Livre:Compayré - J.-J. Rousseau et l’Éducation de la nature, 3e tirage.djvu
Titre | J.-J. Rousseau et l’Éducation de la nature |
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Auteur | Gabriel Compayré ![]() |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | s.d. (3e tirage) |
Bibliothèque | Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Pages
TABLE ET SOMMAIRE
{{table|titre= III. — Principes essentiels de l’Émile, et leurs conséquences. — Le dogme de l’innocence originelle. — Affirmations absolues. — Pessimisme à l’égard de la société : optimisme à regard de la nature. — Il s’agit de refaire l’homme naturel. — Par suite, éducation négative, jusqu’à douze ans. — Aucune discipline morale. — Aucun enseignement didactique. — Paradoxes sur paradoxes. — Ni châtiments, ni récompenses. — L’enfant soumis à la nécessité des lois de la nature. — Suppression de l’autorité des parents et des maîtres : erreur capitale de Rousseau. — Éducation inactive, expectante. — Isolement anormal d’Émile. — Scènes arrangées. — Artifices de composition. — Malgré ses contradictions, Rousseau est un apôtre de l’éducation domestique. — Éloge de la vie familiale. — Le devoir de l’allaitement maternel. — Obligations des pères. — Un autre paradoxe : éducation successive. — Scission factice de la vie de l’enfant et de l’adolescent en trois périodes. — Vues justes sur les caractères propres à chaque âge. — Faut-il traiter l’enfant en homme ? — Ajournement injustifié de l’éducation morale. — L’éducation religieuse retardée jusqu’à l’adolescence. — La Profession de foi du vicaire savoyard. — Ce que la Nature, si elle prenait la parole, pourrait justement reprocher à Rousseau|page= 23-50}} {{table|titre= IV. — Les vérités durables de l’Émile. — Éducation physique. — Prescriptions minutieuses sur l’hygiène de l’enfance. — Importance des exercices corporels au point de vue moral. Éducation en plein air. — Emile apprend un métier manuel : pourquoi ? — Éducation des sens. — Les choses, les choses ! — Exercice du jugement dans les intuitions sensibles. — Programme d’études utilitaires. — L’art d’agir. — Nécessité d’adapter l’éducation à la vie. — Ni littérature, ni histoire. — Sur ce dernier point, Rousseau s’est rétracté dans les Considérations sur le gouvernement de Pologne. — Les langues anciennes, une inutilité. — Étude de la nature. — Astronomie, physique. — La géographie sans cartes. — Emile à quinze ans : plutôt « instruisable » qu’instruit. — Éducation de la volonté. — Émile élevé dans la liberté. — Rendre l'enfant heureux. — Émile sait pourtant souffrir. — Initiation aux sentiments sociaux. — Émile philanthrope. — Rousseau n'a pas écrit directement pour le peuple, mais il a pourtant préparé l’instruction populaire. — Qu’il a voulu élever « l’homme en soi ». — Insouciance à l’égard des éducations professionnelles. — Que l’esprit pratique se réveille parfois chez Rousseau. — Voyages d’études à l’étranger. — Emile apprend sur place deux ou trois langues vivantes|page= 51-74}} {{table|titre= V. — Éducation de Sophie, la femme idéale. — Le traité tourne au roman. — Sophie n’est pourtant pas tout à fait un être imaginaire : elle a existé. — Erreurs de Rousseau dans ses vues sur l’éducation des femmes. — L’éducation de Sophie est le contrepied de celle d’Émile. — Subordination de la femme à l’homme. — Rousseau n’admet pas l’égalité des sexes. — Psychologie incomplète. — Les défauts de la femme. — Ses qualités. — La femme doit rester femme. — Rousseau n’est point féministe. — Instruction bornée de Sophie. — « Enseignement ménager. » — Les travaux à l’aiguille. — La jeune fille doit fréquenter le monde. — On lui enseigne la religion de bonne heure. — La femme doit penser, pour remplir ses devoirs d’épouse et de mère. — Sa personnalité un peu oubliée. — L’autorité qu’elle exerce est fondée sur ses grâces naturelles. — Sophie est déjà en partie la femme moderne, aimable et bonne, faite non pour l’Église et le couvent, mais pour la vie de famille|page= 75-90}}
- 0"J8--08, — CoHBEiL. Imprimerie Ed. Chété.