Éditions de la « Mode nationale » (p. 127).

ÉPILOGUE

Extrait du journal Le Pourvillais :

« Au milieu de la plus élégante affluence, deux brillants mariages ont été célébrés à Pourville : celui de Mlle Elvire Bergemont avec M. Jean-Louis Vernal, l’artiste peintre bien connu, dont la dernière œuvre « Celui qui manque » vient d’être acquise par l’État, et celui de miss Flossie Standhill avec le capitaine aviateur Henri de Jarcé. L’escadrille du camp de Buchy avait tenu à participer à la fête ; lorsque le cortège nuptial sortit de l’église, dix avions exécutèrent au-dessus de la foule de vertigineuses acrobaties en l’honneur des nouveaux époux. »

Et ce pince-sans-rire de Tristan Bergemont émit cette moralité :

— C’est sans doute parce que tous les avions se présentèrent en plein midi qu’il n’en resta pas un seul de disponible, cette fois, pour troubler le recueillement de la nuit de noces !

FIN