Livre:Alain - Propos, tome 1, 1920.djvu

TitreLes propos d’Alain
Volume1
AuteurAlain Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionNouvelle Revue Française
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1920
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AvancementÀ valider
Série 1  2 

Pages

TABLE DES MATIÈRES


Pages
I. — 
Je rencontrai le vieux sage 
 13
II. — 
Si le soir en rentrant chez vous 
 14
III. — 
Notre époque, dans l’histoire des idées, sera celle des psychologues 
 15
IV. — 
Ce matin j’ai vu un chien qui hurlait 
 17
V. — 
La fonction pensée consiste toujours à surmonter quelque chose 
 18
VI. — 
Penser n’est pas croître 
 19
VII. — 
La liberté intellectuelle ou sagesse c’est le doute 
 20
VIII. — 
Comme on demande toujours à l’illustre Newton 
 22
IX. — 
On estime communément celui qui reste fidèle à ses opinions 
 23
X. — 
Un grand ami à moi exprime souvent une idée assez forte 
 24
XI. — 
Il y a une odeur de réfectoire 
 26
XII. — 
Quelqu’un me disait hier 
 27
XIII. — 
On dit assez en ce temps 
 28
XIV. — 
Quelquefois un homme naïf 
 29
XV. — 
Cette fin d’hiver, c’est la fête de la lumière 
 30
XVI. — 
Je suis tombé hier sur un mot de Shakespeare 
 32
XVII. — 
On ne pense point comme on veut 
 33
XVIII. — 
Voici pour le temps de pluie 
 34
XIX. — 
Hier, quelqu’un disait 
 35
XX. — 
Chacun aura à raconter 
 37
XXI. — 
Quand j’eus terminé mes études 
 38
XXII. — 
Le monde est plein de neurasthéniques 
 40
XXIII. — 
Michelet, assis au rivage 
 41
XXIV. — 
Une naïve jeune fille 
 42
XXV. — 
Une cheminée est ébranlée par le vent 
 43
XXVI. — 
Il y a une dizaine de siècles 
 44
XXVII. — 
Les plus récentes recherches sur l’antisepsie 
 45
XXVIII. — 
Voici une page d’histoire que j’invente 
 47
XXIX. — 
Hier soir, la grande ourse 
 48
XXX. — 
Chacun a pu voir ces jours-ci 
 49
XXXI. — 
Sur la plage et comme la mer se retirait 
 51
XXXII. — 
Rien ne se perd, rien ne se crée 
 52
XXXIII. — 
Tout s’écroule, dit l’un, tout périra 
 54
XXXIV. — 
Quelques minutes après les premières rafales 
 55
XXXV. — 
Comme une fleurette bleue 
 56
XXXVI. — 
Comme je lisais de merveilleux récits 
 58
XXXVII. — 
Lorsque le ver à soie 
 59
XXXVIII. — 
Les barques pontées 
 60
XXXIX. — 
On sait que les vignes de Bourgogne 
 61
XL. — 
Comme je relisais Darwin 
 63
XLI. — 
J’admire les naïfs prophètes 
 64
XLII. — 
Ce bateau qui se penche au souffle des vents 
 65
XLIII. — 
Imaginez un bai brun dans toute sa force 
 66
XLIV. — 
Si quelqu’accident vous enlève un peu de peau et de chair 
 68
XLV. — 
Il n’est pas inutile de réfléchir sur les Folies Circulaires 
 69
XLVI. — 
On ne comprend pas bien la force des passions 
 71
XLVII. — 
Un homme de six pieds 
 72
XLVIII. — 
Chacun connaît la force d’âme des Stoiciens 
 73
XLIX. — 
Les feuilles poussent, bientôt la galéruque 
 74
L. — 
Quelquefois on rencontre sur la route 
 76
LI. — 
Le bonheur et le malheur sont impossibles à imaginer 
