Les Dieux antiques/Origine et développement de la mythologie

J. Rothschild, éditeur (p. 1-12).

ACROPOLE.



LES DIEUX ANTIQUES




ORIGINE ET DÉVELOPPEMENT
DE LA MYTHOLOGIE [1]


Un vaste assemblage de mythes, de fables, de légendes, voilà ce qu’offre à notre étude la Mythologie, quelque nom que nous donnions à ses éléments : les uns existant en tant que contes d’enfants, d’autres renfermant en germe les poèmes épiques des grands âges ; certains (ils sont plus rares) ne représentent rien de plus que des formes proverbiales. Dieux, héros, démons, et d’autres êtres dont l’appellation est conservée par la croyance populaire, composent l’ensemble des personnages mythologiques [2]. Chaque nation a eu sa mythologie ; et quelques-unes gardent encore leur vieille foi en ces histoires. (C’est ainsi que nous possédons la mythologie non-seulement de la Grèce et de Rome, mais de l’Inde, de la Perse, de la Norvège et d’autres pays. Longtemps avant que l’Europe fût le séjour d’aucune des nations qui l’habitent, et alors que tout était neuf et étrange pour les peuples vivant sur la terre, nos ancêtres parlaient de ce qu’ils voyaient et entendaient d’une façon tout autre que nous ne le faisons aujourd’hui. Ne sachant presque rien d’eux-mêmes et rien des objets qu’ils percevaient autour d’eux et dans le monde entier, ils s’imaginaient que toute chose était douée d’une vie pareille à la leur [3]. C’est ainsi que chacun crut que le soleil et les étoiles, les fleuves et les cours d’eau pouvaient voir, sentir et penser, brillaient ou se mouvaient à leur guise.

Une particularité qui s’impose spécialement à notre attention, quand nous comparons les légendes des différents pays, c’est la ressemblance entre leurs traits les plus importants, qui n’en est parfois même que la répétition.

Quelle est la conclusion à tirer de ce fait, sinon que les légendes de toutes ces nations ont une seule source commune ? Et quelle est cette source ? Les mots et les phrases usités par les anciennes tribus pour parler de ce qu’elles voyaient, entendaient ou sentaient dans le monde situé autour d’elles. Si ces paroles avaient trait au décor ou au jeu de la vie de chaque jour, peut-être se demandera-t-on comment elles ont pu donner naissance à des histoires de géants et de nymphes ou d’autres êtres non réels. Voici : comme le temps marcha, et que les peuples se séparèrent, le vieux sens s’oblitéra, totalement ou partiellement. Je le répète : tant que ces antiques peuplades demeurèrent au même lieu, il n’y eut pas à craindre que les termes qu’elles employaient pour parler entre elles, fussent mal compris ; mais le temps alla, les tribus se dispersèrent. Quelques-unes errèrent au sud, d’autres au nord et à l’ouest ; et il arriva que toutes gardèrent les noms donnés jadis au soleil et aux nuages et à toute chose, alors que la signification de ces noms était presque perdue [4].

Pour résumer ce qui précède, je dirai que la Mythologie est simplement le recueil des on-dit par lesquels les hommes d’autrefois se contèrent tout ce qu’ils voyaient ou entendaient dans les pays où ils vécurent. Cette explication ou clef, qui nous a ouvert presque tous les arcanes de la Mythologie, n’est placée entre nos mains, par la science, que depuis quelques années. Nous percevons donc, nous autres modernes, mieux que ne le firent les peuples classiques, combien, dans leur forme primitive, ces on-dit étaient naturels en même temps que dotés d’une beauté et d’une vérité merveilleuses [5].

Maintenant passons aux preuves.

