L’intelligence et le rythme dans les mouvements artistiques/06

CHAPITRE VI

LA GÉOMÉTRIE LINÉAIRE DANS LE MÉCANISME DU TOUCHER


La vue mentale dans le toucher.

Nous voyons mentalement avec nos doigts pendant que nous touchons un objet. Mais cette vue mentale s’établit à travers des centaines, des milliers d’organes minuscules que nous orientons automatiquement, qu’il s’agisse d’un toucher artistique ou d’un toucher simple. C’est parce que cet automatisme est perfectible par la cérébralisation des attitudes et des mouvements dont nous venons d’exposer sommairement les principes, que le toucher musical est destiné à devenir une science.

Après avoir démontré, au début de cet ouvrage, comment : 1o l’espace est rendu divisible sous l’influence du calcul proportionnel de la forme et de la durée des mouvements exécutés, nous avons démontré comment : 2o l’espace délimité par la structure de la main est rendu divisible sous l’influence des calculs proportionnels provoqués par les rapports des sensations d’attitudes et des mouvements ; il nous reste à démontrer comment : 3o l’espace des surfaces linéaires de nos pulpes[1] est rendu divisible. sous l’influence des calculs proportionnels provoqués par le caractère des groupements linéaires qui modifie la circulation de notre pensée — circulation qui s’identifie avec notre vue mentale.

On peut dire que les conceptions esthétiques du pianiste sont en corrélation intime avec les formes visuelles de l’harmonie du toucher, parce que dans ces formes toutes les voies linéaires sont ouvertes à la circulation mentale. Mais au contraire, dans les formes visuelles du toucher discordant, antimusical, les paupières mentales s’abaissent et la pensée s’arrête, l’image esthétique disparaît.

Comme nous le démontrerons plus loin, l’art du toucher consiste donc à maintenir ces voies linéaires ouvertes.

Le mécanisme de la conscience tactile.

Sur chacune de nos pulpes, les organes du tact se groupent en séries linéaires (V. l’empreinte figure 3). Chacune de ces lignes digitales se décompose en une multitude d’éléments nerveux, dont chacun a ses fonctions et une vitesse de transmission spéciale. De sorte que nous sentons non seulement différemment avec chacun de nos dix doigts, mais avec la moindre surface de chacun de ces dix doigts. Aussi, peut-on admettre que dans l’empreinte, figure 3, l’intensité de la sensibilité est en décroissance graduelle en allant du haut en bas et de la gauche à la droite, s’il s’agit d’un des quatre doigts droits, et du haut en bas et de la droite à la gauche, s’il s’agit d’un des quatre doigts gauches.

Cette décroissance graduelle est en corrélation avec l’augmentation graduelle des dimensions que nous attribuons à un même objet touché, selon que nous le touchons plus à droite ou à gauche, plus en bas ou en haut des pulpes.


Fig. 3. — Agrandissement de la surface d’une pulpe.

On peut admettre que si nous touchons un même objet sur des régions plus ou moins sensibles des pulpes, les évolutions rythmiques inhérentes aux mouvements se transforment, dans nos perceptions tactiles, en évolutions des dimensions de l’objet touché.

Différence d’intensité de la sensibilité des pulpes.

Nous divisons, dans nos recherches, la surface de chaque pulpe en trois régions principales, afin de classer les différences d’intensité des sensations, de manière à les rendre suffisamment apparentes pour être constatées par chacun[2].

Le classement de la sensibilité de l’index droit dans la discrimination du toucher.
Fig. 4. — Région
plus sensible.
Fig. 5. — Région
moyenne.
Fig. 6. — Région
moins sensible.

Dans la main droite, la sensibilité du toucher est pour l’index et les doigts suivants, maxima au centre de la partie supérieure de l’empreinte, figure 4 ; elle est moyenne au centre de la partie supérieure de l’empreinte, figure 5 ; elle devient minima par une décroissance continue en allant du haut en bas et de la gauche à la droite de l’empreinte, figure 6.

