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TitreVoyages imaginaires, songes, visions et romans cabalistiques, tome 36
Sous-titreL'Histoire de M. Oufle suivie de Description du Sabbat.
Volume36
AuteurL'abbé Bordelon , Anonyme
Maison d’éditionCharles-Georges-Thomas Garnier
Lieu d’éditionAmsterdam
Année d’édition1789
BibliothèqueGoogle
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Pages

CE VOLUME CONTIENT :
L’Hiſtoire de M. Oufle, par l’abbé Bordelon ;
Suivie de la Description du Sabbat.


TABLE
DES OUVRAGES
CONTENUS DANS CE VOLUME.
HISTOIRE DE M. OUFLE.

Avertissement de l’Éditeur des Voyages Imaginaires000000
Préface de l’Auteur (l’abbé Bordelon),
Chapitre premier. Caractères de M. Oufle & des perſonnes de ſa famile, dont il eſt parlé dans cette hiſtoire,
Chap. II. Où l’on voit combien M. Oufle était perſuadé qu’il y avoit des loups-garoux, & ce qui l’avoit engagé à le croire,
Chap. III. Comment M. Oufle crut être loup-garou, & ce que ſon imagination lui fit faire,
Chap. IV. Suite des aventures de M. Oufle, loup-garou,
Chap. V. Fin des aventures de M. Oufle, loup-garou,
Chap. VI. M. Oufle inquiet ſur la Conduite de ſa femme, met en uſage quelques ſupertlitieuſes pratiques pour connoître ſi elle lui eſt fidelle,
Chap. VII. Suite des pratiques ſuperſtitieuſes que M. Oufle mit en uſage pour connoître ſi ſa femme lui étoit fidelle,000
Chap. VIII. Du divorce qui ſe fit entre M. Oufle & ſa femme, & des moyens fuperftitieux dont ſe ſervit l’abbé Doudou leur fils, pour tâcher de rétablir la paix entr’eux,
Chap. IX. Comment M. Oufle devint amoureux, & ce qu’il fit pour ſe faire aimer,
Chap. X. D’une nouvelle maîtreſſe que ſe fit M. Oufle ; des ſuperſtitions dont il ſe ſervit pour en être aimé, & quel en fut le ſuccès,
Chap. XI. Où l’on montre, par un très-grand détail, combien M. Oufle étoit diſpoſé à croire tout ce qu’on lui diſoit ou tout ce qu’il liſoit des fantômes, ſpectres, revenans & autres apparitions.
Chap. XII. Suite du diſcours ou de la tirade de M. Oufle ſur les apparitions.
Chap. XIII. Diſcours que fit Noncrède ſur les apparitions, après celui de M. Oufle.
Chap. XIV. Suite du diſcours de Noncrède ſur les apparitions.
Chap. XV. Où l’on parle des eſprits faibles, ignorans, trop crédules, eſclaves de la prévention, & où l’on montre combien il eſt facile de les tromper.
Chap. XVI. Adreſſe, intrigues & fourberies de Rumine & de Mornand, pour ſe divertir & pour profiter de la facilité de M. Oufle à croire tout ce qu’on lui dit des ſpectres, fantômes, revenans, & généralement de toutes les ſortes d’apparitions.
Chap. XVII. Où l’on apprend ce que fit M. Oufle pour ſe délivrer des prétendus ſpectres, fantômes & revenans qui le tourmentoient,
Chap. XVIII. Stratagème dont on ſe ſervit pour diſſuader M. Oufle de ce qu’il croyoit ſur la puiſſance que les aſtrologues attribuent aux aſtres,
Chap. XIX. Quel fut le ſuccès de la lecture que fit M. Oufle de l’écrit de ſon génie,
Chap. XX. Ou l’on rapporte ce que M. Oufle s’étoit imaginé touchant les diables ; la puiſſance qu’il leur attribuoit ; la crainte qu’il en avoit, & les raiſons qui l’engageaient à avoir cette crainte,
Chap. XXI. Suite du diſcours de M. Oufie à l’abbé Doudou, ſon fils, ſur les diables.
Chap. XXII. Extravagantes imaginations de M. Oufle, qui ſe perſuadoit que les diables le ſuivoient partout & qu’ils lui apparoiſſoient ſous des figures de chiens, de pourceaux, de mouches & de papillons.
Chap. XXIII. Ce que fit M. Oufle pour ſe délivrer & ſe garantir des prétendues apparitions des diables, qui lui cauſoient des troubles & lui donnaient des inquiétudes continuelles, par la crainte où il étoit d’en recevoir quelque dommage,
Chap. XXIV. Sanſugue extrêmement avide d’acquérir de grandes richeſſes, s’informe après avoir lu le diſcours de M. Oufle ſur les diables, des moyens ſuperſtitieux qui promettent de faire devenir riche & les met en pratique,000
Chap. XXV. Où l’on voit avec quelle facilité M. Oufle ſoupçonnoit ceux qui l’approchoient d’être ſorciers ; les frayeurs que lui donnoient ces ſoupçons ; les extravagances que ces frayeurs lui firent faire, & pluſieurs réflexions fort curieuſes ſur cette matière,000
Chap. XXVI. Chagrins que cauſa à la femme & aux enfans de M, Oufle, une aventure très-honteuſe qui lui étoit arrivée, ſur ce qu’il s’aviſa de s’imaginer qu’une femme avoit enſorcelé un de ſes chevaux ; les précautions qu’il prit pour faire ôter ce prétendu ſort, & pour s’en préſerver lui-même,

Description du Sabbat,
Fin de la Table.