Le Zend-Avesta (trad. Darmesteter)/Volume I/YASNA/Hâ29.

Traduction par James Darmesteter.
Texte établi par Musée Guimet, Ernest Leroux (I. La Liturgie (Yasna et Vispéred) (Annales du Musée Guimet, tome 21)p. 212-218).

HÂ 29. — GATHA AHUNAVAITI 2



Le Mazdéisme a proclamé les devoirs de l’homme envers l’animal, en particulier envers le bœuf, qui l’assiste dans son travail, qui le nourrit de sa chair et l’habille de sa peau. L’avènement du Zoroastrisme est représenté comme l’avènement de la justice pour les animaux 1[1], une sorte de 89 de l’espèce bovine.


« Lorsque mourut le Taureau (c’est-à-dire le Taureau unique, Gaush aêvôdâta, créé par Auhrmazd, et d’où devaient sortir toutes les espèces animales ; cf. p. 9, note 11),… au moment où l’âme du Taureau sortait du corps, Gôshûrûn « l’Ame du Taureau », se tint devant lui et poussa vers Auhrmazd une plainte aussi retentissante que si mille hommes criaient à la fois : A qui as-tu laissé le gouvernement des créatures, maintenant que la destruction est lâchée dans le monde, que les plantes sont desséchées, les eaux empoisonnées ? Où est l’homme dont tu disais : Je le créerai pour qu’il prêche la sollicitude [pour les êtres] ?

« Auhrmazd répondit : Tu es malade, Gôshûrùn, de la maladie d’Ahriman et de la méchanceté que les démons ont déployée sur toi. Si j’avais pu créer cet homme en ce moment, Ahriman ne se serait pas livré à cette violence,

« Gôshûrùn s’avança jusqu’à la sphère des étoiles et répéta sa plainte ; jusqu’à la sphère de la lune et répéta sa plainte ; jusqu’à la sphère du soleil et répéta sa plainte. Alors on lui montra le Frôhar de Zoroaslre, et Auhrmazd dit : Je le créerai dans le monde pour prêcher la sollicitude [pour les êtres]. Gôshûrûn, satisfaite, accepta alors de nourrir les êtres et consentit à une nouvelle création des animaux dans le monde » (Bd. IV).

Ce passage du Bundahish est le meilleur commentaire du Hâ qui nous occupe, quoique le cadre mythologique soit plus accusé et plus développé dans le Bundahish que dans la Gâtha. L’analyse du Yarshtmâmar Nash dans le Dînkart définit ce Ilâ plus sobrement, comme étant « la plainte adressée par Gôshûrûn à Auhrmazd, au moment de la création, dans le conseil des Amshaspands » ; elle voit par l’esprit toutes les oppressions et les souffrances [ainîkih u anâkih) qui l’attendent sur la terre, coups, blessures, égorgement, enlèvement, mauvaise étable, mauvais soins, et supplie Auhrmazd de ne point la créer dans le monde et pour cette cruelle oppression.


Analyse. — La plus grande partie du Hâ est dialoguée : les interlocuteurs sont Géush Urvan ou l’Ame du Taureau (§ 1), Ahura Mazda (§ 2), Asha (§ 3), Vohu Manô (§ 4) et Zarathushtra : dans le reste, c’est le poète qui parle.


1. Géush Urvan se plaint aux Amshaspands. Les hommes maltraitent le bœuf, le battent, l’enlèvent, le tuent à plaisir. Pour qui a-t-il été créé ?

2. Ahura Mazda se tourne vers Asha, personnification du Bien, et lui demande quel Maître spirituel (ratu) il a établi pour enseigner aux hommes leur devoir envers les animaux et quel Maître temporel (Ahura) pour protéger ces animaux contre la violence.

3. Asha fait ressortir l’aveuglement du mauvais maître qui ne sait pas le châtiment qui l’attend, tandis que celui qui fait le bien auquel la loi le convie, sera récompensé et tout-puissant.