Les images tactiles et les images mentales dans la discrimination du toucher.

Si nous touchons une même bille successivement avec ces trois régions différentes de l’index droit, les trois touchers seront différents de dimension, d’orientation et de vitesse, voir figures 7, 8 et 9 ; le premier toucher correspondra à l’illusion que la bille est plus petite que ses dimensions réelles ; le second fera à peu près percevoir ses dimensions réelles ; le troisième correspondra à l’illusion que la bille est plus volumineuse que ses dimensions réelles.

C’est parce que nous sentons différemment que nous touchons différemment et pensons différemment.

En somme, l’intelligence fait par le mécanisme des centres nerveux ce que fait celui qui cherche à unifier la divisibilité de l’espace et du temps par le calcul des mouvements artistiques, définis aux chapitres iii et iv.

La valeur esthétique des mouvements est tout autant en corrélation avec la forme qu’avec le rythme du mouvement ; l’espace doit être considéré comme divisible de même que la durée du mouvement qui s’étend à travers l’espace.

Ces deux manifestations sont inséparables comme la forme linéaire du toucher et le rythme du toucher, car le rythme est l’image de cette forme par rapport au temps. Si dans les trois touchers, figures 7, 8 et 9, l’intelligence transforme nos impressions partielles en représentation totale de la forme touchée, c’est qu’aux différences de nombre et d’orientation des éléments nerveux se joignent des différences de vitesse et d’orientation des mouvements de va-et-vient réalisés par le doigt, pendant la discrimination du toucher. L’intelligence fait concorder l’espace et le temps par une représentation unifiée de leurs divisibilités, et précisément, c’est uniquement en touchant une forme sphérique de dimensions appropriées au volume du doigt qu’il suffit d’un seul contact légèrement oscillant pour provoquer, dans la pensée, l’image complète de la forme.

Différences des dimensions et de l’orientation des touchers réalisés sur les trois régions différentes de l’index droit.
Fig. 7. — Toucher réalisé sur la région plus sensible[3]. Fig, 8. — Toucher réalisé sur la région moyenne. Fig. 9. — Toucher réalisé sur la région moins sensible.

Ce phénomène de la représentation totale de la forme touchée contient quelque chose comme un toucher direct et un toucher indirect, puisque par la sensation d’une surface sphérique touchée, il se produit la sensation en miroir de la surface sphérique inverse, grâce à la résistance prêtée par l’appui sur lequel la bille oscille.

Si cet appui faisait défaut, notre perception totale subsisterait-elle ? Nous reviendrons ultérieurement sur cette question.

Voici à quelle divisibilité du temps correspond cette divisibilité d’espace définie par les trois empreintes de dimensions croissantes, figures 7, 8 et 9.

Différences de vitesse et d’orientation des mouvements de va-et-vient du doigt.

Pour la 1re discrimination, figure 7, on ne peut diriger l’élan maximum de la pression qu’en allant de droite à gauche ; cette pression orientée dans le sens des lignes digitales de l’empreinte, se fait avec une vitesse maxima.

Pour la 2e discrimination de même, on ne peut diriger l’élan maximum de la pression qu’en allant de droite à gauche, mais cette pression orientée dans le sens des lignes digitales de l’empreinte, figure 8, ne se fait qu’avec une vitesse moyenne.

Pour la 3e discrimination, au contraire, on ne peut diriger l’élan maximum qu’en allant de gauche à droite. Cette pression orientée dans le sens des lignes digitales de l’empreinte, figure 9, ne se fait qu’avec une vitesse minima.

Si l’on essaie d’orienter l’élan maximum des pressions en sens inverse, on obnubile l’image qui perd de sa netteté ; au bout d’un peu de temps d’essais — on ne sait plus.

