Livre:Le Testament de Jean Meslier - Tome 2, 1864.pdf

TitreLe Testament
VolumeTome 2
AuteurJean Meslier Voir l'entité sur Wikidata,
ÉditeurRudolf Charles Meijer Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionLibrairie étrangère
Lieu d’éditionAmsterdam
Année d’édition1864
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
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Série123

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Deuxième erreur touchant l’incarnation d’un Dieu fait homme 
 31.
Quel étoit l’esprit et le personnage de Jésus-Christ 
 42.
Quelles étoient ses prédications et ses discours 
 48.
Le Christianisme n’étoit dans son commencement qu’un vile et méprisable fanatisme 
 68.
Troisième erreur de doctrine l’Idolatrie et l’adoration des Dieux de pâte et de farine dans leur prétendu St. Sacrement 
 73.
Comparaison de la consécration des Dieux de pâte avec la consécration des Dieux de bois et de pierre, ou des Dieux d’or et d’argent 
 77.
L’adoration des Dieux de pâte des Romains ouvre une porte large et spatieuse à toutes sortes d’idolatries 
 86.
Quatrième erreur touchant la création et le péché du premier homme 
XL. 
Cinquième erreur touchant la prétendue injure et offense que le péché fait à Dieu, touchant sa prétendue colère et indignation, et touchant la prétendue punition temporelle et éternelle qu’il en feroit 
Trois principales erreurs de la morale Chrétienne 
Sixième preuve de la vanité et fausseté de la religion chrétienne, tirée des abus, des véxations injustes et de la tyrannie des grands, qu’elle souffre et qu’elle autorise 
Premier abus touchant cette grande et énorme disproportion d’états et de condition des hommes, qui sont tous égaux par nature 
Origine de la noblesse 
Deuxième abus de souffrir et d’autoriser toutes sortes d’états et de conditions de gens fainéans, ou dont les emploïes et les occupations ne sont d’aucune utilité dans le monde, et dont même plusieurs ne servent qu’à fouler, qu’à piller, à ruiner et oprimer les autres 
XLVI. 
Autre abus de souffrir et autoriser tant d’ecclésiastiques et notamment tant de moines fainéans et inutiles 
XLVII. 
Abus de souffrir qu’ils possèdent tant de si grandes richesses, quoiqu’ils fassent des vœux de pauvreté 
XLVIII. 
Abus aussi de souffrir tant de moines mendians, qui pouvoient travailler dans la société et gagner honnêtement leur vie 
XLIX. 
Troisième abus en ce que les hommes s'apoprient chacun en leur particulier les biens de la terre, au lieu de les posséder et d’en jouïr en commun, d’où naissent une infinité de maux et de misères dans le monde 
L. 
Quatrième abus, les vaines et injurieuses distinctions des familles et des maux, qui en procèdent 
LI. 
Autre abus touchant l’indissolubilité des mariages et des maux, qui en viennent 
LII. 
Des grands biens, qui reviendroient aux hommes, s’ils vivoient paisiblement tous en jouissant en commun des biens et des commodités de la vie 
LIII. 
La communion des premiers Chrétiens anéantie parmi eux 
LIV. 
Sixième abus, du gouvernement tyrannique des Rois et des princes de la terre 
LV. 
Tyrannie des Rois de France, dont les peuples sont misérables et malheureux 
LVI. 
Origine des tailles et des impôts en France 
LVII. 
Ce que dit un auteur du Gouvernement tyrannique des Rois de France 
LVIII. 
Il n’est permis à aucun Roi de tyranniser les peuples, ni de mettre de leur autorité aucun impôt sur eux sans le consentement des états 
LIX. 
Ce que disent les flateurs des rois et des princes sur ce sujet 
LX. 
Septième preuve de la vanité et de la fausseté des religions, tirée de la fausseté même de l’opinion des hommes touchant la prétendue existence des Dieux 
LXI. 
La plupart des savans et des sages de l'antiquité ont nié ou révoqué en doute l’existence des Dieux 
LXII. 
D’où vient la première croïance et connoissance des Dieux 
LXIII. 
Les Déicoles ont été enfin oubligés de reconnoître la fausseté de la pluralité des Dieux. 
LXIV. 
Ils ne sont pas mieux fondés dans la croïance de l’existence d’un seul Dieu 
LXV. 
Ni la beauté, ni l’ordre, ni les perfections qui se trouvent dans les ouvrages de la nature ne prouvent nullement l’existence d’un Dieu, qui les auroient faites 
LXVI. 
Idée chimérique que les Déicoles se forment de leur Dieu 
LXVII. 
Il est inutile de recourir à l’existence d'un Dieu tout-puissant pour expliquer la nature et la formation des choses naturelles 
LXVIII. 
L’être ne peut avoir été créé 
LXIX. 
La possibilité ou l’impossibilité des choses ne dépendent point de la volonté ni de la puissance d’aucune cause 
LXX. 
Pareillement les premières et fondamentales vérités sont éternelles et ne dépendent d’aucun 
LXXI. 
La création est impossible, rien ne peut avoir été créé 
LXXII. 
Le tems ne peut avoir été créé, non plus que l’étendue, ni le lieu et l’espace et par conséquent point de créateur 
LXXIII. 
L’être ou la matière, qui ne sont qu’une même chose, ne peut avoir que de lui-même son mouvement 

Tome troisième.
LXXIII. 
Suite 
 1.
LXXIV. 
Il est ridicule et absurde de dire qu’un être qui seroit très-puissant et infiniment parfait, n’auroit néanmoins aucune perfection visible et sensible 
 20.
LXXV. 
La souveraine béatitude que nos Christicoles attendent dans le ciel, ne seroit, suivant ce qu’ils en disent, qu’une béatitude imaginaire. 
 37.
LXXVI. 
Les maux, les misères, les vices et les méchancetés des hommes font évidemment voir, qu’il n’y a point d’être souverain infiniment bon, infiniment sage qui puisse les empêcher 
 43.
LXXVII. 
S’il y avoit quelque Divinité qui voulut se faire aimer, se faire adorer et servir des hommes, elle ne manqueroit pas de se faire au moins suffisamment connoître à eux, et de leur faire suffisamment connoître ses volontés. 
 76.
LXXVIII. 
Il y a quantité de faux prophètes et de faux miracles 
 86.
LXXIX. 
Sous la conduite et direction d’un Dieu tout-puissant, qui seroit infiniment bon et infiniment sage, nulle créature ne seroit ni défectueuse, ni vicieuse, ni malheureuse