Toutes se résument en ce fait que beaucoup de noms qui en grec et en latin n’ont aucune signification, sont parfaitement intelligibles dans d’autres langues, qui les conservent plus voisins de leur origine. Que d’exemples ! c’est en foule qu’ils viennent à la mémoire de qui a étudié les auteurs classiques. Ces noms, Argynnis, Phoronée et Érinnys, sont, en grec, des mots qui ne présentent aucun sens. Or ils s’expliquent dans la vieille mythologie de l’Inde, et l’on y voit qu’Érinnys est l’aurore lorsqu’elle « rampe dans le ciel » ; Argynnis, un nom du matin, désignant ce qu’il a de brillant ; Phoronée, c’est le dieu du feu, Bhuranyn. Tel cas même se présente où la vieille signification des mots n’est point totalement effacée. Voyez l’histoire d’Endymion ; Séléné, qui le visite, y est encore la lune : tout ce que l’on avait oublié, c’est qu’Endymion était le nom du soleil quand il plonge dans la mer, si bien qu’on prit celui-ci pour un jeune homme que la lune avait regardé complaisamment. Beaucoup de noms, dans la mythologie grecque notamment, s’expliquent de cette façon : peut-être le plus grand nombre. Ainsi Phoibos veut dire seigneur de « la lumière » ou de « la vie » ; et Délos, où est né le dieu, veut dire « la terre brillante » ; c’est de là qu’il est aussi appelé Lykégénès, issu de la lumière. Sa mère est Léto (Latona), qui veut dire « la nuit d’où semble surgir le soleil ». Ainsi encore Endymion, dont nous avons tout à l’heure entrevu la signification, soleil couchant, dort en Latmos, « la terre de l’oubli ». Un détail à noter, c’est que les mêmes noms, ou des noms tout semblables entre eux, appartiennent à la fois, dans ces contes, aux hommes et aux femmes. Je cite. La mère de Cadmos et d’Europe est Téléphassa, qui veut dire « celle qui brille de loin », ou simplement une autre forme du nom de Téléphos, qui est aussi enfant d’Augé, « la lumière ». Toujours de même, les noms d’Europa et d’Eurytos, d’Eurymédon, Euryanassa, Euryphassa, et nombre d’autres, désignent une lumière « répandue au large », comme celle de l’aurore quand elle s’élance par le ciel. Les incidents enfin se ressemblent entre eux aussi étroitement que les noms. Exemple : dans un très-grand nombre de légendes, maints parents, avertis que leur fils les détruira, exposent cet enfant, qui est sauvé par une bête sauvage et élevé par un berger. Les enfants grandissent toujours beaux, braves, forts et généreux ; mais, à leur insu ou contre leur volonté, ils accomplissent la prédiction faite avant leur naissance et sont les meurtriers de leurs parents. Qui ne se rappelle plusieurs contes ayant en commun ce trait ! Persée, Œdipe, Kuros (nommé à tort, en français, d’après le latin exclusivement : Cyrus), Pâris, Romulus, sont tous exposés, petits enfants ; tous sauvés de la mort et découverts à cause de la splendeur de leur physionomie et de la dignité de leur port. Ou consciemment ou inconsciemment Persée tue Acrisios, Œdipe tue Laios, Kuros égorge Astiage, Romulus tue Amulius, ainsi que Pâris cause la mort de Priam et la ruine de Troie. Cherchons d’autres traits communs présentés par ces histoires. Les héros ont généralement une vie courte, mais brillante, et ils doivent travailler pour autrui, non pour eux-mêmes. Ainsi Héraclès (appelé à tort, en français, d’après le latin exclusivement : Hercule) est l’esclave d’Eurysthée, Achille va à Troie pour une querelle qui n’est pas la sienne, Persée se donne du mal aux ordres du roi Polyclète. Tous, ils sont tueurs de monstres et par mille moyens secourables aux hommes. C’est Bellérophon qui tue Belléros et la Chimère, c’est Persée qui détruit la gorgone Méduse ; puis Thésée extermine le Minotaure, Œdype frappe le Sphinx, et Phoibos Apollon met à mort le serpent Python.