Ces rapports des dimensions et de la vitesse des pressions que les empreintes permettent d’établir, font supposer que les deux différents parcours de la circonférence du cercle réalisés par le regard (voir page 26) correspondent, par leur différence de durée, aussi à des différences de dimensions. En se représentant mentalement un parcours fictif d’une ligne circulaire fictive, on peut, en effet, se rendre compte que l’évolution a. b. c. d. (fig. 2) prend toujours de petites dimensions comparées à celles de l’évolution inverse, figure 1, qu’on se représente du reste bien plus difficilement.

La forme des combinaisons linéaires et la forme des pensées.

Comme notre vue ne peut circuler dans l’espace que si aucun élément non transparent ne s’interpose entre elle et l’espace, il en est de même pour la circulation de la pensée dans l’espace de l’appareil sensitif.

L’empreinte, figure 10, représente la forme tactile à travers laquelle la bille touchée par un doigt ne nous paraît plus sphérique mais cylindrique, et cela parce que le rythme des oscillations du doigt et la forme de l’objet touché sont désagrégés. En effet, la direction communiquée au mouvement de va-et-vient du doigt ne concorde plus, dans cette empreinte, avec celle des lignes digitales ; le mouvement s’échelonne d’avant en arrière entre la figure centrale et le bout du doigt, tandis que les lignes digitales s’échelonnent transversalement.

L’empreinte, figure 11, représente la forme tactile à travers laquelle nous croyons toucher deux billes, parce que nous touchons deux fois une même bille avec l’index et le médius maintenus croisés.

Discrimination du toucher de l’index avec orientation inverse à celle des lignes digitales.

          

Discrimination du toucher de l’index et du médius maintenus croisés.


Index.

Fig. 10. — Image visuelle du toucher qui correspond à l’illusion que la bille est cylindrique.


Index.         Médius.

Fig. 11. — Image visuelle du toucher qui correspond à l’illusion de sentir deux billes.

L’empreinte, figure 12, représente la forme tactile à travers laquelle la bille touchée par l’index et le médius non croisés nous paraît sphérique. Dans la réalisation assez lente et extrêmement légère de ces genres de touchers, il existe un état de conscience très intense des rapports linéaires qui s’établissent entre les deux touchers sous l’influence des mouvements de va-et-vient des doigts, et jamais une ligne blanche ne se trouve placée parallèlement à une ligne noire.

Dans ces images linéaires on constate bien le phénomène des voies ouvertes dont nous avons parlé ; la pensée devient voyante dans l’espace interne bien plus que nos yeux ne le seraient dans l’espace externe. Pour voir comme notre pensée voit pendant que nous réalisons ces touchers, il leur faudrait des verres grossissant considérablement.

Discrimination du toucher de l’index et du médius avec fusion des lignes digitales.

          

Discrimination du toucher du pouce, de l’index et du médius droits avec fusion des lignes digitales.


Index.               Médius.

Fig. 12. — Image visuelle du toucher qui correspond à l’image mentale de la sphéricité de la bille.


Pouce.     Index.     Médius.

Fig. 13. — Image visuelle du toucher qui correspond à l’image mentale de la sphéricité de la bille.

L’empreinte, figure 13, représente le toucher sphérique par la fusion des lignes digitales des trois surfaces mises en contact avec une bille : le pouce, l’index et le médius droit.

Nécessairement, on ne voit qu’approximativement sur cette empreinte circulaire la position initiale assez distante des trois surfaces, car c’est par le roulement de la bille entre les doigts que la fusion des touchers se produit. Ce roulement se fait, comme dans l’empreinte circulaire précédente, très légèrement et lentement comme si l’on calculait, par l’analyse mentale des sensations, le dessin linéaire réalisé par la représentation simultanée de toutes les lignes digitales dont il se compose.

Il est à supposer que si, dans ces coordinations linéaires affinées provoquées par les mouvements de va-et-vient des doigts, la conscience arrive à percevoir simultanément la totalité des séries linéaires qui se forment, c’est que, au-dessous de ce phénomène conscient, la vue mentale inconsciente perçoit aussi l’unité géométrique de la structure linéaire des pulpes.