 77
LII. — 
Dès qu’un homme cherche le bonheur 
 78
LIII. — 
Un préfet de police 
 79
LIV. — 
Vous voulez savoir, me dit Jim 
 81
LV. — 
J’observais hier un joli piège 
 82
LVI. — 
Il y a pourtant assez de mots réels 
 83
LVII. — 
Je suis forcé de la constater 
 84
LVIII. — 
Il y a une politesse de courtisans 
 86
LIX. — 
En reprochant à l’amour de devenir souvent aveugle 
 87
LX. — 
Il y a deux espèces d’hommes 
 88
LXI. — 
Agenor a manqué le bateau 
 89
LXII. — 
Comme j’expliquais ce que réellement 
 90
LXIII. — 
Je cherche, au sujet d’un suicide 
 92
LXIV. — 
Comme nous parlions de ce canon qui a sauté 
 93
LXV. — 
Je ne sais si la pitié est aussi bonne qu’on le dit 
 94
LXVI. — 
Zadig, dans Voltaire, devient amoureux de la Reine 
 96
LXVII. — 
Si je fais le compte de ceux que j’ai connus 
 97
LXVIII. — 
Il y a, dit le psychologue, des sentiments troubles 
 98
LXIX. — 
Au sujet de ces exhibitions de femmes nues 
 100
LXX. — 
Platon raconte qu’un certain Gygès 
 101
LXXI. — 
Quand un jardinier veut faire un jardin 
 102
LXXII. — 
Tout change et même assez vite 
 103
LXXIII. — 
Il est assez connu que notre Raison 
 104
LXXIV. — 
Le grand maître de l’Université 
 105
LXXV. — 
Il faut savoir un métier, c’est évident 
 106
LXXVI. — 
Un ami des « Jardins d’Enfants » 
 108
LXXVII. — 
Il y a un livre stupide entre tous 
 109
LXXVIII. — 
Tous les petits garçons regardent avidement les locomotives 
 110
LXXIX. — 
Un petit garçon demandait 
 111
LXXX. — 
On voit maintenant Vénus le soir au couchant 
 113
LXXXI. — 
Pour un gamin de Dieppe ou du Havre 
 114
LXXXII. — 
Les écoliers étaient au bord de l’eau 
 115
LXXXIII. — 
La plupart des enfants dessinent avant d’écrire 
 117
LXXXIV. — 
Maître Aliboron, c’est ainsi que l’élégant Barrès 
 118
LXXXV. — 
Ce ne sont que des querelles byzantines 
 119
LXXXVI. — 
Vous savez ce que c’est qu’un taupin ? 
 121
LXXXVII. — 
Le polytechnicien m’attire et me repousse 
 122
LXXXVIII. — 
Il y a à peu près deux mois 
 123
LXXXIX. — 
Il y a deux familles d’esprit 
 125
XC. — 
Tous ces pédagogues en robe 
 126
XCI. — 
Un professeur me disait hier 
 127
XCII. — 
« Il faut définir la culture 
 128
XCIII. — 
Platon a dit des choses merveilleuses 
 130
XCIV. — 
Toute vertu est courage 
 131
XCV. — 
« La morale sociale 
 133
XCVI. — 
Le moraliste qui a dit « Aimez-vous les uns les autres » 
 134
XCVII. — 
L’industriel me dit 
 135
XCVIII. — 
Je crois que les forces morales l’emporteront 
 136
XCIX. — 
Il y a un dialogue de Platon 
 138
C. — 
Le Droit et la Force ne s’opposent point 
 139
CI. — 
Le Droit a deux espèces de défenseurs 
 140
CII. — 
Un sophiste m’a dit 
 141
CIII. — 
Le Sophiste est revenu à la charge 
 143
CIV. — 
Quelle étonnante ambiguïté dans la notion de Justice 
 144
CV. — 
Qu’est-ce que le Droit ? C’est l’égalité 
 146
CVI. — 
Au sujet de l’égalité entre les hommes 
 147
CVII. — 
« Le Droit ? Hypocrisie ! 