4. Mazda, en effet, observe le poète, fait le compte de tous les actes des démons et des hommes ; il est l’arbitre du bien et du mal ; faisons donc selon son désir (§ 4). L’homme de bien ne mourra pas, — la mort n’est que pour le méchant ; — son âme recevra la récompense suprême et il s’entretiendra au ciel avec Ahura (§ 5). Or, Ahura, en donnant sa loi, nous a donné le vrai moyen de lutter contre le mal  : malheureusement, les hommes ne la suivent pas, ils n’obéissent pas au Maître spirituel ni au Maître temporel (c’est-à-dire aux deux autorités légitimes). C’est seulement pour le laboureur bon qu’Ahura a créé le bétail.

7. Ahura a donné la graisseau bétail, pournourrirl’homme  : età l’homme il a donné sa loi, pour lui apprendre à ménager la vie animale. Mais quel est l’homme, demande Ahura, qui, inspiré de Vohu-Manô, révélera cette loi aux hommes ?

8. J’ai trouvé l’homme unique qui la recueillera, répond Vohu Manô ; c’est Zarathushtra, lequel chantera aux hommes ce qu’il y a à faire pour lutter contre le mal.

9-10. A ces mots Géush Urvan gémit sur l’impuissance de son protecteur, sur la faiblesse de l’apôtre qui devrait être maître absolu. Quand les puissants de la terre mettront-ils leur force à son service ? Elle appelle au secours de Zarathushtra Asha, le Bien, Vohu Manô, la Bonne Pensée, Rhshathra, le Pouvoir, et avant tout Ahura.

11. Zarathushtra paraît et demande à ses quatre protecteurs leurs récompenses célestes.

Consulter Dlnkart, IX, 6 (Sûtkar), 29 (Varshtmânsa ?'), 51 (Bak) \ Dàdistan, XXII.


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Le Zôt seul *  :

1. Khshmaibyâ géush urvâ. — L’Ame du Bœuf- pleurait vers vous*  : « Pourquoi m’avez-vous créé et qui m’a formé ^ ? Me voici en proie* au

1. « Ici et à toutes les Gâthas verser du lait sur le Barsôm » (Danâ jîvâk ukulâ jîvâk gâsêjiv ol barsôm yadrûnishn\ Pt‘).

2. Géush Urvan, Gôshûrûn ; voir l’Introduction du Hâ.

3. Vers les Amshaspands.

4. Le pehlvi a  : « pour qui ai-je été formé ? » ce qui est certainement le sens latent. La réponse directe à cette question se trouve au § 6  : « C’est pour le bon laboureur que t’a formé ton créateur ».

5. àhishàyâ, est traduit am âhûkinit pun hamâk (N. âbadhayati sarvatra jneyam)^ « m’afflige de toute manière ». àhishàyâ (lire âhushàyâ ?) est un instrumental féminin de âhishâ (àhushâ ?), ayant la force verbale de âhûkînîtan, d’où le régime mâ. violent®, au bandit^ au brutal, fi qui me déchire®, à qui me dérobe..le n’ai de prolecteur que vous : assuroz-moi donc bonne pâture®. »


2. Alors le Créateur du Bœuf*® demanda à Asha** : « Quel est le Ratu que tu as donné au troupeau *^ pour que les maîtres, lui donnant leurs soins actifs, le nourrissent et l’accroissent’® ? Et quel bienfaisant Seigneur*® [as-tu établi], pour repousser de lui les violences des méchants*® ? »


3. Asha a su parler*’* au mauvais maître qui fait souffrir le troupeau*®. Il ne sait pas, [le mauvais maître], l’éclatante [récompense] qui adviendra aux justes*® : car il est le plus puissant des êtres, celui qui vient aussitôt, à l’appel, faire le bien*®.

4. Mazda sait faire le compte suprême*® de tout ce qu’ont fait et que


6. aêslimô, l’homme colère qui bat les animaux.