C’est à cette totalité de perceptions que doit se ramener cette action complexe d’orientation linéaire unifiée, acquise dans le toucher.

Ces voies ouvertes démontrent l’ordre qui doit être établi pour que la pensée circule dans les voies périphériques ; circulation qui, comme nous l’avons dit, s’identifie avec la vue mentale.

Mais, dans ce triple toucher, les voies ouvertes se ferment (pour ma sensibilité du moins) dès que je cherche à me servir du pouce, de l’index et du médius gauches (voir fig. 14).

Dans ce toucher, la position initiale des trois doigts gauches n’étant pas la même, l’équilibre ne peut se faire ; la fusion des trois surfaces mises en contact avec la bille ne peut être obtenue parce que ces surfaces sont groupées en trois directions différentes comme s’il y avait trois volontés distinctes en jeu. Ignorante de l’erreur commise, l’intelligence attribue les angles provoqués dans l’orientation divergente des lignes digitales à l’objet touché, elle a l’illusion que la bille est anguleuse.

On peut admettre que dans ces phénomènes du toucher, on voit toujours la modification de la forme des pensées correspondre aux modifications géométriques des combinaisons linéaires dans les images réelles du toucher. Ces images correspondent, d’une façon plus intime, à nos sensations qu’aux objets dont elles sont censées nous représenter la forme ; de sorte qu’elles nous font penser faux ou juste, selon qu’elles sont fausses ou justes.

Discrimination du toucher du pouce, de l’index et du médius gauches avec orientation fautive.


Médius.          Index.         Pouce.
Fig. 14. — Image visuelle du toucher qui correspond à l’image mentale d’une bille anguleuse.

Cette coordination ou incoordination des sensations exerce la même influence dominante dans les touchers où l’habileté fonctionnelle de la main entre en jeu.

Cette corrélation apparaît du reste déjà dans les angles des empreintes figure 14, car ces angles représentent le toucher maladroit, inadapté qui entraîne non seulement l’erreur mentale, mais l’erreur fonctionnelle ; il y a, en principe, un autre rythme dans l’orientation linéaire de chacun des trois touchers des doigts gauches ; la fusion rythmique du mouvement de va-et-vient ne peut s’établir. L’erreur existe donc dans le rythme comme elle existe dans la forme du toucher.

Toutes les imperfections du toucher artistique peuvent être ramenées à une base géométrique fautive ou incomplète.

Qu’il s’agisse du manque d’harmonie du toucher chez le pianiste ou chez le peintre, c’est aux différentes manières de sentir le clavier, le pinceau, que se ramène l’art de transmettre des images, qu’elles soient en sons ou en couleurs.

Ainsi l’incoordination linéaire des surfaces mises en contact avec un porte-plume que je tiens en main se retrouve, avec un grossissement vraiment remarquable, dans les dimensions et les rapports linéaires de mon écriture.

L’adresse et la maladresse manuelles éclairées par la géométrie des combinaisons linéaires.

En 1896 déjà j’ai remarqué que, selon qu’en écrivant je tiens la plume de la main gauche ou de la main droite, les empreintes prennent dans le premier cas, les formes linéaires, figures 15 et 16, dans le second, les formes linéaires, figures 17 et 18.

Dans le toucher de la main droite, les voies sont ouvertes, car l’attitude des quatre doigts s’équilibre par une seule orientation linéaire, en faisant opposition à l’attitude du pouce dont l’orientation linéaire produit un croisement avec celle des quatre doigts.

L’association des touchers de la main gauche. (Empreintes qui correspondent à l’écriture déréglée, fig. 19).

3e.                                 2e.                                    Pouce.
Fig. 15. — Empreintes faites en posant, pour écrire, le pouce, l’index, et le médius gauches, sur une bande de papier enroulée autour du porte-plume.

