TABLE DES MATIÈRES
DU TOME PREMIER
Pages.
notions de géométrie
CHAPITRE IV. — Rapport de la circonférence du cercle au diamètre
CHAPITRE VI. — Des avantages attachés à l’emploi de cercles de grande dimension
CHAPITRE VII. — Notions et définitions concernant les angles rectilignes
CHAPITRE VIII. — Théorème sur les angles formés autour d’un point. CHAPITRE IX. — Notions relatives aux lignes parallèles et aux angles formés par de telles lignes lorsqu’elles sont coupées par une sécante. — Somme des angles d’un triangle. — Proposition du carré de l’hypoténuse. — Angles de deux plans
notions de mécanique et d’horlogerie
CHAPITRE VI. — De la mesure du temps durant la nuit chez les anciens
notions d’optique
CHAPITRE V. — Marche de la lumière à travers les prismes
CHAPITRE XVI. — Pourquoi les lunettes d’un faible pouvoir amplificatif semblent-elles ne pas grossir du tout ?
CHAPITRE XX. — Un objet lumineux ayant un diamètre sensible, conserve le même éclat à toutes distances
notions historiques sur les instruments astronomiques
CHAPITRE III. — Les anciens connaissaient les propriétés échauffantes des foyers des loupes
CHAPITRE IV. — Les anciens ont-ils connu les effets grossissants des verres courbes ?
CHAPITRE V. — À quelle date remonte l’invention des besicles ou petites lentilles très-peu courbes destinées à perfectionner la vue des myopes ou des presbytes ?
CHAPITRE VI. — Les anciens connaissaient-ils les lunettes ?
de la visibilité des astres
CHAPITRE II. — Un des effets des lunettes sur la visibilité des étoiles,
CHAPITRE III. — De la sensibilité de l’œil pour la vision des étoiles
CHAPITRE IV. — Quelle est la lumière qui en fait disparaître une autre ?
CHAPITRE V. — Des objets d’une certaine étendue conservent le même éclat, les bords exceptés, soit qu’on les aperçoive à l’aide de la vision confuse ou de la vision distincte
CHAPITRE VI. — Des intensités des images des astres dans les lunettes
CHAPITRE VII. — Phénomènes de visibilité des astres observés la nuit ou en plein jour, à l’œil nu ou à l’aide des lunettes
CHAPITRE IX. — De la visibilité des étoiles en plein jour
du mouvement diurne
CHAPITRE PREMIER. — Définition de l’horizon. — Mouvement diurne. — Ce mouvement s’exécute tout d’une pièce et comme si les étoiles étaient attachées à une sphère solide.
CHAPITRE II. — Formation d’un globe céleste ou d’une représentation exacte du firmament. — Dénomination de fixes donnée aux étoiles par suite de la comparaison des sphères modernes avec celles d’Hipparque. — Premières conséquences auxquelles cette comparaison conduit relativement aux immenses distances des étoiles à la terre
CHAPITRE III. — Mouvement diurne observé avec un théodolite. — Définition du méridien ; divers moyens de le déterminer. — Axe du monde. — Nature des courbes décrites par les étoiles. — Parallèles célestes. — Équateur du monde.
CHAPITRE IV. — Les étoiles parcourent les parallèles d’un mouvement uniforme
CHAPITRE V. — Du mouvement des étoiles considéré comme un moyen de déterminer exactement la position du méridien.
CHAPITRE VI. — Détermination de la position de l’axe du monde. — De la latitude. — De la hauteur du pôle
CHAPITRE VII. — Opinions des anciens sur le mouvement diurne. — Idées des Épicuriens
notions sur le mouvement apparent du soleil
CHAPITRE IV. — Détermination de la position de la courbe le long de laquelle s’effectue le mouvement propre annuel du Soleil. — Solstices, équinoxes, longueur de l’année, ou jours sidéraux. — Cercle mural. — Lunette méridienne
CHAPITRE V. — Diverses unités de temps. — Du jour et des heures
CHAPITRE VIII. — Détermination de la loi suivant laquelle les vitesses du Soleil varient, et de la nature de la courbe qu’il parcourt
CHAPITRE X. — De l’influence qu’exercent les déclinaisons du Soleil sur la durée des jours dans toutes les régions de la Terre
CHAPITRE XI. — Explication des inégalités des jours solaires
CHAPITRE XIV. — À partir de quelle époque les horloges de Paris ont-elles été réglées sur le temps moyen ?
des constellations
CHAPITRE III. — Principaux catalogues d’étoiles et atlas célestes
CHAPITRE IV. — Remarques sur l’utilité des constellations et sur les réformes qui ont été proposées à ce sujet
CHAPITRE VII. — Des constellations zodiacales et des signes du zodiaque
CHAPITRE VIII. — Nombres d’étoiles contenues dans les constellations anciennes et leur partage en diverses grandeurs
CHAPITRE IX. — Sur les moyens de connaître les constellations des anciens
CHAPITRE X. — À quelle époque les constellations furent-elles créées ?
CHAPITRE XI. — Des tentatives qui ont été faites pour substituer de nouvelles constellations à celles de la sphère grecque
des étoiles simples
CHAPITRE II. — Le nombre des étoiles visibles à l’œil nu est beaucoup plus petit qu’on ne paraît disposé à le supposer.
