Livre:Arago - Œuvres complètes de François Arago, secrétaire perpétuel de l’académie des sciences, tome 4.djvu
| Titre | Œuvres complètes de François Arago, secrétaire perpétuel de l’académie des sciences |
|---|---|
| Volume | 4 |
| Auteur | François Arago  |
| Année d’édition | 1854 |
| Bibliothèque | Bibliothèque nationale de France |
| Fac-similés | djvu |
| Avancement | À corriger |
| Série | • Œuvres complètes : Notices biographiques : 1 - 2 - 3 • Notices scientifiques : 4 - 5 - 6 - 7 - 8 • Rapports sur les voyages scientifiques : 9 • Mémoires scientifiques : 10 - 11 • Mélanges : 12 • Tables : 13 • Astronomie populaire : 1 - 2 - 3 - 4 |
Pages
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TABLE
DU TOME QUATRIÈME.
TOME PREMIER DES NOTICES SCIENTIFIQUES
LE TONNERRE
Pages.
CHAPITRE PREMIER. — Définitions
CHAPITRE II. — Caractères extérieurs des nuages orageux
CHAPITRE III. — Foudre des nuages volcaniques. — La foudre s’élabore et se manifeste quelquefois dans des nuages dont la nature semble toute différente de celle des nuages atmosphériques ordinaires
CHAPITRE IV. — De la hauteur des nuages orageux
CHAPITRE V. — Des différentes espèces d’éclairs
- § 1er. Éclairs en zigzag ou de la première classe
- § 2. Éclairs de la seconde classe
- § 3. Éclairs de la troisième classe
CHAPITRE VI. — Anciens exemples d’éclairs de la troisième classe ou globes de feu
CHAPITRE VII. — Éclairs en boule
CHAPITRE VIII. — Les éclairs s’échappent quelquefois des nuages par leur surface supérieure et se propagent dans l’atmosphère de bas en haut
CHAPITRE IX. — Quelle est la durée d’un éclair de la première ou de la seconde classe ?
CHAPITRE X. — Des nuages orageux sont-ils jamais lumineux d’une manière continue ?
CHAPITRE XI. — Du tonnerre proprement dit, ou du bruit que fait entendre la foudre quand elle s’échappe des nuages
CHAPITRE XII. — Fait-il des éclairs sans tonnerre, par un ciel parfaitement serein ?
CHAPITRE XIII. — Y a-t-il jamais des tonnerres sans éclairs ?
CHAPITRE XIV. — Y a-t-il jamais, par un temps couvert, des éclairs sans tonnerre ?
CHAPITRE XV. — Tonne-t-il jamais par un temps parfaitement serein ?
CHAPITRE XVI. — La foudre développe par son action, dans les lieux où elle éclate, souvent de la fumée, presque toujours une forte odeur qui a été comparée à celle du soufre enflammé
CHAPITRE XVII. — Des modifications chimiques que la foudre fait subir à l’air atmosphérique
CHAPITRE XVIII. — La foudre opère souvent la fusion des pièces de métal qu’elle va frapper
CHAPITRE XIX. — La foudre raccourcit les fils de métal à travers lesquels elle passe, lorsque sa puissance n’est pas assez grande pour en déterminer la fusion
CHAPITRE XX. — La foudre met quelquefois en fusion certaines substances terreuses et les vitrifie instantanément
CHAPITRE XXI. — Tubes de foudre ou fulgurites
CHAPITRE XXII. — La foudre perce quelquefois de plusieurs trous les corps qu’elle frappe
CHAPITRE XXIII. — Phénomènes de transport produits par la foudre
CHAPITRE XXIV. — Action magnétique de la foudre. — La foudre, quand elle passe près d’une aiguille de boussole, en altère le magnétisme, le détruit entièrement, ou renverse les pôles. — Dans les mêmes circonstances, elle peut communiquer une aimantation plus ou moins forte des barres d’acier qui, auparavant, n’en offraient aucune trace
CHAPITRE XXV. — Aimantation par la foudre
CHAPITRE XXVI. — La foudre, dans sa marche rapide, obéit à des actions dépendantes des corps terrestres près desquels elle éclate