5e.                                 4e.
Fig. 16. — Empreintes faites en posant le 4e et le 5e doigt gauches sur le papier comme guides de la main qui se déplace.

Nous voyons donc d’une part l’unité des sensations établies entre les quatre doigts, d’autre part l’opposition des sensations établies entre les quatre doigts et le pouce.

Dans les quatre doigts gauches, au contraire, les voies sont fermées entre trois doigts et précisément entre le 4e et 5e doigt où elles sont ouvertes, l’orientation est fausse, car au lieu d’être en opposition avec l’orientation linéaire du pouce elle concorde avec elle.

L’association des touchers de la main droite. (Empreintes qui correspondant à l’écriture normale, fig. 20.)

Pouce.                                      2e.                   3e.
Fig. 17. — Empreintes faites en posant, pour écrire, le pouce, l’index et le médius droits, sur une bande de papier blanc enroulée autour du porte-plume.

4e.                                 5e
Fig. 18. — Empreintes faites en posant le 4e et 5e doigt droits sur le papier servant d’appui à la main qui se déplace.

Quant aux touchers de l’index et du médius, les différences d’inclinaisons linéaires indiquent que les sensations sont interrompues entre ces deux doigts comme elles sont interrompues entre ces deux doigts et les 4e et 5e doigts.

Ces voies fermées ou mal ouvertes produisent un déséquilibre rythmique qui entraîne le déséquilibre de l’écriture de ma main gauche (voir fig. 19) comparée à l’écriture de la main droite (voir fig. 20).

Écriture qui correspond aux associations fausses du toucher de la main gauche établies par les empreintes fig. 15 et 16.

Fig. 19. — Écriture de la main gauche.
Écriture qui correspond aux associations du toucher de la main droite établie par les empreintes fig. 17 et 18.

Fig. 20. — Écriture de la main droite.

Ces observations ont trouvé une confirmation involontaire dans le fait que l’écriture de ma main gauche, si déréglée en 1896, est, à mon insu, devenue quelques années plus tard, sous l’influence du développement de mon toucher musical, presque semblable à celle de la main droite (voir fig. 23), et corrélativement les associations linéaires des empreintes sont devenues presque conformes à celles de la main droite (voir fig. 21 et 22).

L’association des touchers de la main gauche obtenue en 1899. (Empreintes qui correspondent à l’écriture fig. 23.)

3e.                   2e.                                  Pouce.            
Fig. 21. — Empreintes faites en posant, pour écrire, le pouce, l’index et le médius gauches sur un porte-plume entouré d’une bande de papier blanc.

     5e.                                 4e doigt.
Fig. 22. — Empreintes faites en posant le 4e et le 5e doigt gauches sur le papier servant d’appui à la main qui se déplace.

Les résultats de ces recherches démontrent (I) que de très petites différences des groupements linéaires agissent sur les rythmes des mouvements et peuvent, correspondre ainsi à des modifications considérables des fonctions manuelles ou mentales et (II) que les causes physiologiques de l’intelligence aussi bien que de l’inintelligence fonctionnelle correspondent à une discrimination de sensations dont on ne soupçonnait pas l’existence.

Modification de l’écriture de la main gauche constatée en 1899

Fig. 23. — Écriture qui correspond à l’association des touchers établis par les empreintes fig. 21 et 22.

Pour cette raison, l’inintelligence peut nous paraître, dans sa corrélation avec les sensations tactiles, un phénomène aussi remarquable que l’intelligence. L’acte est extériorisé avec une corrélation aussi adéquate, qu’il soit intelligent ou inintelligent, ce sont les causes initiales qui ont varié.


  1. Marie Jaëll, le Mécanisme du toucher, 1897.
  2. Ch. Féré, « Influence de l’éducation de la motilité volontaire sur la sensibilité ». Revue philosophique, 1897, XLIV, page 591.
  3. Les figures 7 à 14 représentent les empreintes et les billes agrandies du double.