 148
CVIII. — 
Il me semble que les syndicalistes 
 149
CIX. — 
Platon ne veut pas condamner les hommes 
 151
CX. — 
Soutenir que la peine de mort ne fait pas peur aux assassins 
 152
CXI. — 
Un canal, avec ses beaux tournants ombrageux 
 153
CXII. — 
L’individualisme qui est le fond du Radicalisme 
 155
CXIII. — 
« Les morts gouvernent les vivants » 
 156
CXIV. — 
Le Traditionalisme est écrasé par l’histoire même 
 157
CXV. — 
La Solidarité c’est une Nécessité à figure humaine 
 158
CXVI. — 
Le citadin frappa la terre avec sa canne 
 160
CXVII. — 
« On croit, dit le Moraliste, trop aisément ce que l’on désire 
 161
CXVIII. — 
La liberté des opinions ne peut être sans limites 
 162
CXIX. — 
Mon jeune ami le Sillonniste 
 164
CXX. — 
Il y a donc encore des espérantistes 
 165
CXXI. — 
Il y a bien un an que je rencontrai 
 166
CXXII. — 
Suzette est belle comme un ange 
 168
CXXIII. — 
Qu’un homme se sent petit 
 169
CXXIV. — 
Souvent on se révolte contre Dieu 
 170
CXXV. — 
Quand on a apporté en faveur du mariage 
 171
CXXVI. — 
Il est très bon que l’on ait publié cette aventure 
 173
CXXVII. — 
« Comment ose-t-on faire des enfants 
 174
CXXVIII. — 
Il faut résister aux lieux communs 
 175
CXXIX. — 
Le Penseur descendit de son piédestal 
 177
CXXX. — 
La lutte pour la vie, dit l’ouvrier 
 178
CXXXI. — 
J’ai souvent dit qu’un homme raisonnable 
 179
CXXXII. — 
En ce temps d’élections 
 181
CXXXIII. — 
Le jeune théoricien dit : « Pourquoi des lois ? » 
 182
CXXXIV. — 
L’anarchiste a raison en un sens 
 183
CXXXV. — 
Auguste Comte entendait la République 
 184
CXXXVI. — 
Je ne veux pas de mal à un roi 
 185
CXXXVII. — 
Il est difficile de savoir ce que le suffrage des femmes 
 187
CXXXVIII. — 
Un Philosophe m’a dit : « Je ne vais point dans le monde 
 188
CXXXIX. — 
Notre République, depuis qu’elle atteint l’âge mûr 
 189
CXL. — 
Un Sillonniste c’est un jeune homme 
 191
CXLI. — 
Il y a un roman de Dickens 
 192
CXLII. — 
Au fond du petit café 
 193
CXLIII. — 
L’Antimilitariste me dit 
 195
CXLIV. — 
Si les Marocains étaient justes entre eux 
 196
CXLV. — 
Sur l’Italie aussi, et sur la guerre de Tripoli 
 197
CXLVI. — 
De nouveau on parle de la guerre 
 199
CXLVII. — 
Je lisais ces jours-ci le « Lucien Leuwen » de Stendhal 
 200
CXLVIII. — 
J’admire l’épopée Napoléonienne 
 201
CXLIX. — 
Il est inévitable que le triomphe de l’esprit militaire 
 203
CL. — 
Peut-on compter sur un mouvement de honte 
 204
CLI. — 
Le courage nourrit les guerres 
 206
CLII. — 
Que la formation militaire soit belle par elle-même 
 207
CLIII. — 
Le colonel parlait de la nouvelle armée 
 208
CLIV. — 
J’ai voyagé avec cinq jeunes gens 
 209
CLV. — 
C’est le temps où les bûcherons jouent de la cognée 
 211
CLVI. — 
Un homme cultivé ressemble à une boîte à musique 
 212
CLVII. — 
Pour cette célébration de Le Notre 
 213
CLVIII. — 
Pour juger librement des sciences 
 214
CLIX. — 
J’ai remarqué plus d’une fois que les portraits 
 216
CLX. — 
L’histoire des grands musiciens 
 217
CLXI. — 
L’ombre de Platon me dit 
 218
CLXII. — 
Un conférencier en était à sa deuxième partie 
 219
CLXIII. — 
Tous ces discours parlementaires 
 221
CLXIV. — 
L’on a donné un Prix Nobel 
 222
CLXV. — 
Je mets Tolstoï très haut 
 223
CLXVI. — 
Le Savant me dit : « Je viens de lire Tolstoï 
 224
CLXVII. — 
Je renouais connaissance ces jours-ci 
 226
CLXVIII. — 
Il y a des choses qu’il faut bien accepter 
 227
CLXIX. — 
Le fond de la Religion 
 228
CLXX. — 
La prière avait du bon 
 229
CLXXI. — 
La vie est un travail qu’il faut faire debout 
 231
CLXXII. — 
Nous n’avons aucune connaissance de la mort 
 232
CLXXIII. — 
« Monsieur, me dit l’Américain 
 233
CLXXIV. — 
Quand on lit les anciens Matérialistes 
 234
CLXXV. — 
La neutralité est un vilain mot 
 236
CLXXVI. — 
L’Abbé Loisy, qui n’est presque plus abbé 
 237
CLXXVII. — 
Ce mois de Juin donne les plus belles fêtes 
 238