CHAPITRE XXVII. — Lorsque l’atmosphère est orageuse, il y a, simultanément, dans les entrailles de la terre, à la surface ou au sein des eaux, de grandes perturbations
CHAPITRE XXVIII. — L’état exceptionnel dans lequel les orages
atmosphériques placent la partie solide du globe, se manifeste quelquefois par des détonations foudroyantes qui, sans aucune apparence lumineuse, produisent cependant les mêmes effets que la foudre proprement dite
CHAPITRE XXIX. — L’état particulier qu’un orage atmosphérique communique au globe par son influence, se manifeste quelquefois par de brillants, par de larges phénomènes de lumière dont la terre est d’abord le siège, et qui disparaissent à la suite d’une explosion, soit dans le lieu même où ils sont nés, soit après un déplacement plus ou moins étendu et plus ou moins rapide
CHAPITRE XXX. — Feux saint-elme. Il se montre souvent, en temps d’orage, des lumières vives et légèrement sifflantes, aux parties les plus saillantes des corps terrestre
CHAPITRE XXXI. — Pendant de grands orages, les gouttes de pluie, les flocons de neige, les grêlons, produisent de la lumière en arrivant à terre, ou même en s’entre-choquant
CHAPITRE XXXII. — Géographie des orages. — Y a-t-il des lieux où il ne tonne jamais ?
Quels sont les lieux où il tonne le plus ?
Tonne-t-il aujourd’hui aussi souvent que dans les siècles passés ?
Des circonstances locales influent-elles sur la fréquence de
ce phénomène ?
ce phénomène ?
Tonne-t-il tout autant en pleine mer qu’au milieu des continents ?
Lettre de M. le capitaine Duperrey
Quelle est, de nos jours, quant à la fréquence, la distribution
géographique des orages ?
géographique des orages ?
CHAPITRE XXXIII. — Quelle est, dans nos climats, la quantité de victimes que la foudre fait annuellement ?
CHAPITRE XXXIV. — Dans quelle saison les coups de tonnerre foudroyants sont-ils le plus fréquents ?
CHAPITRE XXXV. — La foudre frappe principalement les lieux élevés
CHAPITRE XXXVI. — La foudre se porte de préférence sur les métaux, lorsqu’il en existe, à découvert ou cachés, soit dans le voisinage des lieux vers lesquels elle tombe directement, soit près de ceux où sa course serpentante l’amène ensuite. — La foudre ne produit de dégâts notables qu’à
son entrée dans les masses métalliques, ou au moment où
elle en sort
elle en sort
CHAPITRE XXXVII. — Explications, remarques et rapprochements
concernant les observations précédentes
concernant les observations précédentes
§ 1. Éclairs
§ 2. Du tonnerre ordinaire, de l’intervalle qui le sépare de l’éclair, de son
roulement, de ses éclats, des plus grandes distances auxquelles on
l’entende, du tonnerre des jours sereins, de la longueur des éclairs
roulement, de ses éclats, des plus grandes distances auxquelles on
l’entende, du tonnerre des jours sereins, de la longueur des éclairs
§ 3. Longueur des éclairs
§ 4. Odeur développée par les coups de foudre
§ 5. La foudre opère des fusions, des vitrifications instantanées ; elle
raccourcit les fils métalliques le long desquels sa transmission
s’effectue ; elle perce de plusieurs trous les corps qui se trouvent sur
son passage, etc., etc
raccourcit les fils métalliques le long desquels sa transmission
s’effectue ; elle perce de plusieurs trous les corps qui se trouvent sur
son passage, etc., etc
§ 6. Des transports de matière opérés par la foudre
CHAPITRE XXXVIII. — Des dangers que fait courir la foudre
§ 1. Les dangers que fait courir la foudre sont-ils assez grands pour qu’on
s’en occupe ?
s’en occupe ?
