de Saint-Dominique.
Maladie de sa mère.
Jugement de Silvio sur son livre de Dante.
Mort de sa mère.
Mort de sa mère. – Incertitude sur sa vocation.
M. Cousin voudrait le faire entrer dans son régiment.
Ouverture du cours de droit commercial.

Il félicite son ami d’être père. – Cours de droit commercial. – Les deux Anges gardiens.
Incertitude de sa vocation. – Ses études pour le concours d’agrégation.
Malgré la vie de province, il suit le mouvement de la restauration du catholicisme.
Il se prépare au concours de l’agrégation de lettres.
Situation des catholiques en France en 1840.
Il est nommé le premier au concours d’agrégation.
Il est nommé suppléant de M. Fauriel à la Sorbonne.
Voyage de Belgique et des bords du Rhin. – Épreuves du concours.
Projet de mariage.
Son mariage.
Il est heureux.
La Propagation de la foi en Espagne.

Voyage de Naples.
Voyage de Sicile.
Voyage de Sicile.
Voyage d’Italie.