Wikisource

Livre:Marat - Œuvres, 1869, éd. Vermorel.djvu

TitreŒuvres de J. P. Marat (l’ami du peuple)
AuteurJean-Paul Marat Voir l'entité sur Wikidata
Éditeurrecueillies et annotées par A. Vermorel
Maison d’éditionDécembre-Alonnier, libraire-éditeur
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1869
BibliothèqueInternet Archive
Fac-similésdjvu
AvancementÀ corriger

Pages

TABLE DES MATIÈRES.

Pages.
Portrait de l’ami du peuple tracé par lui-même 
 3
Premiers ouvrages de Marat 
 11
Les chaînes de l’esclavage 
 16
Plan de législation criminelle 
 31
L’Ami du peuple 
 43
ANNÉE 1789.
Opinion sur la division de l’Assemblée en deux chambres, sur sa permanence ou son retour périodique et sur la sanction royale 
 49
Nécessité de créer un tribunal d’État 
 51
Des subsistances 
 52
Sur la marche de l’Assemblée 
 53
Discours au peuple 
 55
Projet dévoilé d’endormir le peuple et d’empêcher la Constitution 
 59
Profession de foi du rédacteur 
 60
Vices d’organisation de la municipalité ; indigne choix de quelques-uns de ses membres ; administration criante des comités 
 62
Observations importantes sur la formation d’une nouvelle Assemblée nationale 
 65
Observations essentielles sur le choix de nos délégués à l’Assemblée nationale 
 67
Réflexions sur les dettes du gouvernement devenues nationales 
 70
Arrivée à Paris du roi et de la famille royale 
 73
Le gouvernement est le plus mortel ennemi des peuples 
 74
Protestation contre la loi martiale 
 75
Observations sur le plan du comité militaire 
 80
ANNÉE 1790.
L’aventure singulière, ou l’évasion d’une religieuse de l’abbaye de Pantemon, pour se soustraire à la tyrannie de ses supérieures 
 82
Le projet de loi sur la presse de l’abbé Sieyès 
 84
Persécutions contre Marat. — Suspension de l’Ami du peuple 
 85
Appel à la nation. — Reprise du l’Ami du peuple 
 88
Observations essentielles sur les crimes de lèse-nation 
 92
Observations sur l’exercice du droit de guerre et de paix 
 95
Affreux complot des ennemis de la Révolution 
 98
Malheurs affreux qui résulteraient de la guerre ministérielle avec l’Angleterre 
 99
Observations sur le projet d’établissements de bienfaisance et des moyens de détruire la mendicité 
 102
Pantalonnade à l’occasion de Franklin 
 105
Corruption de la très-grande majorité de l’Assemblée nationale. — Aveugle confiance du peuple 
 106
Infernal complot contre la liberté de la presse 
 109
Supplique de dix-huit millions d’infortunés privés de leurs droits de citoyens actifs 
 111
Observations en faveur des invalides 
 112
Adresse aux députés des gardes nationales et des troupes de ligne à la Fédération 
 114
Observations sur les fêles du pacte fédératif 
 115
Attentats judiciaires contre les citoyens. Moyens propres à les réprimer 
 116
Observations importantes sur l’organisation de l’armée 
 118
L’ami du peuple à l’auteur des Révolutions de France et de Brabant (Camille Desmoulins) 
 121
Vrais moyens pour que le peuple soit libre et heureux 
 125
Les placards : C’en est fait de nous ! — On nous endort, prenons-y garde ! — C’est un beau rêve, gare au réveil ! — L’affreux réveil 
 129
Éloge funèbre de Loustalot 
 134
Indignes artifices des traîtres à la patrie pour endormir le peuple sur le bord de l’abime 
 136
Conspirations contre les écrivains patriotes et contre la liberté de la presse 
 137
Observations sur les haines soulevées contre lui 
 139
Conjuration de tous les ennemis de la Révolution avec le sieur Motier (Lafayette) 
 141
Dangers imminents qui menacent la France, suite inévitable des malversations ministérielles 
 142
Nécessité de former l’esprit public pour assurer la liberté 
 147
Défense de l’Assemblée nationale contre les attaques des ennemis de la liberté 
 151
Conspirations qui éclatent de toutes parts. Seul moyen de sauver la patrie 
 152
Vrais principes sur lesquels doit reposer la liberté de la presse 
 155
ANNÉE 1791.
Un mot de J. P. Marat, l’ami du peuple, à Louis XVI, roi des Français 
 157
Le véritable serment civique 
 159
Oraison funèbre de Riquetti, dit Mirabeau 
 162
Protestation contre l’établissement du Panthéon 
 164
Fuite du roi et de la famille royale 
 167
Sur le retour du roi 
 171
Sur la conduite de l’Assemblée après le retour du roi. Le massacre du champ de Mars 
 172
La liberté peu faite pour le Français 
 178
Notice 
 181
Parallèle de l’ancien et du nouveau régime 
 181
Découragement de Marat 
 187
Le départ de l’Assemblée constituante 
 189
La nouvelle Assemblée 
 190
L’avenir dévoilé 
 192
Suspension de la publication de l’Ami du peuple 
 195
ANNÉE 1792.
Retour de Marat. Son opinion sur la guerre 
 197
L’auguste Assemblée, sans foi et sans pudeur, favorisant de tout son pouvoir les complots des ennemis de la liberté 
 202
Le plan de la Révolution absolument manqué par le peuple 
 203
La Révolution française toute en pantalonnades 
 211
10 août. L’Ami du peuple aux Français patriotes 
 216
Le peuple abusé par ses représentants, ou les nouvelles violences des pères conscrits depuis la prise des Tuileries 
 219
Mesures à prendre sans délai pour assurer la liberté publique 
 220
Les infâmes pères conscrits trahissent le peuple en cherchant à faire traîner le jugement des traîtres 
 222
Les massacres de septembre 
 223
Marat élu député à la Convention. Derniers numéros de l’Ami du peuple 
 229
Le Journal de la République française.
Aperçu de la Convention nationale 
 232
Nouvelle marche de l’auteur 
 233
Discours de Marat le 15 septembre à la Convention 
 236
Fausse marche de la Convention 
 244
Adresse de Marat à ses commettants. Nouvelles persécutions 
 247
Page:Marat - Œuvres, 1869, éd. Vermorel.djvu/340
Récupérée de « https://fr.wikisource.org/w/index.php?title=Livre:Marat_-_Œuvres,_1869,_éd._Vermorel.djvu&oldid=11557517 »