Août 1847
5 janvier 1848.
Mon cher Félix, écrivant à Domenger, je profite de l’occasion uniquement pour te souhaiter une meilleure année que les précédentes.
J’ai honte de faire paraître mon second volume des Sophismes ; ce n’est qu’un ramassis de ce qui a paru déjà dans les journaux. Il faudra un troisième volume pour me relever ; j’en ai les matériaux informes.
Mais je tiendrais bien autrement à publier le cours que je fais à la jeunesse des écoles. Malheureusement je n’ai que le temps de jeter quelques notes sur le papier. J’en enrage,