Livre:Noailles - L’honneur de souffrir, 1927.djvu

Titre	L’honneur de souffrir
Auteur	Anna de Noailles
Maison d’édition	Librairie Grasset
Lieu d’édition	Paris
Année d’édition	1927
Bibliothèque	Bibliothèque nationale de France
Fac-similés	djvu
Avancement	À valider

Pages

Couverture - - - - Titre - - - 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 - TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM - -

TABLE

I

Dans l’âpre solitude où tu vis désormais

11

II

Ainsi la vie ample et savante

13

III

Chaque jour j’entends qu’en silence

14

IV

Puisque mes yeux ont vu les lieux où tu reposes

16

V

Morts qui me fûtes chers, ne soyez pas jaloux

17

VI

Ils ont inventé l’âme afin que l’on abaisse

18

VII

Ébloui, pur, minutieux

20

VIII

Chaque matin m’accable et la couleur de l’air

22

IX

La nuit, lorsque je dors et qu’un ciel inutile

24

X

Nul lit, nulle chambre, nul toit

25

XI

J’ai su la vérité, j’ai vu tout ce qui passe

26

XII

Habitante éthérée et fixe des tombeaux

28

XIII

Vous êtes mort un soir à l’heure où le jour cesse

29

XIV

Vivre, permanente surprise !

30

XV

En tremblant, mon regard descend

32

XVI

L’ennui, l’affreuse peine admise, et que l’on tait

34

XVII

Chaque être souffrant seul croit qu’il a l’apanage

36

XVIII

Rien ne me touche plus, je me sens morte aussi

37

XIX

Vivre n’est pas un bien. Les clairs instants sont rares

38

XX

Cela fut, et puis disparaît

40

XXI

Je chante. Un chant répond. Mais ce n’est pas l’écho

41

XXII

Sages de tous les temps, de toutes les patries

42

XXIII

Quand vous êtes partis, muets

44

XXIV

Les mots ne sont rien, mais les preuves

46

XXV

À présent la vie est pour moi

47

XXVI

Si l’on songe à tout ce qu’on fit

50

XXVII

Des cœurs furent heureux le jour où tu es né

52

XXVIII

J’étais morte avec toi, retiens-moi dans ta tombe

53

XXIX

Tu n’es plus ; je méprise, en le voyant survivre

55

XXX

Le printemps naît subitement

57

XXXI

Vanité, crainte, amour de soi

58

XXXII

La pensée alanguie et les membres à l’aise

59

XXXIII

Quand je vois les esprits sans hauteur, sans colère

61

XXXIV

Il convient que l’on appelle âme

62

XXXV

Le jour, hymne silencieux

63

XXXVI

Ce n’est pas toujours vous qui me portez secours

65

XXXVII

Ils parlent ; ils ont tous le visage inquiet

67

XXXVIII

Naïvement, innocemment

69

XXXIX

Tu sais si je suis seule, ô toi qui m’as aimée

71

XL

Ô toi qui n’es pas né, vous qui tous êtes morts

73

XLI

J’ai connu la fiévreuse et mordante détresse

74

XLII

En expirant j’entraînerai

75

XLIII

Si l’esprit survivait à la chair, je saurais

76

XLIV

Volupté : pleurs, sanglots, abîme, bonne mort

77

XLV

J’aurais pu ne jamais connaître

78

XLVI

Le temps est bref, les jours sont lents

79

XLVII

Je n’étais pas déraisonnable

80

XLVIII

Mon histoire aux nombreux visages

81

XLIX

Lorsque la mort, succédant à l’ennui

82

L

Un univers inique abolit nos justices

83

LI

Les morts qui m’ont aimée ont vaincu ta beauté

84

LII

Le monde épars s’agrège, et d’un doux mouvement

86

LIII

Sans t’aimer encor, j’aime encor ta voix

87

LIV

Silence, mouvement, arpège

88

LV

Tout de toi me trompe : tu danses

89

LVI

Je crois voir, entendre

90

LVII

Dans cette infinité, dans cette plénitude

91

LVIII

Passant, je te sais gré de l’extrême torture

92

LIX

Ô printemps, jeune passion

94

LX

Chacun de vous, un jour, a refermé la porte

96

LXI

Ma jeunesse n’est pas dans mes chants intrépides

98

LXII

Puisque jamais plus je n’écoute

LXIII

La femme, durée infinie

LXIV

Dans la douleur rien ne console

LXV

Tout posséder, pour mon esprit

LXVI

Je n’aurais pas été moi-même

LXVII

Ne te résigne pas à la douleur

LXVIII

Univers, je t’ai regardé

LXIX

Si ta voix m’avait dit : Demeure

LXX

J’ai, ce soir, entendu les appels du hautbois

LXXI

Je suis où tu es, nulle part

LXXII

Un arbre est sous mes yeux, épais, brutal, splendide

LXXIII

J’ai quelquefois rêvé, travaillé, sans vous voir

LXXIV

L’immobilité sous mon front

LXXV

Il m’apparaît soudain que vous aimiez la vie

LXXVI

J’ai regardé d’un œil content

LXXVII

Hier, j’ai traversé, comme je fais souvent

LXXVIII

J’ai tant souffert, je souffre tant

LXXIX

Les tombeaux. Tout l’oubli du monde épars

LXXX

Jadis je m’aimais

LXXXI

L’homme s’attache à l’espérance

LXXXII

Chère ombre à qui je parle bas

LXXXIII

Ils sont morts, et mon cœur, secret de ma raison

LXXXIV

L’enfance est une route ardue

LXXXV

Tout est, et pourtant tout n’est rien

LXXXVI

Quand on s’est emparé par amour, par puissance

LXXXVII

Puisque tu veux laisser survivre

LXXXVIII

Je songe à ta main longuement

LXXXIX

Que fait l’esprit dont l’homme a l’orgueil ? Nul ne sait

XC

Je n’avais jamais rien à dire

XCI

J’ai bien servi le dieu sacré de la parole

XCII

Votre mort n’a pas été prompte

XCIII

Des arènes de fleurs brillant auprès des portes

XCIV

Quand j’aurai tout nié, l’azur encor m’émeut

XCV

Un subit désarroi court à travers mon sang

XCVI

La mémoire loyale et triste

XCVII

C’est le jour tiède et mol où naissent les lilas

XCVIII

Il faut que je dorme ou que j’aille

XCIX

La chambre, volets clos, yeux clos, chères ténèbres

C

Le renom, les conseils sages et bons, l’amour

CI

Être pâle, muet, immobile, absent, mort

CII

Qui se plaint du sommeil ?

CIII

Parfois un cri faiblit, nul ne le jette assez

CIV

J’ai vu, soudain étrange, ingrate et sans mémoire

CV

J’ai dormi, j’ai pendant quelques instants rejoint

CVI

Vivre, est-ce de subir un jour, et puis un autre

CVII

La neige, d’une chute égale

CVIII

J’ai composé dans la souffrance

CIX

L’esprit net et le cœur hagard

CX

Lorsque déjà leur vie est affligeante et vaine

CXI

De quoi t’ai-je, en ce jour, frustré, cœur endormi

CXII

La rue a ce matin les teintes délicates

CXIII

De qui pourrais-je dire

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