7. hazascâ, le brigand qui les enlève : cf. Yasna XII, 2, note 9.

8. remô, rlshkûn, le brutal « qui les tue sans mesure » (c’est-à-dire au delà du besoin ; am apatmân kûshît) ; cf. note 33. — dareshcà, sikûntâr(p. sîkûn(an~ persan darldan) : « c’est-à-dire qu’il leur fait bôtôkzyat » ; cf. Patel Irânî^ § 14.

9. vohù vàstryà : le sens revient à : « faites que je sois bien traité ».

10. Ahura Mazda.

11. Asha Vahishta, Ahura s’adressé à lui d’abord comme étant l’incarnation du bien.

12. Litt. « Comment de toi le Ratu au bœuf ? », le Ratu étant le maître spirituel qui règle les devoirs de l’homme envers les animaux (rat î gôspandân mon) ; s’oppose à Ahurem, le Seigneur, qui a la force matérielle pour défendre le troupeau (voir la fin de la strophe) ; ratu-ahura = ratu-alm (cf. p. 162j.

13. Litt. « de sorte que les maîtres lui donnent multiplication de bœufs et activité avec fourrage ».

14. paiti-mravat, c’est-à-dire le châtier [pasukh gûft aîghash pâtfrâs obdûnênd ; cf. XXI, note 9). — C’est Asha Vahishta qui règle le degré des châtiments de chaque crime dans l’enfer.

15. nuit sarejâ advaêshô « le maître (sardâr P., svâmin N.) qui n’est pas ne faisant pas souffrir ».

16. La récompense qui les attend dans l’autre monde, el par suite le châtiment qui l’attend, lui (Glose : ûolâshân darvand pâtfrâsî pun ravân ci vacand obdûnand lâ khavîtûnand : « ces méchants ne savent pas quel châtiment de l’âme et combien grand on leur inflige ».

17. yahinài zavéùg jimâ keredushà : litt. « à qui est action [kartdr’ili) venant à l’appel » ; c’est-à-dire « quand on l’appelle pour lui dire : fais bonnes œuvres, il les fait » [amatash karitûnand âigh : kdr u karfak obdûn, obdûnad). — keredushd, thème féminin, auquel se rapporte l’adjectif composé zavéng-jimà.

18. sahvâré mairislitù « celui qui compte le mieux les choses » (sakhundn amdrînîtdr feront*® démons et hommes : il est l’arbitre souverain^® : faisons donc comme il désire^*.

5. L’âme et les mains tendues^^, adorant Ahura entre vous [tous] mon âme ira avec la vache Azî^^, et j’éclaircirai mes doutes auprès de Mazda*® : car pour l’homme à la vie droite il n’y a pas de mort*®, ni pour le vaillant travailleur : elle n’est que pour les méchants.

6. Ahura, qui le connaît, a dit de sa bouche le moyen de salut contre la Destruction*’^ : mais les hommes n’ont point pris de Seigneur (ahu) et de Maître (ratu) conformément à la loi sainte**.

P.) ; sahvàré est déjà employé au sens général du persan moderne sakfiun « chose, affaire ». Glose : « il sait faire le compte des péchés et des bonnes œuvres » (P.) : Allusion à la balance des comptes qui doit décider du sort des âmes. Cf. Y, XXXll, 6 d, note 23 ; Yt. I, 7.

19. pairi-cithit… aipî-cithît, pêsh… akhar « avant… après… » ; cithit est une formation pronominale (cit —j— it ?).

20. hvô vîcirô, zak barâ vicitâr « il est celui qui choisit » (c’est-à-dire qui décide de ce qui est juste ; A’âr udinâ barâ vicînît).

21. « C’est-à-dire que son désir soit le nôtre » (P.).

22. ustànâish ahvâ zastâish : ûstân ahûih.. u ûstân zastîh, c’est-à-dire de toutes ses forces d’esprit et de corps.