Sortons de la mythologie classique : le fait se répète en la légende de tous pays. Indra, aux contes indiens, tue le dragon Vitra, et Sigurd, dans la vieille histoire norse, tue le grand reptile Fafnir. Rustem, montré par les récits perses, est aussi brave et aussi puissant qu’Héraclès, et ses exploits sont de même genre. Tous ont des lances et des épées invincibles, et ne peuvent être blessés qu’à un endroit de leur corps ou que par une espèce particulière d’arme. Partout ces héros se ressemblent de figure et de caractère, aussi bien que par le cours général de leur vie. Tous ont de beaux visages, et des boucles d’or leur flottent aux épaules. Ils sacrifient leurs aises au bien des autres, et pas un cependant qui ne soit tenté d’abandonner ou d’oublier les fiancées de sa jeunesse et ne le fasse. C’est ainsi qu’Héraclès se sépare d’Iole et que Pâris quitte Œnone ; Thésée laisse Ariane, et Sigurd fuit loin de Brunehilde. Sujets aussi à l’étrange accès d’une tristesse noire et soudaine, ils partent ; mais voici que tout devient obscur ou morne, en leur absence du banquet et de la bataille. Mais ils surgissent à la fin dans toute leur gloire première, et ont le pardon des femmes que blessa leur abandon.

Tirons ceci de ces ressemblances, qu’elles ne peuvent être accidentelles ; et comme nous savons que les Grecs, et les Romains, et les Hindous, et les Perses et les Norses n’ont pu copier pareilles fables les uns sur les autres, il y a trois ou quatre mille ans, force est d’en suivre la trace jusqu’à une source commune : quand les ancêtres de toutes ces tribus vivaient, comme nous l’avons dit, dans le même lieu. Où donc est la racine, où donc le germe de toutes ces histoires ? Toujours dans ces mots, toujours dans ces phrases, qui peignirent d’abord les événements ou les scènes du monde extérieur. Exemple : dans les plus vieux hymnes hindous, on dit que le Soleil aime l’Aurore, et que le Soleil tue la Rosée en la regardant ; or les Grecs disaient que Phoibos aimait Daphné, et que Procris fut tuée par Céphale. Toutes ces histoires enfin sont réellement les mêmes, parce que des mots comme Procris, Daphné, Briséis, Hermès, les Charites et Échidna, qui n’ont pas de signification claire en grec, représentent dans les anciennes langues de l’Inde simplement des noms communs signifiant la rosée et le soleil, le matin avec ses beaux nuages et ses douces brises, les chevaux luisants du soleil, et le serpent étouffeur que sont les ténèbres.

La conséquence de cet oubli de la signification première des mots, c’est que beaucoup de récits ont été dénaturés et que certains devinrent même choquants. Ainsi les hommes ayant dit du Soleil, au temps de la sécheresse, qu’il tuait les fruits de la Terre, qui était sa fiancée, les Grecs racontèrent que Tantale, roi d’Orient, tua et fit cuire son propre enfant. Et encore : on avait trouvé jadis que le Soleil, après avoir exterminé toutes choses nuisibles et réjoui de sa clarté la Terre, s’unit, le soir, à l’Aurore, par lui laissée le matin. Mais quand les Grecs eurent oublié ce que signifiait le nom d’Œdipe, ils dirent de ce personnage qu’après avoir frappé le Sphinx, il se maria avec sa propre mère, et que des maux terribles s’ensuivirent.

Rien de tout cela n’a été fait à dessein, et nul ne s’est jamais mis à l’œuvre pour présenter les dieux et les héros comme passant leur temps à accomplir des actes dont la pensée seule implique une honte. Il ne peut y avoir d’erreur plus grande que de croire à des nations entières soudain saisies d’une folie étrange qui les pousse à inventer toutes sortes de contes ridicules et tristes, et que chaque nation eut, à son tour, son heure de cette démence. Comment lancer une telle accusation contre des peuples qui nous ont laissé des légendes aussi belles que celles de Déméter, de Niobé, de Cadmos, et d’Hélène et d’Œnone, de Persée et de Sarpédon ? Peut-être est-il fort absurde de dire que Cronos (le père de Zeus ou Jupiter) dévora ses propres enfants ; mais nous savons qu’il ne l’est point de dire que le Temps dévore les jours issus de lui. Or la vieille phrase ne voulait dire que cela et rien de plus ; seulement les peuples, avant de fouler la Grèce, avaient oublié déjà sa signification. Règle générale, ces antiques tableaux que nous offre la Mythologie, sont la Mythologie véritable, c’est-à-dire qu’il faut d’abord apprendre sa formation ; il restera à connaître plus tard ses transformations capricieuses, celles que lui font subir les fables des poètes [6]. Étudiée selon ce mode nouveau, la Mythologie jette une vive lumière sur l’histoire primitive des nations européennes.