CHAPITRE III. — Détermination du nombre des étoiles de chaque grandeur visibles avec nos instruments actuels
CHAPITRE IV. — Intensités comparatives des étoiles de différentes grandeurs
CHAPITRE V. — Quelle est la distance probable des dernières étoiles visibles à l’œil nu ou avec les plus puissants télescopes ?
CHAPITRE X. — Étoiles perdues ou dont la lumière s’est complétement éteinte
CHAPITRE XI. — Il y a des étoiles dont l’intensité va en augmentant
CHAPITRE XII. — Distribution hypothétique des étoiles dans le firmament
CHAPITRE XIII. — Le nombre des étoiles est-il infini, la lumière s’affaiblit-elle par l’interposition de certain milieu élastique comparable à l’éther qui serait compris entre les étoiles et la Terre ?
CHAPITRE XIV. — De la transparence imparfaite des espaces célestes
CHAPITRE XVI. — À qui revient l’honneur d’avoir signalé le premier les étoiles périodiques ?
CHAPITRE XXIII. — Explication des changements d’intensité dans les étoiles variables
CHAPITRE XXIV. — Importance de l’observation des étoiles changeantes
CHAPITRE XXV. — Les rayons de différentes couleurs se meuvent dans les espaces célestes avec la même vitesse
CHAPITRE XXXI. — Des diverses explications données des étoiles nouvelles
CHAPITRE XXXII. — Parallaxe annuelle des étoiles ou moyen de déterminer la distance de ces astres à la Terre
CHAPITRE XXXIII.—Historique des recherches des astronomes sur les parallaxes annuelles des étoiles
CHAPITRE XXXIV. — Les étoiles brillent-elles d’une lumière propre, d’une lumière née dans leur propre substance
des étoiles multiples
CHAPITRE PREMIER. — Qu’entend-on par étoiles doubles, triples, quadruples, etc. ?
CHAPITRE VI. — Intensités et couleurs des étoiles doubles
CHAPITRE VII. — Les colorations des étoiles doubles sont-elles des illusions d’optique
CHAPITRE IX. — Sur les explications de la coloration des étoiles multiples
CHAPITRE X. — Les couleurs comparatives observées dans les étoiles multiples sont-elles toujours les mêmes ?
CHAPITRE XI. — Pourquoi les étoiles multiples sont-elles devenues tout à coup l’objet de tant d’observations assidues ?
CHAPITRE XII. — Mesure du déplacement relatif des étoiles doubles
CHAPITRE XIII. — Conséquences qui résultent de la nature des mouvements observés dans les étoiles doubles, relativement à l’universalité de l’attraction newtonienne
CHAPITRE XIV. — Quand on aura déterminé les distances des étoiles doubles à la Terre, les masses de celles de ces étoiles dont les mouvements relatifs seront connus, pourront être facilement comparées à la masse de la Terre ou à celle du Soleil
CHAPITRE XV. — Les observations des étoiles doubles proprement dites pourront servir un jour, soit à déterminer les distances de ces groupes binaires à la Terre, soit à fixer une limite en deçà ou au delà de laquelle ils ne sauraient être placés
CHAPITRE XVI. — Les étoiles doubles sont devenues un moyen de juger de la bonté des lunettes et des télescopes de grandes dimensions
CHAPITRE XVII. — Du rôle que le calcul des probabilités a joué dans la question des étoiles multiples
CHAPITRE XVIII. — Des auteurs de la découverte des satellites d’étoiles
nébuleuses
CHAPITRE IV. — Aperçu historique sur la découverte des nébuleuses
CHAPITRE VII. — Du nombre des étoiles contenues dans certaines nébuleuses globulaires
CHAPITRE VIII. — Nébuleuses perforées et nébuleuses en spirales ou en anneau
CHAPITRE IX. — Les nébuleuses ne sont pas uniformément répandues dans toutes les régions du ciel
CHAPITRE X. — Des nébuleuses considérées dans leurs rapports avec les espaces environnants
CHAPITRE XI. — Les espaces les plus pauvres en étoiles sont voisins des nébuleuses les plus riches
CHAPITRE XII. — La matière diffuse occupe dans le ciel des espaces très-étendus
CHAPITRE XIII. — Les grandes taches lumineuses n’ont point de forme régulière
CHAPITRE XV. — Distribution de la matière phosphorescente dans les vraies nébuleuses. — Modifications que l’attraction y apporte avec le temps
CHAPITRE XVI. — Détails historiques sur la transformation des nébuleuses en étoiles. — Examen des difficultés que ces idées de transformation ont soulevées
CHAPITRE XVII. — De la condensation que la matière diffuse doit éprouver pour se transformer en étoiles
CHAPITRE XVIII. — Intensités comparatives de la lumière totale d’une nébuleuse et de la lumière condensée d’une étoile
CHAPITRE XIX. — Changements observés dans certaines nébuleuses
CHAPITRE XX. — Nébuleuses planétaires. — Est-il vrai que pour expliquer l’éclat uniforme de leurs disques, il faille indispensablement supposer que la matière diffuse est opaque, dès qu’elle est arrivée à un certain degré de concentration ?
CHAPITRE XXIII. — Matière diffuse cosmique, non lumineuse par elle-même et imparfaitement diaphane