23. frinemnâ, nominatif pluriel : « nous, priant » ; au vers suivant la construction change et le sujet devient « mon âme », mé urvà. — « Entre vous [tous] », c’està-dire « je prie surtout Auhrmazd entre tous les Amshaspands » (P.)

24. Litt. « mon âme [sera] de la vache Azî », c’est-à-dire elle me donnera sa récompense. La vache Azi est la vache de trois ans (trivârshiki), l’âge où elle est le plus précieuse et donne le plus (rânyô-skereti ; Y. XLIV, 6 c). Il s’agit à la fois de la récompense terrestre et céleste : le bon laboureur aura sur terre la vache Azî, et dans le ciel son âme aura aussi sa vache Azî, c’est-à-dire une récompense qui est là-haut ce que la vache Azî est sur terre.

25. hyat mazdàm dvaidi ferasàbyo ; litt. « quand, dans le doute, avec questions à Mazda ». — dvaidî ; pun gûmànig (substantif abstrait, formé de dva « deux », avec le sufûxedi ; cf. advào (a-dvâo) « absence de doute » : Y. XXXI, note 6.

26. « Celui qui vit avec droiture, il n’y a pas de mort pour son âme » (P.).

27. vyânayâ : P. vicârishn, N. viçuddhim ; peut-être de vy-â-nî « écarter >> ; — vafusb : P. vashûpishn, N. vinâçana ( « il a dit qu’il y a remède au mal qui vient d’Ahriman ». Ce moyen de salut est la soumission à la religion d’Ahura (voir la strophe 7) et aux autorités établies par elles, l’ahu et le ratu.

28. « On ne peut pas échapper [au mal qui vient d’Ahriman] parce que les hommes ne considèrent pas le Seigneur (le Khûtà ou Abu, le maître temporel) comme Seigneur… et ne traitent pas non plus comme il convient le maître spirituel » (le Dasiôbar ou Ratu) ; cf. Vd. 1, 20. C’est pour le bon laboureur-^ que t’a formé ton créateur.

7. Cette Parole de Prospérité^®, Ahura l’a faite, d’intelligence avec Asha®’. 3Iazda a donné la graisse aux troupeaux, et à ceux qui s’en nourrissent®^ l’Esprit du Bien a donné ses instructions®®. Quel est l’homme qui, inspiré de toi, ô Voliu Manô, révélera aux hommes les deux lois ?

8. VoHU Mano. — « J’ai trouvé un homme qui écoutera tes instructions®^. C’est Zarathushtra, le Spitâma, qui désire avec nous, ô Mazda, et avec Asha®® ; qui chantera ce qu’il y a à faire®®, et à qui sera donnée belle demeure pour sa parole ®\ »

9. Alors l’Ame du Bœuf gémit sur l’impuissance®® [de Zarathushtra] à lui donner la joie®® et à faire largesse ; [elle gémit] sur la voix de l’homme sans force « lui que je voudrais [dit-elle] maître de l’absolu pouvoir^’.

29. « Actif et modéré » [tûkhshdk u patmdmk) : cf. la strophe suivante. — Ce vers est la réponse à la question de la strophe 1 ; cf. note 4 et Dinkart, IX, 29, 8 ; il est, suivant la glose marginale, dans la bouche d’Ahura.

30. L’Avesta, avec les biens qu’il apporte aux fidèles.

31. Le bien personnifié. « Les récompenses que promet ta Parole sainte, il les donne à ceux qui accomplissent les bonnes œuvres de religion » (P.).

32. hvôurushaêibyù : lire ainsi au lieu de bvô urusbaêibyô [Rev.’1882, 1, 182).

33. « Pour qu’ils s’en nourrissent avec mesure » (P.) et ne tuent pas plus qu’il ne faut (voir note 8). — Cf. Y. XLVll, n. 10.

34. Et acceptera de les porter aux hommes ; cf. Vd. 11, 1 sq. — Glose marginale : pasukh gavishni Vahûman « réponse de Vahûman ».