§ 2. Destruction des édifices et des navires
CHAPITRE XXXIX. — Des moyens de se garantir de la foudre
§ 1. Des moyens que les hommes ont cru propres à les mettre
personnellement à l’abri de la foudre
personnellement à l’abri de la foudre
§ 2. Lorsque la foudre tombe sur des hommes ou des animaux placés
les uns à la suite des autres, soit en ligne droite, soit le long d’une
courbe non fermée, c’est aux deux extrémités de la file que ses
effets sont généralement les plus intenses, les plus fâcheux
les uns à la suite des autres, soit en ligne droite, soit le long d’une
courbe non fermée, c’est aux deux extrémités de la file que ses
effets sont généralement les plus intenses, les plus fâcheux
§ 3. Des préceptes à l’usage des personnes qui craignent la foudre
§ 4. S’expose-t-on à être foudroyé quand on court pendant
des temps orageux ?
des temps orageux ?
§ 5. Les nuages d’où les éclairs et la foudre s’échappent incessamment,
sont-ils constitués, comme les physiciens le supposent, de telle sorte
qu’il y ait du danger à les traverser ?
sont-ils constitués, comme les physiciens le supposent, de telle sorte
qu’il y ait du danger à les traverser ?
§ 6. Est-on frappé de la foudre avant de voir l’éclair ?
CHAPITRE XL. — Des dangers que causent les fils des télégraphes
électriques
électriques
CHAPITRE XLI. — Des moyens à l’aide desquels on a prétendu mettre les édifices à l’abri des atteintes de la foudre
§ 1. Des anciens moyens de préservation des édifices
§ 2. Est-il vrai que des arbres qui dominent une maison à de
petites distances, la mettent complétement à l’abri des atteintes de la foudre, ainsi que le prétendent beaucoup de physiciens ?
petites distances, la mettent complétement à l’abri des atteintes de la foudre, ainsi que le prétendent beaucoup de physiciens ?
CHAPITRE XLII. — Des moyens à l’aide desquels on a prétendu préserver de la foudre des villes entières, et même de grandes étendues de pays
§ 1. Procédé des anciens
§ 2. Effet des grands feux allumés en plein air
§ 3. Du bruit du canon considéré comme moyen de dissiper les orages
CHAPITRE XLIII. — Est-il utile ou dangereux de sonner les cloches en temps d’orage ?
CHAPITRE XLIV. — Des paratonnerres modernes
CHAPITRE XLV. — Des paragrêles
CHAPITRE XLVI. — De la sphère d’action des paratonnerres
CHAPITRE LXVII. — Les paratonnerres implantés horizontalement ou dans des directions très-inclinées sur l’entablement des édifices, sont-ils utiles ?
CHAPITRE XLVIII. — De la meilleure forme et des meilleures dispositions à donner aux diverses parties dont un paratonnerre se compose
§ 1. De la pointe
§ 2. Du conducteur
CHAPITRE XLIX. — Des organes qui sont le plus ordinairement affectés dans les morts ou les blessures occasionnées par des coups de foudre
CHAPITRE L. — La foudre brûle ordinairement le poil sur toutes les parties du corps de l’individu qu’elle frappe
CHAPITRE LI. — Les coups de foudre très-intenses tuent les hommes, les animaux, les végétaux ; les coups de foudre d’intensité médiocre ont souvent la propriété de débarrasser les hommes et les animaux de maladies dont ils souffraient antérieurement, et même de hâter la croissance des végétaux
CHAPITRE LII. — Est-il prouvé, en fait, que des paratonnerres
aient préservé des ravages de la foudre des bâtiments sur lesquels on les avait établis
CHAPITRE LIII. — Les paratonnerres à tiges élancées et pointues attirent-ils la foudre ?
