Les erreurs de l’Église en droit naturel et canonique sur le mariage et le divorce

Louis-Antoine Dessaulles

Les erreurs de l’Église en droit naturel et canonique sur le mariage et le divorce

Durand et Pedone-Lauriel, éditeurs, 1894.

LES

ERREURS DE L’ÉGLISE

EN DROIT NATUREL ET CANONIQUE

SUR LE

MARIAGE ET LE DIVORCE

PAR

L.-A. DESSAULLES

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PARIS

A. DURAND ET PEDONE-LAURIEL, ÉDITEURS

LIBRAIRES DE LA COUR D’APPEL ET DE L’ORDRE DES AVOCATS

A. PEDONE, Successeur

13, RUE SOUFFLOT, 13

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1894

TABLE DES MATIÈRES

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page

Avant-propos 

 V

Sommaire 

 1

I. — 

Une dernière ligne de bataille de l’Église contre la société moderne 

 2

II. — 

Pie IX accuse d’ignorance ceux qui sont dans le vrai 

 7

III. — 

Il y a mariage honorable et régulier hors de la présence du prêtre 

 12

IV. — 

L’Église n’a jamais pu donner une formule correcte de son sacrement de mariage. Il faut renoncer à Adam 

 20

V. — 

Le mariage ne tombe pas sous la définition ordinaire d’un sacrement 

 28

VI. — 

Le décret Tametsi du concile de Trente 

 32

VII. — 

L’Église ne reconnaît pas le mariage protestant 

 37

VIII. — 

Il y a mariage légitime et régulier dans l’Église sans bénédiction du prêtre 

 44

IX. — 

Le droit canon est la jurisprudence de l’incertitude 

 48

X. — 

Contradictions de l’Église 

 54

XI. — 

Le mariage ne peut ressortir que de l’ordre de nature 

 58

XII. — 

Quelques paradoxes du P. Didon. Un sacrement sans ministre ecclésiastique 

 61

XIII. — 

Pie IX et la condamnation du professeur Nuyts 

 69

XIV. — 

C’est le prêtre lui-même qui montre comment et pourquoi on peut se passer de lui 

 74

XI. — 

C’est le prêtre et non le législateur qui a mis le bon Dieu à la porte du sacrement de mariage 

 77

XVI. — 

M. Trinquelague et les théologiens 

 83

XVII. — 

Opinions anciennes et paradoxes modernes 

 86

XVIII. — 

Comment on a ménagé la transition de la pratique ancienne à la pratique moderne 

 90

XIX. — 

Pailles chez les juristes laïques ; poutres chez les juristes ecclésiastiques 

 92

XX. — 

Agréables tempéraments de l’Église à ses règles sur le mariage 

 97

XXI. — 

Le mariage a-t-il été institué par Jésus ? 

 102

XXII. — 

Les conciles de Florence et de Trente adoptent les affirmations des fausses décrétales 

 106

XXIII. — 

M. l’abbé Paoli soutient que le mariage remonte à Adam 

 112

XXIV. — 

Il faut conclure que le lien est exclusivement civil 

 118

XXV. — 

Il est temps que les adeptes des différents cultes cessent de se haïr au nom de l’idée religieuse 

 121

XXVI. — 

La restriction de Jésus fondée sur l’adultère 

 128

XXVII. — 

Les nullités de l’Église qui ne sont pas nulles 

 132

XXVIII. — 

L’Église a donné la préséance au simple vœu solennel sur son sacrement de mariage 

 141

XXIX. — 

Nullité du mariage d’un catholique avec une juive. Le législateur peut-il admettre pareille insanité ? 

 148

XXX. — 

Jugements ecclésiastiques sur les officialités 

 153

XXXI. — 

La justice civile a dû faire table rase des hontes de la procédure ecclésiastique 

 158

XXXII. — 

Opinions diverses parmi les Pères sur la sainteté du mariage 

 161

XXXIII. — 

Les évêques et la loi. Les fortes bourses et l’Église 

 164

XXXIV. — 

Le prêtre et l’état civil. Prodigieuses injustices qu’il commettait 

 171

XXXV. — 

L’Église et les comédiens français. Elle les condamne à vivre dans l’immoralité 

 175

XXXVI. — 

Un évêque observateur de la loi 

 181

XXXVII. — 

Les évêques d’Italie obligés d’admettre l’antériorité du mariage civil malgré Pie IX 

 188

XXXVIII. — 

Déraison des évêques dans certains pays 

 193

XXXIX. — 

L’Église hésite plusieurs siècles sur la question du divorce pour cause d’adultère 

 201

XL. — 

La papauté préfère l’idée de saint Augustin à celle de Jésus 

 207

XLI. — 

L’Église force les gens de vivre dans le concubinage 

 212

XLII et XLIII. — 

L’Église préfère son dogme qui ne vient pas de Jésus au principe de justice envers les parties 

 217

XLIV. — 

Le divorce accordé au duc de Berri est un des cas les plus criants contre l’Église 

 225

XLV. — 

Paradoxes du R. P. Didon sur l’indissolubilité absolue 

 228

XLVI. — 

La justice est une religion plus haute que les dogmes qui la violent 

 233

XLVII. — 

Autres sophismes du rév. Père 

 239

XLVIII. — 

L’Église renouvelle envers les protestants et les juifs les monstruosités de l’esclavage 

 246

XLIX. — 

Le juif Padova et l’Église 

 250

L. — 

L’Église fait les divorces quand un conjoint protestant se fait catholique 

 254

LI. — 

Une riche veuve de Philadelphie et un grand vicaire 

 258

LII. — 

Trente-neuf erreurs de l’Église sur le mariage et le divorce 

 264

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