L’époque où l’on se mit à régler la Mythologie, c’est quand l’évolution en était déjà complètement faite ; le hasard qui se mêlait aux mythes dans l’esprit des Grecs (car c’était une condensation libre d’images vaporeuses et naturelles) incita ce peuple harmonieux à trouver une ordonnance qui n’existait pas essentiellement. On serait étonné si l’on voyait des tables généalogiques montrer la liberté avec laquelle plusieurs États grecs ou des villes traitaient leur fonds commun de contes légendaires ; car ce que j’appellerai la « vitalité mythique », demeura encore quelque temps après que les Aryas furent fixés en leurs terres helléniques. Mainte table, facile à faire d’après les auteurs, présente les mêmes noms dans des rapports tout à fait différents ; impossible de les faire s’accorder historiquement, mais ils s’accordent strictement avec les phrases mythiques qui furent les racines de ces généalogies, où dieux, héros, hommes sont inextricablement mêlés. N’imitons pas, nous, ces efforts postérieurs, mais apprenons maint symbole.

Nous devons tout regarder ici comme des contes parfaitement beaux et inoffensifs, graduellement défigurés en dehors de la volonté ou même de la conscience des interpolateurs. Bien entendu — c’est le détail le plus important à tirer de la digression ouverte par les quelques réflexions présentes — que les peuples anciens ne s’appliquèrent en rien à disposer leurs dieux ou leurs héros en groupes et en classes. L’ordre dans lequel on range quelquefois ces mythes est l’œuvre d’un âge très-postérieur, et cet ordre, si nous y arrêtons notre esprit, nuira plus qu’il ne servira à l’effort fait par nous pour comprendre les légendes [7].

Cette science intéressante, la Mythologie, nous montre que les ancêtres des Germains ou des Norvégiens, des peuples latins ou des Grecs, subissaient, tous, les mêmes impressions, les mêmes espoirs et les mêmes craintes que nous aujourd’hui, malgré des différences inévitables ; et, somme toute, telle qu’elle était, chacune était belle et vraie. Au fond, je les vois, ces pensées, les mêmes qui inspirent le langage des poètes de tous les temps et de tous les pays. Oui, maintenant comme autrefois, les poètes ne font autre chose qu’attribuer la vie à ce qu’ils voient et à ce qu’ils entendent autour d’eux. Qu’importe l’image elle-même ? Tout au moins elle revêt, dans l’étude des mythes du passé, un charme historique qui est à la fois curieux et touchant. Qu’est le Soleil ? Un fiancé qui sort de sa chambre ou un héros qui se réjouit de parcourir sa route. Telle est l’idée qui fait le fond des légendes d’Héraclès, de Persée, de Thésée, d’Achille et de Bellérophon, et de beaucoup d’autres ; et tous les hommes d’à présent dont le cœur ou l’esprit sont ouverts à la beauté du ciel et de la terre, sentiront la séduction, spéciale et permanente à la fois, que comporte la Fable.