CHAPITRE LIV. — Des moyens de prévenir les coups foudroyants qui pourraient frapper les monuments élevés, tels que la colonne de la place Vendôme et l’obélisque de Louqsor
CHAPITRE LV. — Phénomènes produits par l’électricité artificielle ; de leur ressemblance avec les phénomènes engendrés par la matière de la foudre
CHAPITRE LVI. — Du rôle de la foudre dans la nature
CHAPITRE LVII. — Sur la théorie de la foudre
§ 1. Des lieux où il ne tonne jamais
§ 2. Électricité près des cascades
§ 3. Explications des transports occasionnés par la foudre
ÉLECTRO-MAGNÉTISME
I. — Des recherches faites en France avec la pile
II. — Aimantation du fer et de l’acier par l’action du courant voltaïque
III. — Aimantation d’une aiguille au moyen du passage du courant électrique en hélice
IV. — Points conséquents produits dans l’aimantation des fils d’acier par des courants en hélice
V. — Principe des télégraphes électriques
VI. — Projet d’expérience sur le magnétisme par rotation
VII. — Aimantation par l’action de l’électricité ordinaire
VIII. — Du magnétisme de rotation
ÉLECTRICITÉ ANIMALE
I. — Sur l’étincelle tirée de la torpille et du gymnote
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II. — Sur une prétendue jeune fille électrique
III. — Phénomène des tables tournantes
MAGNÉTISME TERRESTRE
CHAPITRE PREMIER. — Avertissement relatif à mes observations personnelles
CHAPITRE II. — Variations dans les éléments du magnétisme terrestre
CHAPITRE III. — Déviation locale de la boussole
CHAPITRE IV. — Moyens de perfectionner les observations de la boussole à la mer
CHAPITRE V. — De la déclinaison
CHAPITRE VI. — Du mouvement de la déclinaison en un lieu déterminé avec le temps
CHAPITRE VII. — Variation de la déclinaison à la surface de la terre
CHAPITRE VIII. — Variations annuelles de l’aiguille de déclinaison
CHAPITRE IX. — Variations diurnes de l’aiguille de déclinaison
CHAPITRE X. — Observations de M. Arago sur les variations diurnes de la déclinaison à Paris, de 1818 à 1885
CHAPITRE XI. — De l’inclinaison
CHAPITRE XII. — Variations annuelles de l’inclinaison
CHAPITRE XIII. — Variation de l’inclinaison magnétique avec les lieux
CHAPITRE XIV. — Mouvement de translation de l’équateur magnétique
CHAPITRE XV. — De l’intensité magnétique
CHAPITRE XVI. — Sur un moyen de mesurer les variations du magnétisme terrestre en chaque point du globe
CHAPITRE XVII. — Des variations d’intensité magnétique avec la hauteur
CHAPITRE XVIII. — Des relations de l’inclinaison et de l’intensité magnétiques
CHAPITRE XIX. — Variation de l’inclinaison magnétique à Paris
CHAPITRE XX. — Sur l’intensité du magnétisme terrestre pendant les éclipses de soleil
CHAPITRE XXI. — Variations de l’inclinaison et de l’intensité magnétique d’un lieu à un autre
CHAPITRE XXII. — Variations diurnes de l’inclinaison magnétique
AURORES BORÉALES
CHAPITRE PREMIER. — Définition des aurores boréales
CHAPITRE II. — Les aurores boréales étaient connues des anciens
CHAPITRE III. — Des aurores boréales observées dans le nord
CHAPITRE IV. — Aurores boréales observées de divers lieux
CHAPITRE V. — Sur la détermination de la hauteur de l’arc des aurores boréales
CHAPITRE VI. — Du bruit des aurores boréales
CHAPITRE VII. — Heures des aurores boréales
CHAPITRE VIII. — Causes des aurores boréales
CHAPITRE IX. — Sur les aurores boréales qui se montrent en plein jour
CHAPITRE X. — Des influences magnétiques exercées sur l’aiguille aimantée
CHAPITRE XI. — Action exercée par les tremblements de terre sur l’aiguille aimantée
CHAPITRE XII. — Aurores australes
CHAPITRE XIII. — Sur une disposition des nuages qui reproduit celle qu’affectent les rayons lumineux des aurores boréales
CHAPITRE XIV. — Incertitude de la polarisation de la lumière des aurores boréales
CHAPITRE XV. — De l’utilité des catalogues d’aurores boréales
CHAPITRE XVI. — Catalogue d’aurores boréales de 1818 à 1848
§ 1. — Année 1818
§ 2. — Année 1819
§ 3. — Année 1820
§ 4. — Année 1821
§ 5. — Années 1822 et 1823
§ 6. — Année 1824.
§ 7. — Année 1825.
§ 8. — Année 1826.
§ 9. — Année 1827.
§ 10. — Année 1828.
§ 11. — Année 1829.
§ 12. — Année 1830.
§ 13. — Année 1831.
§ 14. — Années 1832 à 1848
CHAPITRE XVII. — Conclusion.
fin de la table du tome quatrième
tome premier des notices scientifiques.
tome premier des notices scientifiques.