35. « C’est-à-dire que son désir est pour les bonnes œuvres parfaites » (P.).

36. Aigh cdrak i Drûj dar gêhân bard yamalalûnêt « c’est-à-dire qu’il dira dans le monde le moyen d’échapper à la Drûj » (P.).

37. « A cause des bonnes paroles qu’il dit, on lui donne belle place là-bas dans le ciel » (P.). — hudemem, eu-Sop.ov, « belle demeure » ; ph. hû-damûnili (zend budemem = sscr. su-damam ; ph. damûn, cf. sscr. damùnas).

38. an-aêsbem « n’avoir point son désir », être a-tûvdn (P.) ; régit à la fois le datif khshàménê et l’accusatif ràdcm.

39. bbsbàménè, traduit par décomposition étymologique shdt-minishn, dnanda-manas ; en réalité d’un verbe kbsban, synonyme de kbsbnu.

40. « La religion n’étant pas en progrès » (P.). Zoroastreest encore sans partisans, sans protecteur, sans pouvoir. Comment pourra-t-il faire triompher les prescriptions d’Ahura ? Ce sont les mêmes plaintes que le poète met ailleurs dans la bouche même de Zoroastre : voir Y. XLVl, 2.

41. Revêtu du pouvoir de Mobed des Mobeds (P.). Quand viendra celui qui lui donnera toute-puissante assistance  ?

10. «Vous donc, Aliura, Asha et Khshathra, donnez-leur votre secours'^* ; venez avec Vohu Manô, qui leur donnera belle demeure*^ et joie. Mais c’est de toi, ô Mazda, que j’attends qu’il reçoive tout d’abord*^ »

11. Zarathüshtra'^®. — Asha, Vohu Manô et Khshathra, oü viendrezvous à moi^^ ? O Mazda, donnez pleine récompense à ma haute vertu^M A présent^®, ô Ahura, notre désir^®est d’obtenir les libéralités d’un être tel que vous.

12. ALya yàsâ. Dans ma prière, les mains tendues, je demande cette joie, etc. “ (2 fois).

Yatliâ abù vairyô [4 fois).

Asbem voliù [3 fois).

Nous sacrifions au Ilâ Khshmaibyâ géush urvâ.

Yênhê hâtâm.

42. Invite à Vîshtâspa.

43. khshathra représente la royauté, le pouvoir matériel, que l’on souhaite de voir au service du prophète. — aogô, ayyârih. — « Donnez-tewr »  ; à Zoroastre et ses suivants.

44. Selon le Commentaire, dans l’autre monde [gâs tamâ).

45. Secours et récompense  : tu es son premier et plus sûr protecteur.

46. Les mots gaviskni Zartûhsht dans le commentaire sont une glose marginale passée dans le texte.

47. at mà mashâ  : ïtûnô li yâmatûnînét « où faites-vous ainsi venir à moi. » Il est difficile de retrouver un verbe et une forme verbale dans mashâ  : mashâ semble être un adverbe indiquant le mouvement rapide ; cf. môshu « rapidement », sscr. makshu. « Où viendrez-vous à moi » signifie « Où recevrai-je les récompenses dont vous disposez  ? « [zak mizd aîghjlvâk yakôyamûnlt).

48. â paiti-zânatâ « reconnaissez », au double sens du français (« c’est-à-dire, pour ma pure vertu donnez-moi un retour » pâtdahishn ; P.).

49. « A présent que je connais mieux vos merveilles, je désire plus vivement votre bonté. Selon d’autres  : à présent que j’ai établi la loi, mes disciples et moi désirons une récompense » (Comm. P.).

50. nâo avare, probablement pour âvare (YasnaXXX, note 6), de var « désirer »  ; cf. âvareta « chose désirée, bien »  : est traduit lanâ kdmak.

51. Première stance de la Gâtha Ahunavaiti (XXVIII, 1), refrain final de tous les Hâs de la Gâtha.


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a


  1. 1. Tué par Ahriman.