Passons maintenant à un point de vue très-différent et qu’il ne faut pas négliger. Grave question, la Mythologie est-elle la religion des anciens ? Oui : en tant qu’une religion peut ne pas fournir certaines impressions religieuses nécessaires et que seront obligés de puiser autre part ses adeptes, soit dans les maximes des poètes, des philosophes, ayant sur la vie l’influence morale et sacrée que n’a pas, en principe, la théogonie grecque. Il se formera, avec l’aide de la conscience humaine, de cette façon, deux courants idéals distincts : l’un, situé entre la religion et la fable, est le mythologique proprement dit ; un autre serait celui qu’aujourd’hui nous appellerions simplement le religieux. Que tous deux se présentent sous le couvert des mêmes paroles anciennes, bien que restant totalement différents, cela est abondamment prouvé par la littérature grecque, non moins que par la littérature hindoue. Ne point croire que, dans les temps antiques, un homme qui prononçait fréquemment le nom de Zeus, fît une allusion continuelle à un personnage unique ; non : il parlait comme deux langues très-distinctes. Zeus existait double au fond de son âme : le Zeus embrassant les noms et les actes des phénomènes par ce dieu personnifiés, et le Zeus père universel, imploré dans le malheur et remercié dans la joie, qui voit tout et que personne ne vit jamais. Le Paganisme empruntait, inconsciemment, à la religion unique, latente, certaines de ses inspirations les plus pures, comme cette dernière, dans sa phase moderne, qui est le Christianisme, a emprunté aux vieux rites plusieurs manifestations extérieures de son culte [8].

Si l’élément poétique l’emporta décidément, dans la Mythologie, sur l’élément purement religieux, quelle est donc l’idée, chère au poète, qui pourrait, selon la science moderne, ordonner en un système le groupe épars des dieux et des héros ? Nous parlons aujourd’hui du Soleil qui se couche et se lève avec la certitude de voir ce fait arriver ; mais, eux, les peuples primitifs, n’en savaient pas assez pour être sûrs d’une telle régularité ; et quand venait le soir, ils disaient : « Notre ami le Soleil est mort, reviendra-t-il ? » Quand ils le revoyaient dans l’Est, ils se réjouissaient parce que l’astre rapportait avec lui et sa lumière et leur vie.

Tel est, avec le changement des Saisons, la naissance de la Nature au printemps, sa plénitude estivale de vie et sa mort en automne, enfin sa disparition totale pendant l’hiver (phases qui correspondent au lever, à midi, au coucher, à la nuit), le grand et perpétuel sujet de la Mythologie : la double évolution solaire, quotidienne et annuelle. Rapprochés par leur ressemblance et souvent confondus pour la plupart dans un seul des traits principaux qui retracent la lutte de la lumière et de l’ombre, les dieux et les héros deviennent tous, pour la science, les acteurs de ce grand et pur spectacle, dans la grandeur et la pureté duquel ils s’évanouissent bientôt à nos yeux, lequel est : La Tragédie de la Nature [9].




  1. Quoique le Traducteur s’applique à dissimuler son immixtion (trop fréquente, notamment dans l’ordonnance de ce livre), il est de son devoir le plus strict envers l’Auteur de désigner les quelques passages entièrement ajoutés au texte. Ces passages seront marqués au bas de la page par cette briève indication : Le Traducteur.

    Qu’il soit toutefois constaté à notre décharge, que nous avons toujours, avant de recourir à cette extrémité, cherché dans les écrits et principalement dans la grande œuvre postérieure de l’Auteur, s’il ne s’y rencontrerait pas les éléments nécessaires pour combler telle ou telle lacune causée par le remaniement qu’a subi l’ouvrage pendant la traduction. Les fragments transposés, soit de Préfaces, soit de la Mythologie des Nations Aryaques, portent l’une ou l’autre de ces indications : Préf. (Préface), Gde Myth. (Grande Mythologie), avec le chiffre du livre ou du chapitre : liv… ch… très-scrupuleusement.

  2. Gde Myth., liv. I, ch. 9.
  3. Extrait d’une Préface de Cox.
  4. Exirait d’une Préface de Cox.
  5. Extrait, en partie, d’une Préface de Cox.
  6. Le Traducteur, d’après l’Auteur.
  7. Extrait d’une Préface de Cox.
  8. Le Traducteur, d’après l’Auteur en général ; notamment d’après la Gde Myth., liv. I et II, ch. 1 et 2.
  9. Note particulière à la Traduction.