Le Château dangereux

Le Château dangereux
Traduction par Albert Montémont.
Œuvres de Walter Scott, volume 25
Ménard.



Lorsque je m’arrêtai près de la tour sans toiture, où la fleur sauvage parfume l’air humide, où le hibou se plaint dans son berceau de lierre, et redit ses douleurs à la lune de minuit, les vents dormaient, l’air était paisible, les étoiles brillaient dans les cieux ; le renard hurlait sur la colline, et les échos lointains du vallon répétaient ses cris.
Robert Burns.