L’Art de péter/Chapitre dixiéme
Florent-Q., rue Pet-en-Gueule, au Soufflet, (p. 80-81).
CHAPITRE DIXIÉME.
Remédes pour provoquer les Pets.
LEs internes ſont l’anis, le
fenoüil, les zédoaires & tous
les échauffans capables de chaſſer
les vents.
Les externes, ſont les clyſteres, les ſuppoſitoires, &c.
On peut encore ajouter une façon de provoquer les vents, qui quoique ridicule n’en eſt pas pour cela à mépriſer. C’eſt d’imiter les chiens lorſqu’ils piſſent, c. à. d. de lever un pied. Cela facilite le mouvement des muſcles, les feſſes s’élargiſſent merveilleuſement, & l’on pete à ſon aiſe & avec grand tapage.