Le Deuxième Livre des quatrains/Printemps lointain
Mercure de France, (p. 14).
X
PRINTEMPS LOINTAIN
Je revois ma jeunesse ainsi qu’un églantier
Tout rose et tout luisant qui franchissait la haie,
Et sa tige hardie, au-dessus du sentier,
Par le heurt d’un oiseau longuement balancée.